temps de chien
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temps de chien
TEMPS DE CHIEN
Je crois qu'ils vont me dénoncer
Il y a l'adresse sur mon collier
Je ne veux plus de ce maître-là
Il voulait même pas que j'aboie
Paraît qu'il y a une société
Où tous les chiens sont bien traités !
Je préfère mourir que revivre un jour en ville.
Il y a un type devant, derrière
Ils m'ont coincé dans la fourrière,
Mes pattes sont bien attachées
Je peux à peine respirer,
Celui qui conduit est nerveux
Je n'serai plus jamais heureux !
Je sens comme une odeur d'éther qui me monte à la tête....
Ils l'ont couché sur le billard
Y'avait des pleurs dans son regard
Quelque chose qui criaitt NON
La piqûre c'était pour de bon
La médecine s'en est servie
Paraît qu'ça sauvera une vie !
Pour ce chien perdu un maître offrait une récompense...
Tu penses !
Michel MELCHIONNE . Ed Intersong 1977
auteur compositeur et interprete ,un Ami perdu de vue
mais qui compose toujours ,faites des recherches sur le net et vous verrais ,dommage on peu pas entendre ces chansons ,j'ai les disques ,mais pas en cd :bye: :bye:
merci MICHEL pour ces belles chansons
POUR COMMENCER...
Pour commencer l'amour que nous ferons ce soir
Il ne faut surtout pas aller vite.
Mélanger nos soupirs, nos pleurs et nos espoirs
Pénétrer dans nos corps qui s'invitent.
Inventer des soleils dans nos voix
Faire glisser nos mains errantes sur nos corps.
Encore se dérouler, abandonnés,
Sous le regard d'une horloge qui chavire
Du bout des doigts inventer une chaleur d'amour.
Quand je m'en vais de toi, comme s'en va lamarée
Nous ne connaissons plus de barrière
Découvrir de plus près ta peau et ses forêts
M'allonger dans le fond de la rivière
Le chemin de ta bouche et la nuit
Tout s'entremêle et nous laisse assouvis.
Encore se dérouler, abandonnés,
Sous le regard d'une morale qui chavire
Du bout des doigts inventer une chaleur d'amour.
Pour commencer l'amour que nous ferons ce soir
Il ne faut surtout pas aller vite.
Michel Melchionne. Inedit.
Je crois qu'ils vont me dénoncer
Il y a l'adresse sur mon collier
Je ne veux plus de ce maître-là
Il voulait même pas que j'aboie
Paraît qu'il y a une société
Où tous les chiens sont bien traités !
Je préfère mourir que revivre un jour en ville.
Il y a un type devant, derrière
Ils m'ont coincé dans la fourrière,
Mes pattes sont bien attachées
Je peux à peine respirer,
Celui qui conduit est nerveux
Je n'serai plus jamais heureux !
Je sens comme une odeur d'éther qui me monte à la tête....
Ils l'ont couché sur le billard
Y'avait des pleurs dans son regard
Quelque chose qui criaitt NON
La piqûre c'était pour de bon
La médecine s'en est servie
Paraît qu'ça sauvera une vie !
Pour ce chien perdu un maître offrait une récompense...
Tu penses !
Michel MELCHIONNE . Ed Intersong 1977
auteur compositeur et interprete ,un Ami perdu de vue
mais qui compose toujours ,faites des recherches sur le net et vous verrais ,dommage on peu pas entendre ces chansons ,j'ai les disques ,mais pas en cd :bye: :bye:
merci MICHEL pour ces belles chansons
POUR COMMENCER...
Pour commencer l'amour que nous ferons ce soir
Il ne faut surtout pas aller vite.
Mélanger nos soupirs, nos pleurs et nos espoirs
Pénétrer dans nos corps qui s'invitent.
Inventer des soleils dans nos voix
Faire glisser nos mains errantes sur nos corps.
Encore se dérouler, abandonnés,
Sous le regard d'une horloge qui chavire
Du bout des doigts inventer une chaleur d'amour.
Quand je m'en vais de toi, comme s'en va lamarée
Nous ne connaissons plus de barrière
Découvrir de plus près ta peau et ses forêts
M'allonger dans le fond de la rivière
Le chemin de ta bouche et la nuit
Tout s'entremêle et nous laisse assouvis.
Encore se dérouler, abandonnés,
Sous le regard d'une morale qui chavire
Du bout des doigts inventer une chaleur d'amour.
Pour commencer l'amour que nous ferons ce soir
Il ne faut surtout pas aller vite.
Michel Melchionne. Inedit.
francis- Moderateurs
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