LL'ivrogne et son fils
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LL'ivrogne et son fils
L'ivrogne et son fils
La porte, d un coup s'ouvre si violemment,
Qu'elle vient percuter le petit enfant
Qui s était endormi, tassé sur le côté
Dans le noir de ce minuscule carré
Un homme à la silhouette massive
Est là qui grossièrement l'injective
Son haleine dés le matin est avinée
Va pas être drôle, pour l'enfant cette journée.
Un dernier regard vers le minuscule cagibi
Où dès le soir, il y passera la nuit.
Il est obscur, puant d'excréments.
Il s'y sent bien pourtant le petit enfant
Protégé, par la totale obscurité.
L'homme ici, au moins ne peut le frapper.
Au début dans sa, candeur, sa naïveté,,
Le dieu tout puisant là-haut il a prié.
- Ho toi qui vois tout, qui est si grand…
Viens descend protéger le petit enfant.
Puis à genoux il a attendu, attendu
Mais la réponse n'est jamais venue.
Les années doucement ont défilées
Avec le temps la force, de camp a changé.
Dans un hôpital, un vieux usé par la maladie.
L'enfant-homme se tient assis près du lit
- Mon fils, tu sais jamais j'ai oublié.
Les coups, et tout le mal que je t'ai fait
Et si jamais je n'ai osé t'en parler.
Le remord lui de trêve ne m'as laissé.
- Non, non mon père n'ait pas de regrets
Depuis si longtemps je t'ai pardonné.
L'amour que tu as su me donner
A déjà de par sa force tout effacée.
Le vil alcool que tu ingurgitais
Dictait tes actes et tes pensées.
J'admire la force et le courage que tu as eu
Un jour de dire, finis je ne bois plus.
Alors d'un coup mon papa j'ai retrouvé
Et de plein d'amour tu m'as comblé.
Aussi si un père on me demande de choisir
Vers toi mon doigt se lèvera sans fléchir.
Le vieil homme a sombré dans le coma.
L'enfant-homme près de lui est toujours là.
Le dieu tout puisant là-haut il a prié
Ho toi qui vois tout, qui est si grand
Viens descend protéger le petit enfant.
Puis à genoux il a attendu, attendu
Mais la réponse n'est jamais venue.
La porte, d un coup s'ouvre si violemment,
Qu'elle vient percuter le petit enfant
Qui s était endormi, tassé sur le côté
Dans le noir de ce minuscule carré
Un homme à la silhouette massive
Est là qui grossièrement l'injective
Son haleine dés le matin est avinée
Va pas être drôle, pour l'enfant cette journée.
Un dernier regard vers le minuscule cagibi
Où dès le soir, il y passera la nuit.
Il est obscur, puant d'excréments.
Il s'y sent bien pourtant le petit enfant
Protégé, par la totale obscurité.
L'homme ici, au moins ne peut le frapper.
Au début dans sa, candeur, sa naïveté,,
Le dieu tout puisant là-haut il a prié.
- Ho toi qui vois tout, qui est si grand…
Viens descend protéger le petit enfant.
Puis à genoux il a attendu, attendu
Mais la réponse n'est jamais venue.
Les années doucement ont défilées
Avec le temps la force, de camp a changé.
Dans un hôpital, un vieux usé par la maladie.
L'enfant-homme se tient assis près du lit
- Mon fils, tu sais jamais j'ai oublié.
Les coups, et tout le mal que je t'ai fait
Et si jamais je n'ai osé t'en parler.
Le remord lui de trêve ne m'as laissé.
- Non, non mon père n'ait pas de regrets
Depuis si longtemps je t'ai pardonné.
L'amour que tu as su me donner
A déjà de par sa force tout effacée.
Le vil alcool que tu ingurgitais
Dictait tes actes et tes pensées.
J'admire la force et le courage que tu as eu
Un jour de dire, finis je ne bois plus.
Alors d'un coup mon papa j'ai retrouvé
Et de plein d'amour tu m'as comblé.
Aussi si un père on me demande de choisir
Vers toi mon doigt se lèvera sans fléchir.
Le vieil homme a sombré dans le coma.
L'enfant-homme près de lui est toujours là.
Le dieu tout puisant là-haut il a prié
Ho toi qui vois tout, qui est si grand
Viens descend protéger le petit enfant.
Puis à genoux il a attendu, attendu
Mais la réponse n'est jamais venue.
:snif: :snif: :snif: :snif: :( :) :D :D :D
Invité- Invité
Re: LL'ivrogne et son fils
Je n'ai pas de mots pour répondre à ton poème, mais voici ce qu'il vient vient de m'inspirer en le lisant à l'instant
Poussé par l'alcool toute hargne il déversait
Sur les siens qui n'attendent que de la tendresse
Mais ivre mort chaque soir chez lui il rentrait
Pour un rien il frappait aveuglée par l'ivresse
Cognant sur son épouse jadis tant chérie
Frappant ses enfants, essayant de la défendre
Criant que le flouze qui le gagnait, c'était lui
De son pouvoir usant, pour tous les pourfendre
Un soir ivre mort, il tapait, tapait si fort
Son épouse au sol, ne demandait plus grâce
Il cognait toujours hurlant en veux tu encore
Les enfants impuissants seront les seuls témoins
De cette violence, gérée par la vinasse
Priant en silence, que Dieu s'en mêle enfin...
Nandy le 25/03/07 à 18h 40
Re: LL'ivrogne et son fils
Et moi il m'a fait me souvenir de celui-ci.
J'ai beaucoup aimé ton texte.
Comme une île magnifique et déserte
Je voulais partir à ta découverte
Et peu à peu je t'ai aimé
Et tu m'as aimée à ton tour
Nous avons vogué sur l'océan de l'amour
Le vent était doux et le ciel clément
Nous avons accosté, trouvant un "chez nous"
Vivants heureux en parfaits époux
Au milieu des enfants joyeux
Mais les nuages se sont amoncelés
Nul ne sait d'où ils ont déboulé
Et les éclairs annonçaient l'orage
Ta violence n'était que latente
Au début un peu hésitante
Juste une voix qui doucement se hausse
Ah que ne suis-je partie au premier coup
Ce jour-là tu n'étais plus mon époux
Et pourtant mon amour n'a pas disparu
Ce n'était qu'une erreur mais est venue l'habitude
Quand chaque mot devenait le prélude
Inexorablement à de nouvelles erreurs
Et pourtant j'ai continué à t'aimer
Car en moi le souvenir vivait
D'un fier marin sur l'océan
Mais aujourd'hui tout est fini
Je sens en moi la nuit qui m'envahit
Tu as été trop loin, bien trop loin...
Mes dernières pensées vont aux enfants
Mes dernières larmes également...
Puissent-elles arroser leur avenir...
le 25/11/2006
Je voulais partir à ta découverte
Et peu à peu je t'ai aimé
Et tu m'as aimée à ton tour
Nous avons vogué sur l'océan de l'amour
Le vent était doux et le ciel clément
Nous avons accosté, trouvant un "chez nous"
Vivants heureux en parfaits époux
Au milieu des enfants joyeux
Mais les nuages se sont amoncelés
Nul ne sait d'où ils ont déboulé
Et les éclairs annonçaient l'orage
Ta violence n'était que latente
Au début un peu hésitante
Juste une voix qui doucement se hausse
Ah que ne suis-je partie au premier coup
Ce jour-là tu n'étais plus mon époux
Et pourtant mon amour n'a pas disparu
Ce n'était qu'une erreur mais est venue l'habitude
Quand chaque mot devenait le prélude
Inexorablement à de nouvelles erreurs
Et pourtant j'ai continué à t'aimer
Car en moi le souvenir vivait
D'un fier marin sur l'océan
Mais aujourd'hui tout est fini
Je sens en moi la nuit qui m'envahit
Tu as été trop loin, bien trop loin...
Mes dernières pensées vont aux enfants
Mes dernières larmes également...
Puissent-elles arroser leur avenir...
le 25/11/2006
J'ai beaucoup aimé ton texte.
Djoe l'indien- Nombre de messages : 2207
Age : 50
Localisation : Au chaud sous mon tipi
Date d'inscription : 02/10/2006
Re: LL'ivrogne et son fils
C'est très beau malgré la tristesse ! Encore quand ça finit bien c'est mieux bien sur !
Marilou- Nombre de messages : 3853
Localisation : Là où j'ai envie
Date d'inscription : 03/02/2007
Re: LL'ivrogne et son fils
C'est vrai que c'est pas la page la plus gaie du forum
Là, on a fait fort, quand même...
Là, on a fait fort, quand même...
Djoe l'indien- Nombre de messages : 2207
Age : 50
Localisation : Au chaud sous mon tipi
Date d'inscription : 02/10/2006
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