Le temps nous balade
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Le temps nous balade
Le temps nous balade.
ELYSE Aujourd'hui à 4:34
J'ai vécu ici bas des instants si nombreux,
Qu'une nuit à rêver ne pourrait plus suffire,
Car ils viennent hanter mes moments douloureux,
Où le sommeil me fuit en ne pensant qu'au pire.
Cette nuit sans clarté, le ciel était tout noir,
Sans le disque d'argent je ne pouvais poursuivre
Le parcours de la lune au fascinant pouvoir,
Indiquant pour toujours que c'est si bon de vivre.
Je refais sans arrêt le bilan malheureux
De ces ans gaspilleurs, où j'essayais de rire,
Pour cacher mes chagrins et mes doutes affreux,
Qui étaient lancinants quand on ne peut les dire.
Mon visage avenant, cachait bien des tourments,
Tant lourde était la peur que je doive survivre
A l'enfant du printemps et ses efforts constants,
Indiquant pour toujours qu'il était bon de vivre.
J'ai pour elle tant fait de prières et vœux
Et de sanglots cachés plus qu'on ne peut décrire.
Je me souviens encor du cuivre des cheveux
Nimbant de clarté son visage de cire
Et même de ses yeux brillants comme miroir
Dans lesquels je puisais comme dans un grand livre
Pour guetter la lueur de cet immense espoir
Indiquant pour toujours qu'il était bon de vivre.
ENVOI
Nous avons traversé, toutes deux sans pouvoir
Effacer de nos cœurs qu'on ne pouvait que suivre
Cette route en lacets, car nul ne peut savoir
Ce qui viendra demain avant qu'on nous délivre
De ce souffle, ici bas, qui contient tant d'espoir,
Indiquant pour toujours qu'il était bon de vivre.
ELYSE Aujourd'hui à 4:34
J'ai vécu ici bas des instants si nombreux,
Qu'une nuit à rêver ne pourrait plus suffire,
Car ils viennent hanter mes moments douloureux,
Où le sommeil me fuit en ne pensant qu'au pire.
Cette nuit sans clarté, le ciel était tout noir,
Sans le disque d'argent je ne pouvais poursuivre
Le parcours de la lune au fascinant pouvoir,
Indiquant pour toujours que c'est si bon de vivre.
Je refais sans arrêt le bilan malheureux
De ces ans gaspilleurs, où j'essayais de rire,
Pour cacher mes chagrins et mes doutes affreux,
Qui étaient lancinants quand on ne peut les dire.
Mon visage avenant, cachait bien des tourments,
Tant lourde était la peur que je doive survivre
A l'enfant du printemps et ses efforts constants,
Indiquant pour toujours qu'il était bon de vivre.
J'ai pour elle tant fait de prières et vœux
Et de sanglots cachés plus qu'on ne peut décrire.
Je me souviens encor du cuivre des cheveux
Nimbant de clarté son visage de cire
Et même de ses yeux brillants comme miroir
Dans lesquels je puisais comme dans un grand livre
Pour guetter la lueur de cet immense espoir
Indiquant pour toujours qu'il était bon de vivre.
ENVOI
Nous avons traversé, toutes deux sans pouvoir
Effacer de nos cœurs qu'on ne pouvait que suivre
Cette route en lacets, car nul ne peut savoir
Ce qui viendra demain avant qu'on nous délivre
De ce souffle, ici bas, qui contient tant d'espoir,
Indiquant pour toujours qu'il était bon de vivre.
TITEFEE- Nombre de messages : 1505
Localisation : ardèche et alsace
Date d'inscription : 16/04/2008
Re: Le temps nous balade
Qu'il est bon de te lire :jaten: la tristesse larme à l'oeil penchée sur l'espoir
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