Dans les rais du soleil...
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Dans les rais du soleil...
Dans les rais du soleil transperçant mes croisées
Se mettent à danser, mille grains de poussière.
Le rayon, constellé de pastilles ambrées,
Projette sur mon corps des ombres singulières.
Règne ici le silence. Accrochés dans l’espace
Des rêves éthérés flottent autour de moi.
Mon esprit s’alanguit et se perd toute trace
De soucis et d’ennuis. Je sens juste un émoi !
Je perçois sur ma peau cette chaleur solaire,
Qui peint monts et vallées d’irréelles couleurs,
Quand mon ventre, soudain assiégé, s’éclaire
De zones d’ombres bleues, aux vivantes pâleurs.
Mon âme et mon cœur, libérés de leurs chaînes,
Réclament ardemment d’être enfin reconnus.
Pour qu’il en soit ainsi j’imagine la scène
Où quelqu’un me dira des mots fous inconnus.
Ces mots, si galvaudés et parfois inutiles
Trop souvent proférés et pourtant incertains,
Laissent dans notre cœur des rancunes futiles
Car ils ne gagent pas d’infinis lendemains.
Tendrement murmurés dans le creux de l’oreille
Les « je t’aime » seront alors vivant trésor
Et ce que l’on vivra ne sera que merveille,
Car ne subsistera plus la peur de la mort.
Se mettent à danser, mille grains de poussière.
Le rayon, constellé de pastilles ambrées,
Projette sur mon corps des ombres singulières.
Règne ici le silence. Accrochés dans l’espace
Des rêves éthérés flottent autour de moi.
Mon esprit s’alanguit et se perd toute trace
De soucis et d’ennuis. Je sens juste un émoi !
Je perçois sur ma peau cette chaleur solaire,
Qui peint monts et vallées d’irréelles couleurs,
Quand mon ventre, soudain assiégé, s’éclaire
De zones d’ombres bleues, aux vivantes pâleurs.
Mon âme et mon cœur, libérés de leurs chaînes,
Réclament ardemment d’être enfin reconnus.
Pour qu’il en soit ainsi j’imagine la scène
Où quelqu’un me dira des mots fous inconnus.
Ces mots, si galvaudés et parfois inutiles
Trop souvent proférés et pourtant incertains,
Laissent dans notre cœur des rancunes futiles
Car ils ne gagent pas d’infinis lendemains.
Tendrement murmurés dans le creux de l’oreille
Les « je t’aime » seront alors vivant trésor
Et ce que l’on vivra ne sera que merveille,
Car ne subsistera plus la peur de la mort.
TITEFEE- Nombre de messages : 1505
Localisation : ardèche et alsace
Date d'inscription : 16/04/2008
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