Bon W.E.
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Bon W.E.
Comme c'est le W.E. et que vous avez certainnement un peu de temps libre, je vous met ce petit texte de ma composition pour vous occupez en cas d'oisivetée. ;)
Bonne lecture
Comme j'en ai oublié pas mal, je le continuerai plus tard :lol:
Bonne lecture
Rimes en IN
Voici le début d'une histoire, avec des personnages que j'aime bien.
Une de ces personnes n'est autre que mon parrain !
Poète de la race des parnassiens.
Le franc parlé d'un Gabin,
La carrure d'un Roger Hanin !
Son langage est à moitié sibyllin,
Et moitie titi Parisien.
Il avait fait la guerre contre les fridolins,
Engagé dans les chasseurs Alpins,
Puis comme mercenaire sous le sobriquet l'africain
Il parcouru le monde, d'abord le Tonkin,
Puis il poussa jusqu'à Pékin.
C'est à cette époque qu'il fit son tatouage, un vulcain
Joli papillon sur l'épaule, gravé par un moine Tibétain.
Avec une autre tête brûlée, un Américain,
Il était resté quatre jours à ronger son frein,
Dans un camps retranché , à l'intérieur d'un souterrain !
Ne pouvant résister à la faim,
Ils réussirent à capturer un ragondin,
Je vous dis pas le festin !
Cela ne devait pas sentir le jasmin.
Puis il est reparti dans un autre coin.
Où exactement je ne sais plus très bien ?
Enfin, là il a rencontré son pote Fabien
Qui se disait Italien.
Mon parrain, lui trouvait une gueule de Mexicain
Et l'appelait le moulin.
A cause qu'il agitait toujours ses mains
A ce qu'il paraît se serait un drôle de paroissien,
Fort comme un Turc, grand comme un nain.
Toujours dans les bons coups, un gros malin,
Il avait les cheveux pareil à du crin,
Ses pommettes avaient bons teint,
Vu qu'il avait une vénération pour le vin.
Mais moi je préférais son nez aquilin !
Avec ses petits yeux on aurait dit un lutin,
Il ressemblait à un grand gamin.
Mais quand il se mettait en colère, il faisait vilain !
Une fois il paraît qu'il s'était pris avec un pèlerin,
Une histoire de fille, bref une putain !
Le père Fabien était contre les maquereaux et le tapin
Lui voulait juste un petit câlin !
Lui peloter un peu les seins
D'ailleurs il ne pouvait payer, il n'avait pas un fifrelin !
Le souteneur prit de rage était devenu carmin.
L'autre d'un calme olympien,
Fixait droit, son regard noir sur l'aigrefin.
Et lui dit «écoute mon gars je ne suis pas radin,
Mais je n'ai pas le sou, alors ne me cherche pas du patin !
Où alors il va t'arriver un pépin»
Mais l'autre n'était pas un plaisantin,
Et sur un air hautain,
Lui a tenu ce propos,»je viens de tirer cinq piges à Melun,
Et là bas j'étais considéré comme un mutin
Alors mon petit même si tu es un martien,
Je te signale que tu es dans le pétrin !
Puis d'un seul coup de rein,
Se saisit d'un gourdin !
Mais le Fabien de ses bras puissants empoigne un Godin,
Qui faisait bien cent kilos, l'autre en perdit son latin.
«Approchez je vais te faire ta fête mon pingouin !
Si tu veux jouer au crétin,
Il va te pleuvoir un de ces grain !
Viens mon gaillard, je vais te faire un câlin !
Tu sais ta pute n'aura pas de chagrin !
Et de cela j'en suis certain !
En plus cela nettoiera le poêle, il est plein de calcin !
Par contre j'espère que tu as un pote médecin !
Parce que sur la tête je vais te faire un chanfrein !
Toujours en tenant le Godin à bout de bras l'ancien !
Sans donner de fatigue, il est serein !
L'autre commença à ravaler son venin.
Le père Fabien reprit de plus belle, «il m'en faut vingt
Des types comme toi, avec tes bras en vilebrequin»
Maintenant le souteneur ressemble au penseur de Rodin !
Il est perplexe et bien embêté avec son rondin !
Son coeur de peur, dans sa poitrine s'étreint.
Puis il se décide «bon on fait copain copain»
Fabien reprit «tu as l'air d'un tamarin !
Tu sais ce petit singe, aller restons humain.
Comment t'appelles-tu ? Ah ! Robin
Et bien je vais être bon chrétien,
Tu n'es qu'un fieffe coquin !
Mais passes ton chemin,
Avant que je ne te botte le train,
A grands coups de brodequins !
En plus tu as de la chance je suis à jeun
Sinon je te dis pas la saint Valentin !
Et alors là attention au crachin,
Parce que moi les margoulins,
Ils finissent tous dans le sapin !
Rentre en paix mon poussin.
Et chez toi, installe toi dans ton fauteuil en rotin !
Vois tu je suis un bon plébéien.
Telle me fût conté cette histoire, qui aujourd'hui me revient.
De la date exacte je ne me souviens,
Mais je suis sûr que c'était en juin !
Car à cette époque ma marraine faisait des tartes Tatins
Aujourd'hui ils ont disparu et de pleurer je me retiens !
Et pourtant ils avaient une santé d'académiciens !
Maintenant ils reposent entre quatre planches de pin,
Recouvert d'une pierre de Travertin !
Pour eux qui étaient d'Agen,
Ils ont fini leur vie au cimetière de Pantin !
Qui aurait pu connaître leur destin ?
De cet épisode voici la fin,
De leurs aventures, de leurs vies je vous en raconterai demain
Ah ! La fameuse époque où ils voulurent être marins !
Mais ceci est une autre histoire, l'histoire du brigantin.
Suite
Rentrant de bon matin,
D'une cueillette de jeunes coprins,
Champignons qu'il aimait rajouter à son coq au vin.
Un vrai délice, juste qu'il mettait à mon goût trop de thym.
«A midi nous inviterons les voisins»
Avait il décidé comme ça d'instinct
Tel était mon parrain
Comme la journée s'annonçait belle, on mit la table dans le jardin
Repas très convivial où coulait copieusement le Chambertin
Vu le nombre de convives, ma marraine avait fait un navarin
Et encore cela fût juste, heureusement il restait de la veille du lapin
Bref le repas fini où plutôt le festin,
Nous arrivions aux liqueurs, marc et marasquin,
Mon parrain tira de sa poche un calepin.
«Écoutez moi nous allons fabriquer un brigantin,
Pour partir en vacances, alors nous allons mettre nos efforts en commun !»
«Dis moi» s'adressant à monsieur Rivallain,
Un homme d'une quarantaine, un Italien,
Qui plus jeune avait été marin.
«Sur les bateaux vous avez des bouquins»
«Bien sûr» lui répondit le voisin.
Avec un fort accent, il était né du côté de Turin
Installé en France depuis plus de trente ans, mais il était resté au loin
Mais mon parrain comprenait son baragouin !
Les étranger, en français ne progressent pas, car avec leur conjoint,
Ils continuent à parler leur langue, eux parlaient le campanien,
Un dialecte, pour moi c'était de l'hébreu ou du latin !
En parlant de latin, j'ai failli l'apprendre quand j'étais collégien,
Mais cela est une autre histoire et puis c'est loin
Quant aux deux autres voisins,
C'étaient des frères des vrais jumeaux,on dit des univitellins !
Ils avaient décidé de fonder leurs familles, dans le même patelin,
Ils avaient tous deux épousé les soeurs Célestin.
Qui leurs avaient donné à chacun,
Deux garçons et une fille, de jolis gamins !
Et il y avait le quatrième voisin,
Un célibataire qui habitait une maison en rondins
Une jolie bicoque qu'il avait bâti de ses mains !
Lui venait du grand froid, il était canadien,
Bref ! Mon parrain avec son esprit cartésien,
Avait noté chaque métier dans son calepin,
Nous voilà donc avec un informaticien.
Un charpentier, un ex marin,
Devenu d'après les gens du village un bon mécanicien,
Plus mon parrain qui n'était pas un centralien,
Mais connaissait beaucoup de choses, ce n'était pas un béotien,
Vu qu'il avait beaucoup bourlingué dans sa jeunesse, c'était quelqu'un.
Et puis moi, votre serviteur qui était électricien,
Avant d'avoir eu l'idée de devenir écrivain !
Nous voilà en route pour l'aventure, sous la houlette de l'informaticien,
Car avant toutes choses il faut faire un dessin !
Puis faire le traçage à la règle et au trusquin.
La coque prend forme sur ses tins,
Le chantier sent bon le bois, le chêne, le sapin.
On taille, on coupe, résonnent les coups de merlin !
On cloue, on visse, on perce au vilebrequin !
On place les mâts à l'aide de filins,
Et moi muni d'un pinceau je peints !
Il fait bon sur mon échafaudage en bastings.
Les travaux touchent à leur fin !
Sur décision unanime nous l'avons baptisé Chérubin !
Le grand départ et pour demain.
Avant de sortir en mer, nous l'avons mis à l'abri dans le bassin.
A nous la pêche au requin !
Quel bonheur cela sera de filer dans le sillage des dauphins.
Toute la nuit j'ai rêvé de pirates, de mutins,
De chasse aux trésors, de fabuleux butins !
Mais me voilà réveillé par des éclats de rires, serait-ce le matin ?
Je vois depuis ma fenêtre les voisins et mon parrain,
Mais je ne vois plus le brigantin ?
Mon parrain qui m'aperçoit me lance un «viens»
Arrivé près d'eux, avec une mine de dédain,
Je constate que le navire à rejoint les fonds marins !
Dans un dernier éclat de rire mon parrain,
Dit qu'il nous faudrait mieux construire un sous-marin !
Quant à moi mes rêves se sont éteints.
Mais quand je pense à tous ces bons moments je ne regrette rien,
Je ne serai jamais un corsaire tel était mon destin.
Les vacances se terminent je vais rentrer à Stain,
Et de cette aventure manquée, j'en écrirai un bouquin.
Parfois je trouve la vie plus amer que du chicotin.
Voici le début d'une histoire, avec des personnages que j'aime bien.
Une de ces personnes n'est autre que mon parrain !
Poète de la race des parnassiens.
Le franc parlé d'un Gabin,
La carrure d'un Roger Hanin !
Son langage est à moitié sibyllin,
Et moitie titi Parisien.
Il avait fait la guerre contre les fridolins,
Engagé dans les chasseurs Alpins,
Puis comme mercenaire sous le sobriquet l'africain
Il parcouru le monde, d'abord le Tonkin,
Puis il poussa jusqu'à Pékin.
C'est à cette époque qu'il fit son tatouage, un vulcain
Joli papillon sur l'épaule, gravé par un moine Tibétain.
Avec une autre tête brûlée, un Américain,
Il était resté quatre jours à ronger son frein,
Dans un camps retranché , à l'intérieur d'un souterrain !
Ne pouvant résister à la faim,
Ils réussirent à capturer un ragondin,
Je vous dis pas le festin !
Cela ne devait pas sentir le jasmin.
Puis il est reparti dans un autre coin.
Où exactement je ne sais plus très bien ?
Enfin, là il a rencontré son pote Fabien
Qui se disait Italien.
Mon parrain, lui trouvait une gueule de Mexicain
Et l'appelait le moulin.
A cause qu'il agitait toujours ses mains
A ce qu'il paraît se serait un drôle de paroissien,
Fort comme un Turc, grand comme un nain.
Toujours dans les bons coups, un gros malin,
Il avait les cheveux pareil à du crin,
Ses pommettes avaient bons teint,
Vu qu'il avait une vénération pour le vin.
Mais moi je préférais son nez aquilin !
Avec ses petits yeux on aurait dit un lutin,
Il ressemblait à un grand gamin.
Mais quand il se mettait en colère, il faisait vilain !
Une fois il paraît qu'il s'était pris avec un pèlerin,
Une histoire de fille, bref une putain !
Le père Fabien était contre les maquereaux et le tapin
Lui voulait juste un petit câlin !
Lui peloter un peu les seins
D'ailleurs il ne pouvait payer, il n'avait pas un fifrelin !
Le souteneur prit de rage était devenu carmin.
L'autre d'un calme olympien,
Fixait droit, son regard noir sur l'aigrefin.
Et lui dit «écoute mon gars je ne suis pas radin,
Mais je n'ai pas le sou, alors ne me cherche pas du patin !
Où alors il va t'arriver un pépin»
Mais l'autre n'était pas un plaisantin,
Et sur un air hautain,
Lui a tenu ce propos,»je viens de tirer cinq piges à Melun,
Et là bas j'étais considéré comme un mutin
Alors mon petit même si tu es un martien,
Je te signale que tu es dans le pétrin !
Puis d'un seul coup de rein,
Se saisit d'un gourdin !
Mais le Fabien de ses bras puissants empoigne un Godin,
Qui faisait bien cent kilos, l'autre en perdit son latin.
«Approchez je vais te faire ta fête mon pingouin !
Si tu veux jouer au crétin,
Il va te pleuvoir un de ces grain !
Viens mon gaillard, je vais te faire un câlin !
Tu sais ta pute n'aura pas de chagrin !
Et de cela j'en suis certain !
En plus cela nettoiera le poêle, il est plein de calcin !
Par contre j'espère que tu as un pote médecin !
Parce que sur la tête je vais te faire un chanfrein !
Toujours en tenant le Godin à bout de bras l'ancien !
Sans donner de fatigue, il est serein !
L'autre commença à ravaler son venin.
Le père Fabien reprit de plus belle, «il m'en faut vingt
Des types comme toi, avec tes bras en vilebrequin»
Maintenant le souteneur ressemble au penseur de Rodin !
Il est perplexe et bien embêté avec son rondin !
Son coeur de peur, dans sa poitrine s'étreint.
Puis il se décide «bon on fait copain copain»
Fabien reprit «tu as l'air d'un tamarin !
Tu sais ce petit singe, aller restons humain.
Comment t'appelles-tu ? Ah ! Robin
Et bien je vais être bon chrétien,
Tu n'es qu'un fieffe coquin !
Mais passes ton chemin,
Avant que je ne te botte le train,
A grands coups de brodequins !
En plus tu as de la chance je suis à jeun
Sinon je te dis pas la saint Valentin !
Et alors là attention au crachin,
Parce que moi les margoulins,
Ils finissent tous dans le sapin !
Rentre en paix mon poussin.
Et chez toi, installe toi dans ton fauteuil en rotin !
Vois tu je suis un bon plébéien.
Telle me fût conté cette histoire, qui aujourd'hui me revient.
De la date exacte je ne me souviens,
Mais je suis sûr que c'était en juin !
Car à cette époque ma marraine faisait des tartes Tatins
Aujourd'hui ils ont disparu et de pleurer je me retiens !
Et pourtant ils avaient une santé d'académiciens !
Maintenant ils reposent entre quatre planches de pin,
Recouvert d'une pierre de Travertin !
Pour eux qui étaient d'Agen,
Ils ont fini leur vie au cimetière de Pantin !
Qui aurait pu connaître leur destin ?
De cet épisode voici la fin,
De leurs aventures, de leurs vies je vous en raconterai demain
Ah ! La fameuse époque où ils voulurent être marins !
Mais ceci est une autre histoire, l'histoire du brigantin.
Suite
Rentrant de bon matin,
D'une cueillette de jeunes coprins,
Champignons qu'il aimait rajouter à son coq au vin.
Un vrai délice, juste qu'il mettait à mon goût trop de thym.
«A midi nous inviterons les voisins»
Avait il décidé comme ça d'instinct
Tel était mon parrain
Comme la journée s'annonçait belle, on mit la table dans le jardin
Repas très convivial où coulait copieusement le Chambertin
Vu le nombre de convives, ma marraine avait fait un navarin
Et encore cela fût juste, heureusement il restait de la veille du lapin
Bref le repas fini où plutôt le festin,
Nous arrivions aux liqueurs, marc et marasquin,
Mon parrain tira de sa poche un calepin.
«Écoutez moi nous allons fabriquer un brigantin,
Pour partir en vacances, alors nous allons mettre nos efforts en commun !»
«Dis moi» s'adressant à monsieur Rivallain,
Un homme d'une quarantaine, un Italien,
Qui plus jeune avait été marin.
«Sur les bateaux vous avez des bouquins»
«Bien sûr» lui répondit le voisin.
Avec un fort accent, il était né du côté de Turin
Installé en France depuis plus de trente ans, mais il était resté au loin
Mais mon parrain comprenait son baragouin !
Les étranger, en français ne progressent pas, car avec leur conjoint,
Ils continuent à parler leur langue, eux parlaient le campanien,
Un dialecte, pour moi c'était de l'hébreu ou du latin !
En parlant de latin, j'ai failli l'apprendre quand j'étais collégien,
Mais cela est une autre histoire et puis c'est loin
Quant aux deux autres voisins,
C'étaient des frères des vrais jumeaux,on dit des univitellins !
Ils avaient décidé de fonder leurs familles, dans le même patelin,
Ils avaient tous deux épousé les soeurs Célestin.
Qui leurs avaient donné à chacun,
Deux garçons et une fille, de jolis gamins !
Et il y avait le quatrième voisin,
Un célibataire qui habitait une maison en rondins
Une jolie bicoque qu'il avait bâti de ses mains !
Lui venait du grand froid, il était canadien,
Bref ! Mon parrain avec son esprit cartésien,
Avait noté chaque métier dans son calepin,
Nous voilà donc avec un informaticien.
Un charpentier, un ex marin,
Devenu d'après les gens du village un bon mécanicien,
Plus mon parrain qui n'était pas un centralien,
Mais connaissait beaucoup de choses, ce n'était pas un béotien,
Vu qu'il avait beaucoup bourlingué dans sa jeunesse, c'était quelqu'un.
Et puis moi, votre serviteur qui était électricien,
Avant d'avoir eu l'idée de devenir écrivain !
Nous voilà en route pour l'aventure, sous la houlette de l'informaticien,
Car avant toutes choses il faut faire un dessin !
Puis faire le traçage à la règle et au trusquin.
La coque prend forme sur ses tins,
Le chantier sent bon le bois, le chêne, le sapin.
On taille, on coupe, résonnent les coups de merlin !
On cloue, on visse, on perce au vilebrequin !
On place les mâts à l'aide de filins,
Et moi muni d'un pinceau je peints !
Il fait bon sur mon échafaudage en bastings.
Les travaux touchent à leur fin !
Sur décision unanime nous l'avons baptisé Chérubin !
Le grand départ et pour demain.
Avant de sortir en mer, nous l'avons mis à l'abri dans le bassin.
A nous la pêche au requin !
Quel bonheur cela sera de filer dans le sillage des dauphins.
Toute la nuit j'ai rêvé de pirates, de mutins,
De chasse aux trésors, de fabuleux butins !
Mais me voilà réveillé par des éclats de rires, serait-ce le matin ?
Je vois depuis ma fenêtre les voisins et mon parrain,
Mais je ne vois plus le brigantin ?
Mon parrain qui m'aperçoit me lance un «viens»
Arrivé près d'eux, avec une mine de dédain,
Je constate que le navire à rejoint les fonds marins !
Dans un dernier éclat de rire mon parrain,
Dit qu'il nous faudrait mieux construire un sous-marin !
Quant à moi mes rêves se sont éteints.
Mais quand je pense à tous ces bons moments je ne regrette rien,
Je ne serai jamais un corsaire tel était mon destin.
Les vacances se terminent je vais rentrer à Stain,
Et de cette aventure manquée, j'en écrirai un bouquin.
Parfois je trouve la vie plus amer que du chicotin.
Comme j'en ai oublié pas mal, je le continuerai plus tard :lol:
Dernière édition par le Sam 17 Mar 2007, 22:10, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Bon W.E.
hien, et bien tu a un sacré parain
pour le ragondin ,hé bien j'en fait un vrais festin ( sais tes bon)
je reviendrais demain,pour lire toi l'historien
pour le ragondin ,hé bien j'en fait un vrais festin ( sais tes bon)
je reviendrais demain,pour lire toi l'historien
pti pierre- Nombre de messages : 1219
Age : 64
Localisation : loire atlantique
Date d'inscription : 05/11/2006
Re: Bon W.E.
Hé oui P'ti Pierre
Dans quelque temps, tu auras une autre saga familliale à te mettre sous les yeux.
Je n'en suis qu'au prémices pour le moment.
Dans quelque temps, tu auras une autre saga familliale à te mettre sous les yeux.
Je n'en suis qu'au prémices pour le moment.
Invité- Invité
Re: Bon W.E.
merci pour ton message
j'ai quelque chose a te demander
je peu imprimer sais pour ma fille qui aprend a lire, merci
j'ai quelque chose a te demander
je peu imprimer sais pour ma fille qui aprend a lire, merci
pti pierre- Nombre de messages : 1219
Age : 64
Localisation : loire atlantique
Date d'inscription : 05/11/2006
Re: Bon W.E.
P'tit Pierre, ta fille va avoir un sacré vocabulaire, car Linuxia en a un trés riche et en plus l'histoire est amusante.
Il va falloir que tu ouvres le dico pour les explications que ta fille va te demander !!!
Moi la première me suis interrogée........
Et je suis contente j'ai appris un mot : univitellins ...je connaissais mono zygote mais univitellins jamais entendu auparavant, merci Linuxia
Il va falloir que tu ouvres le dico pour les explications que ta fille va te demander !!!
Moi la première me suis interrogée........
Et je suis contente j'ai appris un mot : univitellins ...je connaissais mono zygote mais univitellins jamais entendu auparavant, merci Linuxia
yo- Nombre de messages : 6849
Age : 83
Localisation : ailleurs
Date d'inscription : 28/09/2006
Re: Bon W.E.
ma cher yo
pour moi aussi il a des mots qu'il veule rien dire pour moi, j'ai le dico a porter de moi , et je dit a ma fille de chercher, et si elle trouve pas comme moi, je vais sur le net pour trouver
bonne journer a toi
pour moi aussi il a des mots qu'il veule rien dire pour moi, j'ai le dico a porter de moi , et je dit a ma fille de chercher, et si elle trouve pas comme moi, je vais sur le net pour trouver
bonne journer a toi
pti pierre- Nombre de messages : 1219
Age : 64
Localisation : loire atlantique
Date d'inscription : 05/11/2006
Re: Bon W.E.
P'tit Pierre éloigne ta fifille de mon commentaire... fais lui un bisou et à toi zossi
LinuX "" Putain de justin rien de moins, c'est pas bien, t'as laissé au loin un diablotin"" :fou:
ok je viendrais un week-end moins chargé... pour te relire comme il se doit...
LinuX "" Putain de justin rien de moins, c'est pas bien, t'as laissé au loin un diablotin"" :fou:
ok je viendrais un week-end moins chargé... pour te relire comme il se doit...
Re: Bon W.E.
Linuxia, comment fais tu pour mettre autant de mots avec la même fin dans un texte qui tient debout ?
Est ce que tu fais d'abord la liste des mots et tu les englobes ?
C'est très bien écrit, tu as une imagination débordante, merci !
Pti pierre je vais trouver un texte pour ta fille et le mettre dans conte et raconte.
Bisousss
Est ce que tu fais d'abord la liste des mots et tu les englobes ?
C'est très bien écrit, tu as une imagination débordante, merci !
Pti pierre je vais trouver un texte pour ta fille et le mettre dans conte et raconte.
Bisousss
Marilou- Nombre de messages : 3853
Localisation : Là où j'ai envie
Date d'inscription : 03/02/2007
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