Comme un raz de marée...
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Comme un raz de marée...
Comme un raz de marée...
J'avançais tranquille, sans me soucier du monde
Depuis la rive, j'entends l'orage qui gronde
Soudain un éclair, vint troubler ma quiétude
Je n'étais pas fière, c'était une certitude
Depuis toujours, j'ai vu le pire et le meilleur
Des nuits et des jours, où j'ai mal mené mon cœur
Ce raz de marée, allait changer les choses
Ma vie propulser, entre épines et roses
C'est un revirement, ma vie de solitaire
Prend un tournant demain ne sera pas hier
C'est un raz de marée, qui me bouleverse
Emotions violées, les vers crient leur detresse
Envoyée au diable, par des voleurs de rimes
Poignardant l'âme de toutes les victimes.
Nandy le 01/04/07 à 21h 25
J'avançais tranquille, sans me soucier du monde
Depuis la rive, j'entends l'orage qui gronde
Soudain un éclair, vint troubler ma quiétude
Je n'étais pas fière, c'était une certitude
Depuis toujours, j'ai vu le pire et le meilleur
Des nuits et des jours, où j'ai mal mené mon cœur
Ce raz de marée, allait changer les choses
Ma vie propulser, entre épines et roses
C'est un revirement, ma vie de solitaire
Prend un tournant demain ne sera pas hier
C'est un raz de marée, qui me bouleverse
Emotions violées, les vers crient leur detresse
Envoyée au diable, par des voleurs de rimes
Poignardant l'âme de toutes les victimes.
Nandy le 01/04/07 à 21h 25
Dernière édition par le Mar 03 Avr 2007, 18:07, édité 1 fois
Re: Comme un raz de marée...
Sous le calme apparent
La tempête fait rage !
La tempête fait rage !
frisonne- Nombre de messages : 5481
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 16/02/2007
Re: Comme un raz de marée...
Les griffes sont rentrées
Mais toujours sur le qui vive.
Les griffes de velours
Mais toujours sur le qui vive.
Les griffes de velours
Invité- Invité
Re: Comme un raz de marée...
Les poèmes portés par un vent fou
Heurtent de plein fouet
Le fronton de l’incompréhension
Eclatés et vidés de leur substance
Ils finissent leur course
Dans un amas pathétique
Plus rien ne les distingue
D’une immonde crotte
Qu’évite soigneusement le passant
Qu’est-il besoin après avoir écrit des pages
Parés de tant de quartiers de bassesse
Qu’est-il besoin d’avoir fait tant de plagia
Quand l’infortune vous saisit au collet
Pauvres poèmes disséqués dans la folie
Vous ne méritiez pas cette infamie.
Heurtent de plein fouet
Le fronton de l’incompréhension
Eclatés et vidés de leur substance
Ils finissent leur course
Dans un amas pathétique
Plus rien ne les distingue
D’une immonde crotte
Qu’évite soigneusement le passant
Qu’est-il besoin après avoir écrit des pages
Parés de tant de quartiers de bassesse
Qu’est-il besoin d’avoir fait tant de plagia
Quand l’infortune vous saisit au collet
Pauvres poèmes disséqués dans la folie
Vous ne méritiez pas cette infamie.
Invité- Invité
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