Qu'importe le passé
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Qu'importe le passé
Qu’importe le passé quand ce beau temps charmant
Nous offre des jours bleus pleins d’éblouissement.
Nos années de chagrin se sont évanouies,
Tant il fait bon aimer aux heures inouïes
Ce cadeau du présent et ignorer demain.
Très souvent dans la nuit tu me saisis la main,
Pour écouter mon sang poursuivre son chemin.
Tu as eu peur pour moi que le mal se réveille,
Et épuise mon corps, mais tout m’émerveille !
Depuis que tu es là, je sais qu’il y a Dieu.
J’ai parfois, fort douté, à n’en croire mes yeux,
Que tu n’étais qu’un rêve, alors que feuille à l’arbre,
Je tremblais de me voir sur le glacé du marbre,
Le corps devenu froid, aussi blanc que le lait,
Alors qu’aimer, enfin, est ce que je voulais…
Tu étais comme moi, romantique et secret,
Puis je t’ai rencontré à la saison d’automne,
Quand tu croyais ne plus intéresser personne
Car, à te dévouer tu as passé ton temps,
Restant jusqu’à leur fin auprès de tes parents.
Tu t’es trouvé, dès lors, cheveux blancs et cœur tendre,
Dépossédé d’amour et la mort à attendre.
Nous sommes maintenant, depuis bientôt quatre ans,
Amoureux aussi purs que des adolescents.
Les gens nous voient passer, les yeux dans les nuages,
Souriants et curieux de ce monde pour nous,
Qui offre sa beauté sans faire de jaloux,
Mais juste des envieux, car je puis bien le dire,
Nous sommes beaux d’aimer en refusant le pire.
Nous offre des jours bleus pleins d’éblouissement.
Nos années de chagrin se sont évanouies,
Tant il fait bon aimer aux heures inouïes
Ce cadeau du présent et ignorer demain.
Très souvent dans la nuit tu me saisis la main,
Pour écouter mon sang poursuivre son chemin.
Tu as eu peur pour moi que le mal se réveille,
Et épuise mon corps, mais tout m’émerveille !
Depuis que tu es là, je sais qu’il y a Dieu.
J’ai parfois, fort douté, à n’en croire mes yeux,
Que tu n’étais qu’un rêve, alors que feuille à l’arbre,
Je tremblais de me voir sur le glacé du marbre,
Le corps devenu froid, aussi blanc que le lait,
Alors qu’aimer, enfin, est ce que je voulais…
Tu étais comme moi, romantique et secret,
Puis je t’ai rencontré à la saison d’automne,
Quand tu croyais ne plus intéresser personne
Car, à te dévouer tu as passé ton temps,
Restant jusqu’à leur fin auprès de tes parents.
Tu t’es trouvé, dès lors, cheveux blancs et cœur tendre,
Dépossédé d’amour et la mort à attendre.
Nous sommes maintenant, depuis bientôt quatre ans,
Amoureux aussi purs que des adolescents.
Les gens nous voient passer, les yeux dans les nuages,
Souriants et curieux de ce monde pour nous,
Qui offre sa beauté sans faire de jaloux,
Mais juste des envieux, car je puis bien le dire,
Nous sommes beaux d’aimer en refusant le pire.
TITEFEE- Nombre de messages : 1505
Localisation : ardèche et alsace
Date d'inscription : 16/04/2008
Re: Qu'importe le passé
Tu n'as pas repris que la peinture, apparemment, Titefee...
Et la poésie aussi, tu as bien fait. Joli poème et jolie déclaration d'amour...
Et la poésie aussi, tu as bien fait. Joli poème et jolie déclaration d'amour...
Re: Qu'importe le passé
L'amour est le piment de l'imagination et il est bien dosée dans ton amour poétique...
Re: Qu'importe le passé
Merci à vous deux..J'ai besoin en effet de me prendre la tête et je ne sais rien de tel que d'écrire ou de peindre ...
TITEFEE- Nombre de messages : 1505
Localisation : ardèche et alsace
Date d'inscription : 16/04/2008
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