Pas marc de café
3 participants
Page 1 sur 1
Pas marc de café
Y'en a marre de sang, mais pas pour le palais
Y'en a plein le gosier d'un goût amer de leurs plaies.
Il parait à bras ouverts, de ces gestes incohérents,
Montrant sa peine de la violence des belligérants.
La fortune avait sa place mais pas comme de coutume,
Entre chemins fait de rires et de larmes en amertume.
L'idéal avait sa plume pour parcourir les grands espaces,
Étendus sur sa mémoire éclairée de rêves sagaces.
Après, les déserts de croisements de caravanes,
Laissant traces éphémères et lignes Fugaces,
Pour des lieux dédiés aux haltes des ânes,
Chameaux et hommes de blanc ou de bleu, vers l'Atlas.
S'aventurèrent, reporters, journalistes, explorateurs.
S'aventurent, s'aventureront encore pour l'histoire en errance,
Sans structure ; pressentant un appel persécuteur,
Pour découvrir plus que des images ; des espérances,
Que fait côtoyer des âmes différentes et sensibles,
Vouant leurs existences à la tradition presque inaccessible.
Pas marc de café !
Sur les sables ensoleillés respirent les grains,
Se déplacent léger au gré des vents et du grain.
Étendue qui fait voir loin l'ombre, l'air ;
Pas que de mirages imaginaires.
Y'en a plein le gosier d'un goût amer de leurs plaies.
Il parait à bras ouverts, de ces gestes incohérents,
Montrant sa peine de la violence des belligérants.
La fortune avait sa place mais pas comme de coutume,
Entre chemins fait de rires et de larmes en amertume.
L'idéal avait sa plume pour parcourir les grands espaces,
Étendus sur sa mémoire éclairée de rêves sagaces.
Après, les déserts de croisements de caravanes,
Laissant traces éphémères et lignes Fugaces,
Pour des lieux dédiés aux haltes des ânes,
Chameaux et hommes de blanc ou de bleu, vers l'Atlas.
S'aventurèrent, reporters, journalistes, explorateurs.
S'aventurent, s'aventureront encore pour l'histoire en errance,
Sans structure ; pressentant un appel persécuteur,
Pour découvrir plus que des images ; des espérances,
Que fait côtoyer des âmes différentes et sensibles,
Vouant leurs existences à la tradition presque inaccessible.
Pas marc de café !
Sur les sables ensoleillés respirent les grains,
Se déplacent léger au gré des vents et du grain.
Étendue qui fait voir loin l'ombre, l'air ;
Pas que de mirages imaginaires.
Roland Fort
Poésie écrite à Cabasse le 17/08/2011
Dernière édition par Roland le Jeu 29 Sep 2011, 16:50, édité 1 fois
Re: Pas marc de café
Il y a des traditions impossibles à transmettre et d'autres qui passent sans encombrements... quand l'arome se fait sentir, c'est son nectar qui me fait réagir... imaginaire vous avez écrit...
Re: Pas marc de café
Mais c'est ainsi que s'ouvrirent les portes de l'esprit... les échanges, la poèsie, les étoffes, et hélas d'autres choses moins glorieuses lorsque l'homme oubliait que tout humain lui ressemble...
Jolie poèsie
Jolie poèsie
TITEFEE- Nombre de messages : 1505
Localisation : ardèche et alsace
Date d'inscription : 16/04/2008
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous pouvez répondre aux sujets dans ce forum