Comme un château de cartes,
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Comme un château de cartes,
Tout est entrain de s’écrouler,
Mes chastes résolutions, envolées!
Mon corps et mon esprit ne demandent qu’une chose,
A nouveau succomber, mes sens explosent.
Je ne voulais plus penser au gout de tes lèvres,
Ne plus me souvenir de tes mains, ces orfèvres,
Oublier la douceur de ta langue,
Effacer la tendresse de tes bras, je suis exsangue.
Tu hantes mes jours et mes nuits,
Je ne rêve que de te ravir dans mon Paradis,
Te chérir, te protéger, te câliner, t’aimer,
Te faire l’amour encore et à jamais.
Te couvrir de soyeuses caresses,
Ma peau avide, sommeille, réveilles là en tendresse.
Mon corps brûle de ranimer le tien,
Cette fièvre me consume comme un rêve païen.
Je veux m’allonger près de toi,
Te masser, t’effleurer tel un roi,
Tes yeux je vais les fermer,
Par des baisers sucrés.
Ne te refrènes pas, laisses toi emporter,
Laisses tes lèvres avouer,
Ce qui te semble incompatible, tes désirs insolents,
Ce qui te parait inconcevable, ton rêve impudent.
Sens mes doigts courir,
Laisses toi envahir,
Prends-moi dans tes bras,
Fais de notre désir, un apostolat.
Viens gouter mon corps,
Visiter mon trésor,
Viens apaisons notre fièvre,
Simplement : Carpe Diem : Vivre et non Survivre.
Mes chastes résolutions, envolées!
Mon corps et mon esprit ne demandent qu’une chose,
A nouveau succomber, mes sens explosent.
Je ne voulais plus penser au gout de tes lèvres,
Ne plus me souvenir de tes mains, ces orfèvres,
Oublier la douceur de ta langue,
Effacer la tendresse de tes bras, je suis exsangue.
Tu hantes mes jours et mes nuits,
Je ne rêve que de te ravir dans mon Paradis,
Te chérir, te protéger, te câliner, t’aimer,
Te faire l’amour encore et à jamais.
Te couvrir de soyeuses caresses,
Ma peau avide, sommeille, réveilles là en tendresse.
Mon corps brûle de ranimer le tien,
Cette fièvre me consume comme un rêve païen.
Je veux m’allonger près de toi,
Te masser, t’effleurer tel un roi,
Tes yeux je vais les fermer,
Par des baisers sucrés.
Ne te refrènes pas, laisses toi emporter,
Laisses tes lèvres avouer,
Ce qui te semble incompatible, tes désirs insolents,
Ce qui te parait inconcevable, ton rêve impudent.
Sens mes doigts courir,
Laisses toi envahir,
Prends-moi dans tes bras,
Fais de notre désir, un apostolat.
Viens gouter mon corps,
Visiter mon trésor,
Viens apaisons notre fièvre,
Simplement : Carpe Diem : Vivre et non Survivre.
réveuse- Invité
Re: Comme un château de cartes,
Bonsoir Reveuse
Une sensualité à chacun de tes mots qui rend ce poème trés ennivrant,trés joli
bisous
fabien
Une sensualité à chacun de tes mots qui rend ce poème trés ennivrant,trés joli
bisous
fabien
Re: Comme un château de cartes,
dommage que "l'inspirateur" de ce poème n'y voit que de simples mots...
réveuse- Invité
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