Et dire que ce calvaire est une réalité...
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Et dire que ce calvaire est une réalité...
L'Autriche était sous le choc lundi après la découverte dimanche d'une femme séquestrée pendant plus de 20 ans par son père qui lui aurait fait sept enfants, moins de deux ans après un autre cas sordide de séquestration, celui de la jeune Natascha Kampusch.
La police continuait ses investigations lundi dans la "maison de l'horreur" afin de déterminer les conditions de détention d'Elisabeth Fritzl, 42 ans, retenue captive durant 24 ans, avec trois de ses enfants, dans un espace étroit de 1m70 aménagé par son père dans la cave du pavillon familial à Amstetten, à une centaine de kilomètres à l'ouest de Vienne.
Le suspect, Josef Fritzl, 73 ans, arrêté dimanche, devait être présenté au juge d'application des peines dans la journée, a indiqué la police.
Dans un état psychologique et physique précaire, Elisabeth Fritzl, 42 ans, a affirmé à la police avoir vécu enfermée dans la cave de la maison familiale à Amstetten en Basse-Autriche (est) depuis le 28 août 1984. Ce jour-là, le père, Josef, aujourd'hui âgé de 73 ans et mis sous les verrous samedi soir, lui aurait administré un produit anesthésiant et l'aurait menottée dans une pièce en sous-sol.
© 2008 AFP L'Autriche sous le choc après un nouveau cas de séquestrationOfficiellement, elle avait été portée disparue et aurait même envoyé une lettre à ses parents demandant qu'on arrête les recherches pour la retrouver. Les autorités en avaient déduit qu'elle était tombée entre les griffes d'une secte. En réalité, elle a dû endurer des années de calvaire dans la cave du petit immeuble où résidait la famille au cours desquelles son père a "régulièrement abusé" d'elle, comme elle l'a raconté à la police. Elle aurait ainsi eu sept enfants de son père pendant sa détention.
L'affaire a été découverte après l'hospitalisation à la mi-avril d'une jeune fille de 19 ans transportée dans un état très grave à l'hôpital d'Amstetten. Afin de déterminer la nature de l'affection dont souffre la jeune Kerstin, les médecins ont cherché à entrer en contact avec la mère, Elisabeth Fritzl. Ces recherches ont permis de découvrir la séquestration samedi soir.
© 2008 AFP L'Autriche sous le choc après un nouveau cas de séquestrationAu fil des années, le père d'Elisabeth aurait réussi à adopter trois des enfants, faisant croire à sa femme, Rosemarie, et aux autorités, qu'ils avaient été déposés devant la porte de leur domicile à quelques années d'intervalle. Avec chacun des bébés déposés âgés de quelques mois, il y avait une lettre signée d'Elisabeth disant qu'elle ne pouvait subvenir à leurs besoins car elle avait déjà d'autres enfants.
Ces trois-là, dont les grands-parents Josef et Rosemarie ont eu officiellement la garde, ont semble-t-il pu suivre une scolarité normale et vivaient dans leur maison alors que leur mère et leurs trois autres frères et soeurs (une fille de 19 ans, un garçon de 18 et un de 5) végétaient dans la cave. Seul le père les aurait ravitaillés alors, son épouse ignorant leur présence.
Ce n'est que samedi qu'ils auraient été libérés, le patriarche ayant alors déclaré à sa femme qu'Elisabeth avait soudainement reparu avec ses enfants. Face aux accusations de "crimes massifs" de sa fille Elisabeth, qui aurait subi des sévices sexuels depuis l'âge de 11 ans, Josef n'a accepté que dimanche soir de révéler le code de la serrure électronique d'accès à la cache dans la cave du petit immeuble comptant quatre appartements. Il s'agit d'un espace étroit avec plusieurs pièces d'1m70 sous plafond doté de sanitaires et d'un téléviseur, selon la police.
Comme Kerstin, toujours entre la vie et la mort à l'hôpital, l'état de santé de sa mère, qui paraît 20 ans de plus que son âge, et de ses frères et soeurs est préoccupant.
Ni les voisins, ni les services sociaux ne semblent avoir été alertés dans cette affaire qualifiée de cas le plus dramatique de l'histoire criminelle autrichienne. Elle rappelle celui de Natascha Kampusch, retenue pendant huit ans et demi dans le sous-sol d'un pavillon de la banlieue de Vienne entre mars 1998 et août 2006 lorsqu'elle a réussi à s'échapper. Son ravisseur s'est suicidé le soir de l'évasion.
Dernier Actualise: Lundi, 28 Avril 2008, 21:16 GMT
La police continuait ses investigations lundi dans la "maison de l'horreur" afin de déterminer les conditions de détention d'Elisabeth Fritzl, 42 ans, retenue captive durant 24 ans, avec trois de ses enfants, dans un espace étroit de 1m70 aménagé par son père dans la cave du pavillon familial à Amstetten, à une centaine de kilomètres à l'ouest de Vienne.
Le suspect, Josef Fritzl, 73 ans, arrêté dimanche, devait être présenté au juge d'application des peines dans la journée, a indiqué la police.
Dans un état psychologique et physique précaire, Elisabeth Fritzl, 42 ans, a affirmé à la police avoir vécu enfermée dans la cave de la maison familiale à Amstetten en Basse-Autriche (est) depuis le 28 août 1984. Ce jour-là, le père, Josef, aujourd'hui âgé de 73 ans et mis sous les verrous samedi soir, lui aurait administré un produit anesthésiant et l'aurait menottée dans une pièce en sous-sol.
© 2008 AFP L'Autriche sous le choc après un nouveau cas de séquestrationOfficiellement, elle avait été portée disparue et aurait même envoyé une lettre à ses parents demandant qu'on arrête les recherches pour la retrouver. Les autorités en avaient déduit qu'elle était tombée entre les griffes d'une secte. En réalité, elle a dû endurer des années de calvaire dans la cave du petit immeuble où résidait la famille au cours desquelles son père a "régulièrement abusé" d'elle, comme elle l'a raconté à la police. Elle aurait ainsi eu sept enfants de son père pendant sa détention.
L'affaire a été découverte après l'hospitalisation à la mi-avril d'une jeune fille de 19 ans transportée dans un état très grave à l'hôpital d'Amstetten. Afin de déterminer la nature de l'affection dont souffre la jeune Kerstin, les médecins ont cherché à entrer en contact avec la mère, Elisabeth Fritzl. Ces recherches ont permis de découvrir la séquestration samedi soir.
© 2008 AFP L'Autriche sous le choc après un nouveau cas de séquestrationAu fil des années, le père d'Elisabeth aurait réussi à adopter trois des enfants, faisant croire à sa femme, Rosemarie, et aux autorités, qu'ils avaient été déposés devant la porte de leur domicile à quelques années d'intervalle. Avec chacun des bébés déposés âgés de quelques mois, il y avait une lettre signée d'Elisabeth disant qu'elle ne pouvait subvenir à leurs besoins car elle avait déjà d'autres enfants.
Ces trois-là, dont les grands-parents Josef et Rosemarie ont eu officiellement la garde, ont semble-t-il pu suivre une scolarité normale et vivaient dans leur maison alors que leur mère et leurs trois autres frères et soeurs (une fille de 19 ans, un garçon de 18 et un de 5) végétaient dans la cave. Seul le père les aurait ravitaillés alors, son épouse ignorant leur présence.
Ce n'est que samedi qu'ils auraient été libérés, le patriarche ayant alors déclaré à sa femme qu'Elisabeth avait soudainement reparu avec ses enfants. Face aux accusations de "crimes massifs" de sa fille Elisabeth, qui aurait subi des sévices sexuels depuis l'âge de 11 ans, Josef n'a accepté que dimanche soir de révéler le code de la serrure électronique d'accès à la cache dans la cave du petit immeuble comptant quatre appartements. Il s'agit d'un espace étroit avec plusieurs pièces d'1m70 sous plafond doté de sanitaires et d'un téléviseur, selon la police.
Comme Kerstin, toujours entre la vie et la mort à l'hôpital, l'état de santé de sa mère, qui paraît 20 ans de plus que son âge, et de ses frères et soeurs est préoccupant.
Ni les voisins, ni les services sociaux ne semblent avoir été alertés dans cette affaire qualifiée de cas le plus dramatique de l'histoire criminelle autrichienne. Elle rappelle celui de Natascha Kampusch, retenue pendant huit ans et demi dans le sous-sol d'un pavillon de la banlieue de Vienne entre mars 1998 et août 2006 lorsqu'elle a réussi à s'échapper. Son ravisseur s'est suicidé le soir de l'évasion.
Dernier Actualise: Lundi, 28 Avril 2008, 21:16 GMT
Re: Et dire que ce calvaire est une réalité...
C'est horrible ! Inimaginable ! Atroce ! Incroyable qu'il existe des choses pareilles. Qu'est ce qu'ils vont tous devenir ? :2: :4:
Marilou- Nombre de messages : 3853
Localisation : Là où j'ai envie
Date d'inscription : 03/02/2007
Re: Et dire que ce calvaire est une réalité...
Ralala... Oui, j'avais entendu ça a la radio...
Mais sur le coup j'avais pas tout compris, je te remercie Tigresse, je crois que je commence a comprendre les subtilités de l'histoire...
:4:
Nan, mais y'en a des pétés du casque, c'est pas possible !!
Pfffff...
:2:
Mais sur le coup j'avais pas tout compris, je te remercie Tigresse, je crois que je commence a comprendre les subtilités de l'histoire...
:4:
Nan, mais y'en a des pétés du casque, c'est pas possible !!
Pfffff...
:2:
Biche- Nombre de messages : 614
Age : 37
Localisation : Dans un duvet de plumes...
Date d'inscription : 08/05/2007
Re: Et dire que ce calvaire est une réalité...
Felix, le petit garçon de cinq ans, dernier-né de la cave, a hurlé de joie quand il a vu une vache dans un champ...
Re: Et dire que ce calvaire est une réalité...
marilou a écrit:C'est horrible ! Inimaginable ! Atroce ! Incroyable qu'il existe des choses pareilles. Qu'est ce qu'ils vont tous devenir ? :2: :4:
Les psychiatres estiment qu'il leur faut une thérapie qui dure de quatre à huit ans... ils sont tous ensemble, à part des autres patients...
Vous tapez "Fritzl" dans Google et vous obtenez les liens des journaux qui parlent de cette affaire...
Re: Et dire que ce calvaire est une réalité...
Je m'informe de cette affaire le plus possible... aux dernières nouvelles leur "nouvelle" vie (encadrée et protégée quand-même) se passe au mieux... concernant Josef Fritzl un psychiatre français dit qu'il ne peut y avoir irresponsabilité car il a tout prémédité...
Re: Et dire que ce calvaire est une réalité...
Merci Marcel... bien sur qu'il savait ce qu'il faisait...
moi j'ai ma p'tite idée de ce que je lui aurais fait si j"avais été sa femme... la lui couper en rondelles et les lui faire fouffer une à une... j'aurais prit mes avances ... avant que les flics ne l'aient embarqué... c'est bien ce qu'il mérite, comme tous ces ""monstres"" qui usent de leurs ""pouvoir ou force"" pour abuser des faibles ...
moi j'ai ma p'tite idée de ce que je lui aurais fait si j"avais été sa femme... la lui couper en rondelles et les lui faire fouffer une à une... j'aurais prit mes avances ... avant que les flics ne l'aient embarqué... c'est bien ce qu'il mérite, comme tous ces ""monstres"" qui usent de leurs ""pouvoir ou force"" pour abuser des faibles ...
Re: Et dire que ce calvaire est une réalité...
A force de googler fréquemment à la recherche d'information je suis tombé sur le cas de Fred West en Angleterre...
Il a violé et tué douze jeunes femmes, sa seconde femme l'a aidé dans certains cas (tiens, ça me fait penser à quelque chose)...
Sa seconde femme a assassiné la fille qu'il avait eu avec sa première femme...
En 1995 Fred West s'est pendu dans sa cellule alors qu'il attendait son procés...
Sa seconde femme est en prison...
Il a violé et tué douze jeunes femmes, sa seconde femme l'a aidé dans certains cas (tiens, ça me fait penser à quelque chose)...
Sa seconde femme a assassiné la fille qu'il avait eu avec sa première femme...
En 1995 Fred West s'est pendu dans sa cellule alors qu'il attendait son procés...
Sa seconde femme est en prison...
Re: Et dire que ce calvaire est une réalité...
Josef Fritzl menaçait sa famille séquestrée que s'ils tentaient quoi que ce soit contre lui ils seraient gazés... c'était du bluff... il a dit également à la police que s'il devait disparaître un système d'ouverture automatique de la porte fonctionnerait au bout d'un certain temps... c'est un mensonge...
Pour suivre l'affaire au plus prés je regarde les journaux autrichiens et je fais une traduction automatique... on comprend à peu prés... parce que si c'était pas si grave, c'est des éclats de rire assurés...
Pour suivre l'affaire au plus prés je regarde les journaux autrichiens et je fais une traduction automatique... on comprend à peu prés... parce que si c'était pas si grave, c'est des éclats de rire assurés...
Re: Et dire que ce calvaire est une réalité...
Merci ... t'es un ange... pour la peine une caresse à Tigresse une autre à Ruggby et un bisou pour toi... merci beaucoup...
Re: Et dire que ce calvaire est une réalité...
Josef Fritzl reçoit du courrier en prison... certaines lettres sont des conseils pour le suicide...
Re: Et dire que ce calvaire est une réalité...
http://yapapire.blogg.org/date-2008-07-14-billet-836340.html#comments
Le lien mène directement à la possibilité de commenter. C'est pas pour que vous laissiez un commentaire, c'est pour être sûr que vous voyez l'entrée au cas où j'en fais une autre par la suite.
Le lien mène directement à la possibilité de commenter. C'est pas pour que vous laissiez un commentaire, c'est pour être sûr que vous voyez l'entrée au cas où j'en fais une autre par la suite.
Re: Et dire que ce calvaire est une réalité...
J'irais y faire un tour ... :10: enfin je retrouve le Yapapire :10: ... ... en tout cas suis entrée et j'y reviendrais... :10: lol ... :10:
Re: Et dire que ce calvaire est une réalité...
Du journal Nice-Matin
En découvrant le cadavre d'une femme, les policiers de Menton ont trouvé son fils, Michel, qui vivait reclus ou séquestré dans la maison depuis trente-cinq ans.
Reclus ou séquestré, Michel Pagès, 50 ans, ne semble pas en état de dire quel a été son sort pendant trente-cinq ans. Il n'a pas mis les pieds hors de la maison familiale depuis l'âge de 15 ans. Le voisinage, et une partie de la famille ignoraient jusqu'à son existence.
Et sans la mort tragique de sa mère, qui sait quel aurait été l'avenir de cet homme.
Alertés il y a quelques jours de la disparition d'une vieille dame, selon le journal Nice Matin qui révèle l'histoire ce matin (voir le lien ci-dessous), des policiers de la BSU de Menton se sont rendus à son domicile de l'avenue du Général-Leclerc, à Roquebrune-Cap-Martin, lundi.
Aux premiers jours des stations balnéaires, la destination était prisée d'une bourgeoisie relativement aisée, mais les beaux immeubles patinés par le temps et le soleil côtoient des maisons très modestes. Dans celle de Thérèse Pagès, au jardin mal entretenu, les policiers découvrent un amoncellement de déchets. Pompiers et policiers sont saisis par l'insalubrité des lieux et l'odeur pestilentielle qui s'en dégage. Dans le salon, Thérèse, 76 ans, git dans son fauteuil. Décédée depuis un certain temps. Certaines parties de son corps sont en décomposition.
Les secours se mettent à l'oeuvre. Puis sursautent : un homme incroyablement pâle surgit dans la pièce. Effrayé par le bruit dans la maison. De petite carrure, il porte une chevelure immense, de plus de 3 m de long. Des cheveux qu'il avouera plus tard refuser de se couper depuis l'âge de 14 ans.
Perturbé, Michel ne croit pas au décès de sa mère: il lui a parlé le matin même, assure-t-il, hagard et effrayé.
L'enquête de police démontrera rapidement que le voisinage et les services sociaux de la mairie ignoraient l'existence de cet enfant, qui a grandi à l'ombre de la maisonnette. Une cousine de Mme Pagès, qui vit dans le Nord, raconte qu'elle savait que Thérèse avait un fils mais ne l'avait jamais vu.
Michel Pagès, dans un état de total dénuement, a été confié à la cellule psychologique de l'hôpital Saint-Roch de Nice.
Et l'enquête se poursuit.
Ben merde alors !
En découvrant le cadavre d'une femme, les policiers de Menton ont trouvé son fils, Michel, qui vivait reclus ou séquestré dans la maison depuis trente-cinq ans.
Reclus ou séquestré, Michel Pagès, 50 ans, ne semble pas en état de dire quel a été son sort pendant trente-cinq ans. Il n'a pas mis les pieds hors de la maison familiale depuis l'âge de 15 ans. Le voisinage, et une partie de la famille ignoraient jusqu'à son existence.
Et sans la mort tragique de sa mère, qui sait quel aurait été l'avenir de cet homme.
Alertés il y a quelques jours de la disparition d'une vieille dame, selon le journal Nice Matin qui révèle l'histoire ce matin (voir le lien ci-dessous), des policiers de la BSU de Menton se sont rendus à son domicile de l'avenue du Général-Leclerc, à Roquebrune-Cap-Martin, lundi.
Aux premiers jours des stations balnéaires, la destination était prisée d'une bourgeoisie relativement aisée, mais les beaux immeubles patinés par le temps et le soleil côtoient des maisons très modestes. Dans celle de Thérèse Pagès, au jardin mal entretenu, les policiers découvrent un amoncellement de déchets. Pompiers et policiers sont saisis par l'insalubrité des lieux et l'odeur pestilentielle qui s'en dégage. Dans le salon, Thérèse, 76 ans, git dans son fauteuil. Décédée depuis un certain temps. Certaines parties de son corps sont en décomposition.
Les secours se mettent à l'oeuvre. Puis sursautent : un homme incroyablement pâle surgit dans la pièce. Effrayé par le bruit dans la maison. De petite carrure, il porte une chevelure immense, de plus de 3 m de long. Des cheveux qu'il avouera plus tard refuser de se couper depuis l'âge de 14 ans.
Perturbé, Michel ne croit pas au décès de sa mère: il lui a parlé le matin même, assure-t-il, hagard et effrayé.
L'enquête de police démontrera rapidement que le voisinage et les services sociaux de la mairie ignoraient l'existence de cet enfant, qui a grandi à l'ombre de la maisonnette. Une cousine de Mme Pagès, qui vit dans le Nord, raconte qu'elle savait que Thérèse avait un fils mais ne l'avait jamais vu.
Michel Pagès, dans un état de total dénuement, a été confié à la cellule psychologique de l'hôpital Saint-Roch de Nice.
Et l'enquête se poursuit.
Ben merde alors !
Re: Et dire que ce calvaire est une réalité...
:4: incroyable ... comment peut-on- faire ça ?
Ha la vie ... la réalité est plus effroyable quelques fois que de la science fiction... :tienspourtoi:
Ha la vie ... la réalité est plus effroyable quelques fois que de la science fiction... :tienspourtoi:
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