Songes hamilcar et toncartkt
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Songes hamilcar et toncartkt
Les cris de l'affreux le soir au-dessus des rimes :
Ou le duel amoureux d'un maître et d'un pédant
La belle, le soir venu, la dame au balcon,
Le baladin passant là, entendant ce ton,
Du rustre mal tenu, tenant un laid jargon,
La gueuze l'assista, se prenant une leçon
Des songes, dans mes nuits, là où je crie l’ennui,
Nul ne m’accompagne, la lune est dans le puit…
Voilà telle rose, ma gente demoiselle,
Vous dira ces choses qui vont vous rendre belle
Comment puis-je accepter, ici, pareil présent,
Par des mots si gracieux, berçants et émouvants,
Souffrez que je baise vos jolies menottes
J’en serais bien aise, voyez donc mes quenottes
Que de pitié, à mon regard, vous engendrez
Je vous rends maintenant, cette rose fanée
Me rejeter ? La perdrix des hôtes de ce bois ?
Tu vas voir de quel bois je peux me chauffer, Moi !
Vous ? Tel vil mécréant, vous n'allumez la fine
Perdrix tombée en vol, garez-vous les épines !
Quelle audace ! Ainsi vous osez me rejeter ?
Je vous montrerai comment je suis nommé !
Qu’est-ce donc que cela ? Holà, le vil maraud !
Est-ce donc ainsi que l’on s’adresse à une dame ?
Je vous ferais tâter du revers du sabot
Si des promptes excuses vous n’en faites réclame !
Olé, devant vous, point je ne me démonte,
A cette dame, sur qui, là… je monte,
Pourriez-vous me laisser, la finir, ainsi…
M’abaisser à vous instruire, de vous, il suffit…
Eh, bien triste sire de bien mauvais aloi
Comment osez-vous dire ainsi de telles choses
Je vous ferai goûter au courroux de ma loi
Pour avoir avili l’honneur de cette rose
Je me laverais de vos affronts, en tes paroles,
Gouttant vos larmes, sur mon corps, ainsi nettoyé,
Sa seigneurie m’implore, de la laisser disgrâce,
Osez, là, me mirer, voir la beauté en face
Il suffit ! Présentez vos excuses à la dame
Suppliez son pardon pour votre outrecuidance
Obtempérez sitôt, où du fer de cette lame
Par ma foi, le maraud, le caquet, je vous tance
Comme mon poing, volette vers votre gueulard,
Vos oratoires, endormant tous ces théâtres,
Contre ma plume, vous êtes le ringard,
Je vous confesserai comme ce vieux pâtre…
Votre rhétorique ne sied point en ces lieux
Je m’en vais de ce pas vous astiquer le cuir
Si je n’obtiens céans de suite les aveux
Si vous n’obtempérez, je vous enjoins de fuir
Disgrâce, votre bâton, pour m’être paumé,
N’a d’égal, que ces héros, tous oubliés,
Car, ne sachant manier, la plume et l’épée,
Je me vois, las, ici, bas, mal engagé,
Souffrez belle dame qu’on vous offre un cœur
Pur, noble et sans tâche pour votre avenir
Ce vil rustre maraud ne vous fera plus peur
Il court encore au loin, ne peut plus revenir
Quelles belles manières et quel beau défi
Le coeur d'une gente dame, vous avez conquis
Si le destin voulait, je serais votre amie
De ce coeur, vous en deviendriez une partie
Ainsi belle prestance en fleur vous garderez
De votre flagrance, la douceur de vos yeux,
C’est votre romance, quand vous m’embrasserez,
Ma douce Florence les plus beaux des aveux
Vous parlez avec grâce mais je saurai vous mater
Vous faisant goûter la saveur de mes poings
Personne n’a réussi à me faire plier
J’ai beaucoup d’amis qui ne sont jamais loin
Apprenez donc à rester là, à votre place,
Au ras du sol, misérables, sont les limaces
Fétide scélérat, tu n’es assez loquace
Pour qu’en ces divins lieux, tu puisses laisser trace
Gueux, décharné de vers, retourné ou enfuis,
Outre ces tombes, envers moi, un paradis,
Un pantin, pantelant, patine à l’ennui,
Isolé, lassé, dans le profond de ma vie,
Ô douce âme élevé, mon cœur à l’écoute,
De ton râle enlevé, nous deux sur la route,
Que ta flamme levée, illumine la voie,
Puisse te relever, entend juste ma voix…
Prenez garde Madame, à qui vous soutenez
C’est un triste sire dont vous prenez défense
Bientôt il brisera vos rêves surannés
Chassera vos amis et vous fera offense
Ô mon sire, éploré, de ce sort, se lamente,
Ma main tendue, vers toi, rude, pour me rallier,
Dans cette affliction, je viens à toi, en amante
Autant d’infortune, en moi ont pris un palier…
Le sort m'est infidèle comme l'est cette femme
D'un petit mot d'amour j'en attendais faveurs
Ce noble paladin en a acquis la flamme
Je subis les débours et lui conquiert le cœur
Comme un sire, durcis, au milieu de la brume,
Résistant à la vie, hurlant sans amertume,
Va quérir ton honneur, dont se glorifie ton cœur,
Et pour notre bonheur, va, échine le sans peur,
Autant de sentiments qui sont si mal placés
Pour une telle brute ? Ah quel beau gaspillage !
Pour vous, serais clément envers ce débauché
Guérissez-vous-en vite, de cet enfantillage
Comme une disgrâce, ici apparaissez,
Moyennant de l’audace, pour tenter de palabrer,
À l‘égard de ce sire, suprématie sublimée,
Que vous voyez partir, un moment la tête baissée
Escorté par ta voix, et tes prompts compliments,
Je me ferais éloge de ma vaillante estime,
Cette passion revient dans un enchantement,
J’irai, avec panache, prendre revanche en prime,
En voilà plus qu’assez, vous ferais rendre gorge
De tous vos vils méfaits, vous en payerez la dîme
De votre vilenie, il faut que l’on vous purge
Je m’en vais vous châtier pour expier vos crimes
Sire, la main de dieu est là, pour vous guidez,
Quand votre maléfice fera des vraies merveilles,
Au malfaisant, serez du trépas son réveil
Votre chair si parfaite, bâtie pour tuer
J’étais dans la cohorte et me suis renié
Depuis cette faute me suis comme un boulet
Avec force et courage nul ne m’a résisté
J’ai dompté plus résistant que ce freluquet
Ma patience est à bout, vous briserai, manant
Je vous obligerai à faire politesse
Vous vivez dans la boue, restez-y maintenant
Baissez votre regard, lorsqu’à vous je m’adresse
Je vous transpercerais, votre tombe est scellée,
Votre niaiserie sotte, ma sagesse infinie,
Vous serez oublié, tel un héraut qui crie,
Vous êtes un cloporte, je m’en vais vous crever
Vous l’ardent fanatique mon cœur saura châtier,
Ce sentiment de médiocrité qui vous sied,
Celui en vous ancré comme le sera ma dague,
À votre front miteux, je scellerai ma bague…
Je n’ai pas peur de vous, je saurai faire face
Oui, vas-y mon biquet, casse-lui donc les os
Je vais vous faire très mal, vous demanderez grâce
C’est cela mon chéri, ravalez-lui ses mots
Laissez-le mon ami, il n’en vaut pas la peine
À se montrer hardi pour les yeux de sa gueuze
Voyez-le donc ainsi dans la boue il se traîne
Laissez-lui donc la vie, vous la rendrez heureuse
Je vous empalerais, je vous ferais misère,
Avec force attaquez, tenez-le pour un sot
Me jouerais de vous, je vous ferais me plaire,
Hardi le combattez, remplissez-le de maux
Je vous promets, ma belle, un splendide combat
Une grandiose, émérite victoire
Regarde-moi femelle, encense mes ébats
Je vous tiens en osmose, ne leur offrir d’espoir
Vous craindrez mes paroles, vous me rendrez estime
De vos propres propos ainsi vous pourfendrai
Vous êtes bien trop sot pour soutenir l’escrime
En quelques phrases vous changerez de sujet
Je vous écraserai comme on broie un loustic
Je suis mieux que moustique, vous sentirez mon dard
Bien vous redresserai avec des coups de trique
Cela sera bientôt, avant qu'il ne soit tard
Quelques coups de bâton vous mettront à mesure
Votre déconfiture, partout proclamerez
Pitié mon grand seigneur, vous m'eûtes à l'usure
Déguerpissez, manant, hors de ma vue, filez !!!!
Alors je vais, perdu, tel une ombre en exil…
Une prison recluse, seul, banni, loin des îles,
Me cacher, n’être vu, et me voiler la face,
Je ne suis qu’une buse, mise à mort dans la place
Hamilcar
Toncartkt
http://pp4c178.copyrightfrance.com/
Ou le duel amoureux d'un maître et d'un pédant
La belle, le soir venu, la dame au balcon,
Le baladin passant là, entendant ce ton,
Du rustre mal tenu, tenant un laid jargon,
La gueuze l'assista, se prenant une leçon
Des songes, dans mes nuits, là où je crie l’ennui,
Nul ne m’accompagne, la lune est dans le puit…
Voilà telle rose, ma gente demoiselle,
Vous dira ces choses qui vont vous rendre belle
Comment puis-je accepter, ici, pareil présent,
Par des mots si gracieux, berçants et émouvants,
Souffrez que je baise vos jolies menottes
J’en serais bien aise, voyez donc mes quenottes
Que de pitié, à mon regard, vous engendrez
Je vous rends maintenant, cette rose fanée
Me rejeter ? La perdrix des hôtes de ce bois ?
Tu vas voir de quel bois je peux me chauffer, Moi !
Vous ? Tel vil mécréant, vous n'allumez la fine
Perdrix tombée en vol, garez-vous les épines !
Quelle audace ! Ainsi vous osez me rejeter ?
Je vous montrerai comment je suis nommé !
Qu’est-ce donc que cela ? Holà, le vil maraud !
Est-ce donc ainsi que l’on s’adresse à une dame ?
Je vous ferais tâter du revers du sabot
Si des promptes excuses vous n’en faites réclame !
Olé, devant vous, point je ne me démonte,
A cette dame, sur qui, là… je monte,
Pourriez-vous me laisser, la finir, ainsi…
M’abaisser à vous instruire, de vous, il suffit…
Eh, bien triste sire de bien mauvais aloi
Comment osez-vous dire ainsi de telles choses
Je vous ferai goûter au courroux de ma loi
Pour avoir avili l’honneur de cette rose
Je me laverais de vos affronts, en tes paroles,
Gouttant vos larmes, sur mon corps, ainsi nettoyé,
Sa seigneurie m’implore, de la laisser disgrâce,
Osez, là, me mirer, voir la beauté en face
Il suffit ! Présentez vos excuses à la dame
Suppliez son pardon pour votre outrecuidance
Obtempérez sitôt, où du fer de cette lame
Par ma foi, le maraud, le caquet, je vous tance
Comme mon poing, volette vers votre gueulard,
Vos oratoires, endormant tous ces théâtres,
Contre ma plume, vous êtes le ringard,
Je vous confesserai comme ce vieux pâtre…
Votre rhétorique ne sied point en ces lieux
Je m’en vais de ce pas vous astiquer le cuir
Si je n’obtiens céans de suite les aveux
Si vous n’obtempérez, je vous enjoins de fuir
Disgrâce, votre bâton, pour m’être paumé,
N’a d’égal, que ces héros, tous oubliés,
Car, ne sachant manier, la plume et l’épée,
Je me vois, las, ici, bas, mal engagé,
Souffrez belle dame qu’on vous offre un cœur
Pur, noble et sans tâche pour votre avenir
Ce vil rustre maraud ne vous fera plus peur
Il court encore au loin, ne peut plus revenir
Quelles belles manières et quel beau défi
Le coeur d'une gente dame, vous avez conquis
Si le destin voulait, je serais votre amie
De ce coeur, vous en deviendriez une partie
Ainsi belle prestance en fleur vous garderez
De votre flagrance, la douceur de vos yeux,
C’est votre romance, quand vous m’embrasserez,
Ma douce Florence les plus beaux des aveux
Vous parlez avec grâce mais je saurai vous mater
Vous faisant goûter la saveur de mes poings
Personne n’a réussi à me faire plier
J’ai beaucoup d’amis qui ne sont jamais loin
Apprenez donc à rester là, à votre place,
Au ras du sol, misérables, sont les limaces
Fétide scélérat, tu n’es assez loquace
Pour qu’en ces divins lieux, tu puisses laisser trace
Gueux, décharné de vers, retourné ou enfuis,
Outre ces tombes, envers moi, un paradis,
Un pantin, pantelant, patine à l’ennui,
Isolé, lassé, dans le profond de ma vie,
Ô douce âme élevé, mon cœur à l’écoute,
De ton râle enlevé, nous deux sur la route,
Que ta flamme levée, illumine la voie,
Puisse te relever, entend juste ma voix…
Prenez garde Madame, à qui vous soutenez
C’est un triste sire dont vous prenez défense
Bientôt il brisera vos rêves surannés
Chassera vos amis et vous fera offense
Ô mon sire, éploré, de ce sort, se lamente,
Ma main tendue, vers toi, rude, pour me rallier,
Dans cette affliction, je viens à toi, en amante
Autant d’infortune, en moi ont pris un palier…
Le sort m'est infidèle comme l'est cette femme
D'un petit mot d'amour j'en attendais faveurs
Ce noble paladin en a acquis la flamme
Je subis les débours et lui conquiert le cœur
Comme un sire, durcis, au milieu de la brume,
Résistant à la vie, hurlant sans amertume,
Va quérir ton honneur, dont se glorifie ton cœur,
Et pour notre bonheur, va, échine le sans peur,
Autant de sentiments qui sont si mal placés
Pour une telle brute ? Ah quel beau gaspillage !
Pour vous, serais clément envers ce débauché
Guérissez-vous-en vite, de cet enfantillage
Comme une disgrâce, ici apparaissez,
Moyennant de l’audace, pour tenter de palabrer,
À l‘égard de ce sire, suprématie sublimée,
Que vous voyez partir, un moment la tête baissée
Escorté par ta voix, et tes prompts compliments,
Je me ferais éloge de ma vaillante estime,
Cette passion revient dans un enchantement,
J’irai, avec panache, prendre revanche en prime,
En voilà plus qu’assez, vous ferais rendre gorge
De tous vos vils méfaits, vous en payerez la dîme
De votre vilenie, il faut que l’on vous purge
Je m’en vais vous châtier pour expier vos crimes
Sire, la main de dieu est là, pour vous guidez,
Quand votre maléfice fera des vraies merveilles,
Au malfaisant, serez du trépas son réveil
Votre chair si parfaite, bâtie pour tuer
J’étais dans la cohorte et me suis renié
Depuis cette faute me suis comme un boulet
Avec force et courage nul ne m’a résisté
J’ai dompté plus résistant que ce freluquet
Ma patience est à bout, vous briserai, manant
Je vous obligerai à faire politesse
Vous vivez dans la boue, restez-y maintenant
Baissez votre regard, lorsqu’à vous je m’adresse
Je vous transpercerais, votre tombe est scellée,
Votre niaiserie sotte, ma sagesse infinie,
Vous serez oublié, tel un héraut qui crie,
Vous êtes un cloporte, je m’en vais vous crever
Vous l’ardent fanatique mon cœur saura châtier,
Ce sentiment de médiocrité qui vous sied,
Celui en vous ancré comme le sera ma dague,
À votre front miteux, je scellerai ma bague…
Je n’ai pas peur de vous, je saurai faire face
Oui, vas-y mon biquet, casse-lui donc les os
Je vais vous faire très mal, vous demanderez grâce
C’est cela mon chéri, ravalez-lui ses mots
Laissez-le mon ami, il n’en vaut pas la peine
À se montrer hardi pour les yeux de sa gueuze
Voyez-le donc ainsi dans la boue il se traîne
Laissez-lui donc la vie, vous la rendrez heureuse
Je vous empalerais, je vous ferais misère,
Avec force attaquez, tenez-le pour un sot
Me jouerais de vous, je vous ferais me plaire,
Hardi le combattez, remplissez-le de maux
Je vous promets, ma belle, un splendide combat
Une grandiose, émérite victoire
Regarde-moi femelle, encense mes ébats
Je vous tiens en osmose, ne leur offrir d’espoir
Vous craindrez mes paroles, vous me rendrez estime
De vos propres propos ainsi vous pourfendrai
Vous êtes bien trop sot pour soutenir l’escrime
En quelques phrases vous changerez de sujet
Je vous écraserai comme on broie un loustic
Je suis mieux que moustique, vous sentirez mon dard
Bien vous redresserai avec des coups de trique
Cela sera bientôt, avant qu'il ne soit tard
Quelques coups de bâton vous mettront à mesure
Votre déconfiture, partout proclamerez
Pitié mon grand seigneur, vous m'eûtes à l'usure
Déguerpissez, manant, hors de ma vue, filez !!!!
Alors je vais, perdu, tel une ombre en exil…
Une prison recluse, seul, banni, loin des îles,
Me cacher, n’être vu, et me voiler la face,
Je ne suis qu’une buse, mise à mort dans la place
Hamilcar
Toncartkt
http://pp4c178.copyrightfrance.com/
Dernière édition par le Sam 11 Aoû 2007, 15:53, édité 1 fois
toncartkt- Nombre de messages : 75
Date d'inscription : 22/06/2007
Re: Songes hamilcar et toncartkt
Waouuu... je viens de le lire ... quel duel... oh pardon... quel duo... j'aime ... merci à vous deux ... Hami et toi...
Re: Songes hamilcar et toncartkt
35min pour la mise en page sur ton site :xdfire:
toncartkt- Nombre de messages : 75
Date d'inscription : 22/06/2007
Re: Songes hamilcar et toncartkt
p.s. laisse un mot sur mp, ça fera plaisir à hami
toncartkt- Nombre de messages : 75
Date d'inscription : 22/06/2007
Re: Songes hamilcar et toncartkt
toncartkt a écrit:p.s. laisse un mot sur mp, ça fera plaisir à hami
??????????????
Re: Songes hamilcar et toncartkt
ok me suis trompée de site... mon com c'est ici que je le voulais pas là bas ... je recommence
Toncartkt, je sus allée voir car tu m'y as envoyée, et comme j'avais déjà répondu... je pensais que quelqun avait effacé mon commentaire... grrrr
pas trop claire moi ce soir.... besooin de vacances... voilà... je part ebn vacances dix minutes... alors à bient^t... lol
Toncartkt, je sus allée voir car tu m'y as envoyée, et comme j'avais déjà répondu... je pensais que quelqun avait effacé mon commentaire... grrrr
pas trop claire moi ce soir.... besooin de vacances... voilà... je part ebn vacances dix minutes... alors à bient^t... lol
Re: Songes hamilcar et toncartkt
Tigresse/Nandy a écrit:où est passé mon com???
Ah, tu vois, quand on te disais que parfois des com disparaissent :lol!:
Bon, c'est rare, très rare, mais je crois que ça arrive quand même :D
Ah moins que bêtement tu fasse parfois comme moi. Tu fais "prévisualisation" puis tu pars voir ailleurs sans faire "envoyer" :puce:
Et...euh, désolé toncartkt et hamilcar...J'ai pas encore tout lu !
Djoe l'indien- Nombre de messages : 2207
Age : 50
Localisation : Au chaud sous mon tipi
Date d'inscription : 02/10/2006
Re: Songes hamilcar et toncartkt
c'est à dire que dès que j'ai un mp je clique dessus pour aller le lire et hop mon com disparait et je le retrouve plus mdrrrrr
Re: Songes hamilcar et toncartkt
et t'en penses quoi?
vous comprenez tout?
vous comprenez tout?
toncartkt- Nombre de messages : 75
Date d'inscription : 22/06/2007
Re: Songes hamilcar et toncartkt
Bonjour Toncartkt
Un formidable comte fort bien réalisé,j'aime beaucoup
Amicalement
fabien
Un formidable comte fort bien réalisé,j'aime beaucoup
Amicalement
fabien
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