Oh, ne plus l'entendre.
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Oh, ne plus l'entendre.
Il était là dans l’obscurité ténébreuse,
Assis, les mains vides entre ses genoux serrés,
Car à présent une fatigue ravageuse
Envahissait son corps aux muscles fatigués.
Il avait oublié les jours aux heures figées,
Son âme ayant donné dans ses nuits d’hypogée
A l’œuvre sublime, née de ses doigts hardis,
Une ressemblance qu’à présent il maudit.
Et maintenant jaloux, il contemplait la belle,
Qui lascive et réelle, paraissait plus rebelle
Que la vision qu’il gardait en sa désespérance,
De la femme tant aimée, refusant sa présence.
Il avait supplié, rabaissé, implorant,
De se laisser aimer, sans être son amant,
Simplement le garder près d’elle dans son ombre,
Silencieux et patient, sous son beau regard sombre.
Un non cinglant alors, suivi d’un affreux rire,
Tranchant tel un poignard, fit éclater son ire.
IL serra fort ce cou palpitant et si chaud,
Etonné que ce corps s’affaisse aussitôt.
Il voulait simplement n’entendre plus ce non,
Et voulait l’écouter prononcer son prénom,
Et qu’elle dise toujours, que même si la mort
Un jour les séparait, elle aimerait encore.
Assis, les mains vides entre ses genoux serrés,
Car à présent une fatigue ravageuse
Envahissait son corps aux muscles fatigués.
Il avait oublié les jours aux heures figées,
Son âme ayant donné dans ses nuits d’hypogée
A l’œuvre sublime, née de ses doigts hardis,
Une ressemblance qu’à présent il maudit.
Et maintenant jaloux, il contemplait la belle,
Qui lascive et réelle, paraissait plus rebelle
Que la vision qu’il gardait en sa désespérance,
De la femme tant aimée, refusant sa présence.
Il avait supplié, rabaissé, implorant,
De se laisser aimer, sans être son amant,
Simplement le garder près d’elle dans son ombre,
Silencieux et patient, sous son beau regard sombre.
Un non cinglant alors, suivi d’un affreux rire,
Tranchant tel un poignard, fit éclater son ire.
IL serra fort ce cou palpitant et si chaud,
Etonné que ce corps s’affaisse aussitôt.
Il voulait simplement n’entendre plus ce non,
Et voulait l’écouter prononcer son prénom,
Et qu’elle dise toujours, que même si la mort
Un jour les séparait, elle aimerait encore.
TITEFEE- Nombre de messages : 1505
Localisation : ardèche et alsace
Date d'inscription : 16/04/2008
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