la poésie enfante au vent de l'émotion
3 participants
la poésie enfante au vent de l'émotion
TITEFEE Sam 21 Aoû 2010, 05:29
ma poésie enfante au vent de l’émotion
des mots morts nés gisants, là, sur ce blanc papier
et puis des vers hâtifs qui ne comptent leur pied,
Tant ils ont eut du mal à brider leur passion..
Lors je biffe et je gomme et puis je capitule
Car innocent revient le terme et sa virgule.
Si vous saviez combien j’ai souffert comme vous,
A vouloir être moi, dans ce monde de fous !
Pour être reconnue auprès des romantiques,
J’ai écrit des récits par trop mélancoliques,
Déguisé mes chagrins sous un zeste d’humour,
Car chacun sait très bien le mal que fait l’amour.
Pourtant au fil des mots, voulus très authentiques,
Je révélais souvent mes tendances mystiques,
En risquant de déplaire à ceux gloussant de tout,
Ces sceptiques blasés, qui n’ont pas cet atout.
des mots morts nés gisants, là, sur ce blanc papier
et puis des vers hâtifs qui ne comptent leur pied,
Tant ils ont eut du mal à brider leur passion..
Lors je biffe et je gomme et puis je capitule
Car innocent revient le terme et sa virgule.
Si vous saviez combien j’ai souffert comme vous,
A vouloir être moi, dans ce monde de fous !
Pour être reconnue auprès des romantiques,
J’ai écrit des récits par trop mélancoliques,
Déguisé mes chagrins sous un zeste d’humour,
Car chacun sait très bien le mal que fait l’amour.
Pourtant au fil des mots, voulus très authentiques,
Je révélais souvent mes tendances mystiques,
En risquant de déplaire à ceux gloussant de tout,
Ces sceptiques blasés, qui n’ont pas cet atout.
Dernière édition par TITEFEE le Dim 22 Aoû 2010, 05:42, édité 1 fois
TITEFEE- Nombre de messages : 1505
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Re: la poésie enfante au vent de l'émotion
alapero Sam 21 Aoû 2010, 11:48
Voici, madame p'tite fée, une prise de positions nette et sans bavure !!!
je m'y associe, si tu le permets!
Bises.
je m'y associe, si tu le permets!
Bises.
alapero- Nombre de messages : 1023
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Date d'inscription : 06/08/2008 -
Re: la poésie enfante au vent de l'émotion
TITEFEE Sam 21 Aoû 2010, 13:46
tu es mon frère en poèsiealapero a écrit:Voici, madame p'tite fée, une prise de positions nette et sans bavure !!!
je m'y associe, si tu le permets!
Bises.
aussi je vais me permettre si tu le veux bien , de corriger quelques diérèses et un hiatus mal placé.. Ça peut toujours servir
Lorsque le vers enfante au ventre de la rage
des mots morts nés gisants là sur ce blanc papier
mes e bien trop muets ne comptent pas leur pied,
Tant ils ont eut du mal à sauver ce naufrage
Lors je biffe et je gomme, enfin je capitule
Car innocent revient le terme et sa virgule.
Si vous saviez combien j’ai souffert comme vous,
A vouloir être moi, dans ce monde de fous !
Pour être reconnue auprès des romantiques,
J’ai écrit des récits par trop mélancoliques,
Déguisé mes chagrins sous un zeste d’humour,
Car chacun sait très bien le mal que fait l’amour.
Pourtant au fil des mots, voulus très authentiques,
Je révélais souvent mes tendances mystiques,
En risquant de déplaire à ceux gloussant de tout,
Ces sceptiques blasés, qui n’ont pas cet atout.
des mots morts nés gisants là sur ce blanc papier
mes e bien trop muets ne comptent pas leur pied,
Tant ils ont eut du mal à sauver ce naufrage
Lors je biffe et je gomme, enfin je capitule
Car innocent revient le terme et sa virgule.
Si vous saviez combien j’ai souffert comme vous,
A vouloir être moi, dans ce monde de fous !
Pour être reconnue auprès des romantiques,
J’ai écrit des récits par trop mélancoliques,
Déguisé mes chagrins sous un zeste d’humour,
Car chacun sait très bien le mal que fait l’amour.
Pourtant au fil des mots, voulus très authentiques,
Je révélais souvent mes tendances mystiques,
En risquant de déplaire à ceux gloussant de tout,
Ces sceptiques blasés, qui n’ont pas cet atout.
TITEFEE- Nombre de messages : 1505
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Pardon
YOMEMOY Sam 21 Aoû 2010, 16:28
En frère de poésie,
Audace me suis je permis,
Même si cosmétiques
Je crains d'avoir trahi
Un trait humoristique
Pour une phrase plus pratique
(des mots morts nés gisants là sur ce blanc papier= des mots morts nés gisants las sur ce blanc papier?)
Eh bin oui ils étaient morts de fatigue, et j'ai certainement trahi la pensée de l'auteur en touchant à son ver
Privant son texte d'un bug qui en faisait saveur, pour qui aime l'émo... cachée
Titefée, je ne recommencerai pas, mais j'avais commencé avant de voir que tu te corrigeais toi même.
Audace me suis je permis,
Même si cosmétiques
Je crains d'avoir trahi
Un trait humoristique
Pour une phrase plus pratique
(des mots morts nés gisants là sur ce blanc papier= des mots morts nés gisants las sur ce blanc papier?)
Eh bin oui ils étaient morts de fatigue, et j'ai certainement trahi la pensée de l'auteur en touchant à son ver
Privant son texte d'un bug qui en faisait saveur, pour qui aime l'émo... cachée
Lorsque le ver enfante au ventre de la rage
des mots morts nés marquant le blanc papier
mes e bien trop muets ne comptent pas leur pied,
Tant ils ont eut du mal à sauver ce naufrage
Lors je biffe, je gomme, et enfin capitule
Car innocent revient le terme et sa virgule.
Si vous saviez combien j’ai souffert comme vous,
A vouloir être moi, dans ce monde de fous !
Pour être reconnue auprès des romantiques,
J’ai écrit des récits par trop mélancoliques,
Déguisé mes chagrins sous un zeste d’humour,
Car chacun sait très bien le mal que fait l’amour.
Pourtant au fil des mots, voulus très authentiques,
Je révélais souvent mes tendances mystiques,
En risquant de déplaire à ceux gloussant de tout,
Ces sceptiques blasés, qui n’ont pas cet atout.
des mots morts nés marquant le blanc papier
mes e bien trop muets ne comptent pas leur pied,
Tant ils ont eut du mal à sauver ce naufrage
Lors je biffe, je gomme, et enfin capitule
Car innocent revient le terme et sa virgule.
Si vous saviez combien j’ai souffert comme vous,
A vouloir être moi, dans ce monde de fous !
Pour être reconnue auprès des romantiques,
J’ai écrit des récits par trop mélancoliques,
Déguisé mes chagrins sous un zeste d’humour,
Car chacun sait très bien le mal que fait l’amour.
Pourtant au fil des mots, voulus très authentiques,
Je révélais souvent mes tendances mystiques,
En risquant de déplaire à ceux gloussant de tout,
Ces sceptiques blasés, qui n’ont pas cet atout.
Titefée, je ne recommencerai pas, mais j'avais commencé avant de voir que tu te corrigeais toi même.
YOMEMOY- Nombre de messages : 574
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Re: la poésie enfante au vent de l'émotion
TITEFEE Sam 21 Aoû 2010, 18:53
Que nenni mon ami, ta correction claudique car je n'ai pas mon alexandrin de 12 pieds... et là pour moi voulait dire ici et non pas las comme lassé, ou hélas.
TITEFEE- Nombre de messages : 1505
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Que nait ni
YOMEMOY Sam 21 Aoû 2010, 19:35
Ne t'inquiete chère amie,
Je n'avais point l'idée,
D'aux régles me plier
J'ai pris bien d'autre plis
J'aime les sens cachés
Et jouer avec les mots
Au point qu'à les ponctuer
J'ai renoncé jadis
Et il me prend souvent
Sur l'autel du plaisir
De tuer à loisir
Un alexandre trop grand
Préférant me soumettre
Et cela enchanté
Aux douces sonoritées
Causes qui l'ont fait naitre
Quand à penser idée
Que tu pensas à las
Je ne l'ai point tenté
Que pour donner appât.
Mais bien plus encore
Mon corps serait défendant
Si de mon esprit penchant
A corriger se faisait fort,
Juste pour exemple,
J'assassine sans vergogne plus que les règles
Pour sur ce truc qu'on ne dirait point poème
Glisser comme illustré (mais il y en a d'autres)
Je dois porter mon toit (référence à porter sa croix pour enrichir la notion de chef de famille)
Je leur dois un abri (abri annonce les jeux de mots autour de arbre et en l'axe de focus)
C'est moi qui fus choisi (ici s'oppose l'idée d'être choisi et de choix si)
Comme pilier de leur vie (Cette opposition se renforce, entre pilier qui est un engagement et pi lier)
Et je ne peux plier (la notion d'arbre éclaire peux plier -Un abri entre chêne (chaines) et roseaux qui justement plie sans rompre)
Elles sont mon arbre de vie(là le final le plus important est la référence à arbre généalogique, en même temps qu'a ce qui est essentiel comme fil conducteur.
Donc loin de vouloir corriger, j'ai voulu inviter au jeu ( de mots ou de momo (c'est mon surnom) d'où "l'émo..." en écho à des mots employés deux fois (démo, d'émotions, la première prévoyait ma démo ratée, la deuxiéme soutendait des mots subtituée à d'émotions)
Mais ont je l'ai annoncé je ne recommencerai pas.
Et te prie une fois de plus de bien vouloir me pardonner de prendre le risque de te trahir.
Je n'avais point l'idée,
D'aux régles me plier
J'ai pris bien d'autre plis
J'aime les sens cachés
Et jouer avec les mots
Au point qu'à les ponctuer
J'ai renoncé jadis
Et il me prend souvent
Sur l'autel du plaisir
De tuer à loisir
Un alexandre trop grand
Préférant me soumettre
Et cela enchanté
Aux douces sonoritées
Causes qui l'ont fait naitre
Quand à penser idée
Que tu pensas à las
Je ne l'ai point tenté
Que pour donner appât.
Mais bien plus encore
Mon corps serait défendant
Si de mon esprit penchant
A corriger se faisait fort,
Juste pour exemple,
J'assassine sans vergogne plus que les règles
Pour sur ce truc qu'on ne dirait point poème
Glisser comme illustré (mais il y en a d'autres)
Je dois porter mon toit (référence à porter sa croix pour enrichir la notion de chef de famille)
Je leur dois un abri (abri annonce les jeux de mots autour de arbre et en l'axe de focus)
C'est moi qui fus choisi (ici s'oppose l'idée d'être choisi et de choix si)
Comme pilier de leur vie (Cette opposition se renforce, entre pilier qui est un engagement et pi lier)
Et je ne peux plier (la notion d'arbre éclaire peux plier -Un abri entre chêne (chaines) et roseaux qui justement plie sans rompre)
Elles sont mon arbre de vie(là le final le plus important est la référence à arbre généalogique, en même temps qu'a ce qui est essentiel comme fil conducteur.
Donc loin de vouloir corriger, j'ai voulu inviter au jeu ( de mots ou de momo (c'est mon surnom) d'où "l'émo..." en écho à des mots employés deux fois (démo, d'émotions, la première prévoyait ma démo ratée, la deuxiéme soutendait des mots subtituée à d'émotions)
Mais ont je l'ai annoncé je ne recommencerai pas.
Et te prie une fois de plus de bien vouloir me pardonner de prendre le risque de te trahir.
Comme une renaissance
Et le temps s'enfuyait
Sans bruit tout d'un trait
Et je restais là épuisé d'etre tendre
Comme un phoenix sans cendre
Sans chercher ni attendre
Riche d'un amour qui glande
D'une vie sans rideau
Puis tu vins sans que j'entende
Comme un cailloux dans l'eau
Rayonnante infinie
Qui invite à la vie
Comme le vin qu'on croit prendre
Comme énivre le vin
Tu pris plus que ma main
Sans doute sans le comprendre
Sans même que je le vois
Mon chemin ne fut plus droit
Je rêve de descendre
Et de reprendre route
D'aller voir comme sont grandes
Les choses que l'on redoute
De défaire l'établi
Pour rebâtir la vie
Mais c'est fou c'est souci
Tant d'autres comptent sur moi
Je dois porter mon toit
Je leur dois un abri
C'est moi qui fus choisi
Comme pilier de leur vie
Et je ne peux plier
Elles sont mon arbre de vie
Et le temps s'enfuyait
Sans bruit tout d'un trait
Et je restais là épuisé d'etre tendre
Comme un phoenix sans cendre
Sans chercher ni attendre
Riche d'un amour qui glande
D'une vie sans rideau
Puis tu vins sans que j'entende
Comme un cailloux dans l'eau
Rayonnante infinie
Qui invite à la vie
Comme le vin qu'on croit prendre
Comme énivre le vin
Tu pris plus que ma main
Sans doute sans le comprendre
Sans même que je le vois
Mon chemin ne fut plus droit
Je rêve de descendre
Et de reprendre route
D'aller voir comme sont grandes
Les choses que l'on redoute
De défaire l'établi
Pour rebâtir la vie
Mais c'est fou c'est souci
Tant d'autres comptent sur moi
Je dois porter mon toit
Je leur dois un abri
C'est moi qui fus choisi
Comme pilier de leur vie
Et je ne peux plier
Elles sont mon arbre de vie
YOMEMOY- Nombre de messages : 574
Age : 62
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Re: la poésie enfante au vent de l'émotion
TITEFEE Sam 21 Aoû 2010, 20:23
Que nenni mon ami, si tu me connaissais, tu saurais que j'aime la discussion et qu'un conseil judicieux me remplit de bonheur. En plus j'aime le jeu et je refais donc avec délectation plusieurs fois mes poèsies pour qu'elles chantent sans en changer le sens.
TITEFEE- Nombre de messages : 1505
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