Rêve récurrent ( sans la lettre o)

Rêve récurrent… lipogramme de O


Quand au petit matin, cette même pensée
Accélère le sang en augmentant ma peur
Je me lève en sursaut me traitant d’insensée
Et me fais un tilleul apaisant ma frayeur.l

Ce rêve récurrent, survient à la même heure
Et s’acharne à créer à jamais identiques
les hauts murs délabrés d’une vieille demeure
abritant en ces lieux des secrets dramatiques.

Je ne sais pas d’ailleurs quelle en est la teneur
Mais sens distinctement une vague présence
Se plaquer à ma chair et devient très gêneur
l’impensable désir de braver ce silence.

Je franchis le vantail qui lentement s’écarte
Devant de grands cyprès griffant un ciel très gris.
La brume qui descend efface la pancarte
Dans laquelle je butte au milieu de débris.

... à suivre si vous le voulez bien .

... à suivre

Autant de plaisir à lire que c'est un difficile travail et très laborieux, faut une concentration à ce que l'on écrit , que moi j'y arrive pas au bout de un quatrain j'abandonne ... j'ai testé d'autres fois et même que j'ai mit un temps fou à m'y consacrer par désir et puis le désir de réussir est tombé à l'eau quand mon énervement a fait surface...
Alors là j'applaudis des deux mains à l'unisson pour ce travail...

le plus dur ce n'est pas d'éliminer la lettre, mais de donner une continuité dans les phrases et le récit.

mais pour vous deux, encore je continue....

je connais les coeurs et amis fidèles. :cor:

Merci pour l'amitié et pour la belle rose

HOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO !!!

Vétustes et tenues par de grands madriers
Les planches fléchissent, tandis que je franchis
Etant attentive, bras en balanciers
Cet univers abstrus trahissant un gâchis.

Il est vrai que je ne suis pas maçon... HIHIHi mais j'ai lu qu'un madrier était une planche de soutien très épaisse..

Continuez vous deux... j'passe m'instruire... c'est moi assise là au fond du bar, tout près de la fenêtre...

surtout fermes la fenêtre il fait froid le soir et tu risquerai de t'enrhumer ma jumelle...

Aussi je me dépêche de mettre la fin de mon rêve récurrent...toujours sans O.... ce soir je prendrai bien whyski, sans O Sata...

Suite 6

Je ne sais pas d'ailleurs, ni par quels artifices
Cet arbre prend l’aspect maintenant d’un radeau
M’écartant de ces lieux et de ces maléfices
Nimbée de lumière, et ceinte d’un bandeau.

Sur l’eau transparente laissant pendre ma main
Je repêche un à un des esquifs de papier
Sur lesquels je peux lire dessiné au fusain
Un terme que plus tard je saurais apprécier.

Le ciel est devenu bleu, les nuages s’invitent
A suivre le chemin que je prends à présent
La terre et le ciel dans l’espace gravitent
Mais je sais qu’ils m’incluent en eux en même temps.

Le vent en murmurant, me répète inlassable
Le même terme lu, sur les frêles bateaux
Je n’ai su bien plus tard qu’il serait guérissable
Et saurait à lui seul alléger mes fardeaux.

et ce terme est SALUT

Un fragment d’écriteau, aperçu au jardin,
Surnage lui aussi, entre mer et le ciel.
Dans ces lettres, gravées finement au burin,
Je lis avec stupeur, unique et essentiel :

LIBERTE


salut pour moi c'est Rémission, ( cancer ) mais je ne pouvais mettre de O

et liberté c'était divorce... là aussi impossibilité de mettre un o...

J'reviens sur la pointe des pieds à ma leçon du mercredi... J'ai fait soirée peinture ...
à la recherche d'un O caché me suis régalé à te lire... sans O et tacccccccccccc

Soeurette je pose réclamation TITEFEE est la Richard Virenque de la poésie elle se dope en plus avec du Whisky sans " O " , moi je devrais en prendre depuis Lundi soir je passe mon temps allongé je me lève 1h / 1h 30 mn pas plus en plus j'ai mon ordi qui déconne lorsque j'ouvre pour écrire la feuille est toute petite comme l'écriture je suis obligé de mettre sur 24 pour voir quel que chose et tous les minutes il y a " envoie d'erreur " J'ai appelé Patsim il va s'occuper de cela vendredi vers 14 heures il est débordé avec le changement d'année et les fêtes il a beaucoup de programmes à nettoyer enfin il est sympa cela fait au moins 5 fois qu'il me dépanne en 2001 il avait passé 14 heures dessus c'est son boulot mais il ne veux pas me faire payer Un jour j'ai eu l'idée de lui offrir un très bon vin avec étiquette de la date de sa naissance ....Et boum il ne boit pas !

Enfin voilà je n'arrive pas à poster ! j'attendrai que Patrice me remette tout cela dans l'odre... et cela vient que j'ai laissé ma petite fille jouer avec ses jeux sur mon ordi !!! Voilà ma Souerette en plus ici le froid à fait son retour et Cher toi ? Bisous et salut à tous !

a l"insu de ma volonté, j'ai bu le wisky que soeurette m'a offert... toi t'as même pas apporté les glaçons, vieux frère !!
mais bon je te prends OMO qui lave plus blanc que TOUT ( la lessive qui enlève pas les taches, mais détruit le linge )
et je vais mettre dans quelques minutes, que tu m'accorderas bien j'espère, un poème sans le u... pour le e c'est déjà fait et j'avoue que c'est le plus dur.

d'ailleurs le voilà..ce lipogramme de e
L’importun absolu, nous instruit malgré nous
D’influx incisifs, incongrus, qui nous font frémir
Car, surgissant du passé, nous trouvons sous
L’amas épais, l'illusion qu’on voulait abolir.

L’annihilation imposant dans nos plaisirs
Plus d’inhibition qu’on n’a jamais su saisir,
Nous contraint à l’oubli, abolissant la raison
Puis, Nous croyant impur nous créons nos cloisons.

L’abandon affaiblit nos élans vivifiants,
Nous poussant à sursoir à nos aspirations.
Nous craignons tout combat voyant plus humiliant
d'ouïr un courtisan ou un mystifiant.

Nous méconnaissons nos dons, nous rabaissant,
Tant nous n’avons ni la foi, ni désir jaillissant
Puis laissant inaccomplis tous nos travaux
Nous fondons dans l’oubli nos vains idéaux.



Donc à toute à l'heure pour ce qui est du U. J'adore les paris ! et j'attends ta poésie aussi.

Waouuuuuuuuuuuu p'tite soeurette ... des défis à faire défier un vrai de vrai poète comme vous deux .... mais pour moa , NON NON NON, pas de travail poétique, j'ai déjà eu du mal à finir mon sans eau , que ... il fait un temps splendide dehors ... je vous laisse donc jouer à oublier une des voyelles moi j'vé paresser pendant que vous vous décarcassez pour mon plaisir à vous lire plus tard ...