Eu été
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Eu été
Eu été
L'été a supplanté
le printemps en nos cœurs
Ignorant tu m'étonnes
Que le suivrait l'automne
Nous n'avons pas pris peur
De l'hiver annoncé
Et nous voilà debout
Regrettant la gadoue
Sans savoir apprécier
Les dés redistribués
Une nouvelle saison
Nous trouvera moins jeune
Nous délectant d'hivers
Comme entre bombance et jeûne
Nous riant des travers
Des tout premiers frissons
L'été a supplanté
le printemps en nos cœurs
Ignorant tu m'étonnes
Que le suivrait l'automne
Nous n'avons pas pris peur
De l'hiver annoncé
Et nous voilà debout
Regrettant la gadoue
Sans savoir apprécier
Les dés redistribués
Une nouvelle saison
Nous trouvera moins jeune
Nous délectant d'hivers
Comme entre bombance et jeûne
Nous riant des travers
Des tout premiers frissons
YOMEMOY- Nombre de messages : 574
Age : 62
Localisation : 972 Tropicales Antilles
Date d'inscription : 06/08/2009
Dîner d'été
Dîner d’été…
Je regarde la mer témoin d’éternité
Les carreaux toujours si bien lavés
Le temps d’une insolente beauté
Et le noir… dans ma tasse de café
La serveuse captive les attablés
Mais je ne perçois que ta main posée
Mon cœur battant qui tente d’oser
Et tes yeux si beaux je suis envoûté
Un voile se lève sur cette réalité
Les bateaux ont tellement changé
Les couverts sont trop bien rangés
Ta place est vide le temps a passé
C’est ici que nous nous sommes dis oui
Ce dîner est déjà lointain aujourd’hui
Cette fois pas besoin de prolonger la nuit
Ils s’en vont déjà les souvenirs enfouis
Je regarde la mer témoin d’éternité
Les carreaux toujours si bien lavés
Le temps d’une insolente beauté
Et le noir… dans ma tasse de café
La serveuse captive les attablés
Mais je ne perçois que ta main posée
Mon cœur battant qui tente d’oser
Et tes yeux si beaux je suis envoûté
Un voile se lève sur cette réalité
Les bateaux ont tellement changé
Les couverts sont trop bien rangés
Ta place est vide le temps a passé
C’est ici que nous nous sommes dis oui
Ce dîner est déjà lointain aujourd’hui
Cette fois pas besoin de prolonger la nuit
Ils s’en vont déjà les souvenirs enfouis
YOMEMOY- Nombre de messages : 574
Age : 62
Localisation : 972 Tropicales Antilles
Date d'inscription : 06/08/2009
Le temps
Le temps
La vie a glissé sans bruit
Pleurs sur les instants enfuis
Le temps a mangé les heures
La magie du possible se meurt
Il bat encore le cœur l’habitude le conduit
Le souffle retient les émotions endormies
Avec comme un regret teinté de nostalgie
On ne rêve plus de beau temps ni de pluie
Il trône dans l’esprit des souvenirs épars
Une main posée un sourire un regard
Des occasions semées des moments phares
Les destins croisés les choix les hasards
La vie a glissé sans bruit
Voici venir la nuit
La beauté du temps
Se fige dans l’instant
La vie a glissé sans bruit
Pleurs sur les instants enfuis
Le temps a mangé les heures
La magie du possible se meurt
Il bat encore le cœur l’habitude le conduit
Le souffle retient les émotions endormies
Avec comme un regret teinté de nostalgie
On ne rêve plus de beau temps ni de pluie
Il trône dans l’esprit des souvenirs épars
Une main posée un sourire un regard
Des occasions semées des moments phares
Les destins croisés les choix les hasards
La vie a glissé sans bruit
Voici venir la nuit
La beauté du temps
Se fige dans l’instant
YOMEMOY- Nombre de messages : 574
Age : 62
Localisation : 972 Tropicales Antilles
Date d'inscription : 06/08/2009
Re: Eu été
Merci pour ce partage YOMEMOY ! 3 lectures ! 3 jolis poèmes !
:bye:
:bye:
delcau roinos- Nombre de messages : 7834
Age : 73
Localisation : Pas là où je devrais être !
Date d'inscription : 11/04/2009
Endétté
Sous le thème de l'été
Quand arrive l'hiver
Jamais on a pensé
Que la chaleur nous sert
J'ai goûter pardonne moi tant de félicité
Au plaisir des voies de notre commun destin
Où l'hiver dix mille fois a tenté mais en vain
De sa puissance glacé notre hymne altérer
J'ai rêver mon amour pour une éternité
Toutes les couleurs du monde toujours émerveillé
Emporté par ta ronde et oublieux des heures
A en nier que sur Terre il puisse vivre malheur
Mais voilà qu'au matin au vent de liberté
Qui se vient révéler ta singularité
Je m'émeut de notre nous privé d'un seul acteur
Lamentable issue pour qui doit remercier
d'avoir vécu fortune plutôt que de mendier
Que d'oublier la joie puisée dans le bonheur
Quand arrive l'hiver
Jamais on a pensé
Que la chaleur nous sert
J'ai goûter pardonne moi tant de félicité
Au plaisir des voies de notre commun destin
Où l'hiver dix mille fois a tenté mais en vain
De sa puissance glacé notre hymne altérer
J'ai rêver mon amour pour une éternité
Toutes les couleurs du monde toujours émerveillé
Emporté par ta ronde et oublieux des heures
A en nier que sur Terre il puisse vivre malheur
Mais voilà qu'au matin au vent de liberté
Qui se vient révéler ta singularité
Je m'émeut de notre nous privé d'un seul acteur
Lamentable issue pour qui doit remercier
d'avoir vécu fortune plutôt que de mendier
Que d'oublier la joie puisée dans le bonheur
YOMEMOY- Nombre de messages : 574
Age : 62
Localisation : 972 Tropicales Antilles
Date d'inscription : 06/08/2009
Merci Claude,
Merci à toi Claude, de lire cette rubrique sur l'été et les saisons du coeur
YOMEMOY- Nombre de messages : 574
Age : 62
Localisation : 972 Tropicales Antilles
Date d'inscription : 06/08/2009
Brin de muguet
Cgentil
Parfois les dettes de coeur
Ont des racines lointaines
Traces d'anciens bonheur
Joués sur d'autres scènes
Elles restent toujours liées
Comme printemps et été
Parfois les dettes de coeur
Ont des racines lointaines
Traces d'anciens bonheur
Joués sur d'autres scènes
Elles restent toujours liées
Comme printemps et été
Brin de muguet
C’était un brin de muguet que j’ai gardé longtemps.
Ce n’était pas le premier à fleurir mon printemps,
Mais celle qui me l’offrit à mon cœur plaisait tant.
C’était un brin muguet pour me souhaiter bon temps.
Ce n’était pas le premier mai, mon cœur battait tant.
Comme une robe de mariée, tout coloré de blanc,
C’est un brin de muguet qui me rappelle ce temps.
Ce n’est pas le dernier mais mon plus beau printemps.
Une fleur comme envoyée pour retenir le temps.
C’est un brin de muguet qui d’un carnet l’amant
Fidèle depuis le temps où nous étions tremblant
D’une fièvre florale à l’aube de nos printemps.
Ce fut un brun muguet quand tu m’a dis bon vent.
Mais je reste le premier, pour qui battit ton sang.
Notre amour s’est noyé de gestes trop innocents,
Ce muguet aujourd’hui parle encore de ce temps,
Mais les hivers passés n’enlèveront pas le chant
De la fleur de la fille de mes premiers élans.
C’était un brin de muguet que j’ai gardé longtemps.
Ce n’était pas le premier à fleurir mon printemps,
Mais celle qui me l’offrit à mon cœur plaisait tant.
C’était un brin muguet pour me souhaiter bon temps.
Ce n’était pas le premier mai, mon cœur battait tant.
Comme une robe de mariée, tout coloré de blanc,
C’est un brin de muguet qui me rappelle ce temps.
Ce n’est pas le dernier mais mon plus beau printemps.
Une fleur comme envoyée pour retenir le temps.
C’est un brin de muguet qui d’un carnet l’amant
Fidèle depuis le temps où nous étions tremblant
D’une fièvre florale à l’aube de nos printemps.
Ce fut un brun muguet quand tu m’a dis bon vent.
Mais je reste le premier, pour qui battit ton sang.
Notre amour s’est noyé de gestes trop innocents,
Ce muguet aujourd’hui parle encore de ce temps,
Mais les hivers passés n’enlèveront pas le chant
De la fleur de la fille de mes premiers élans.
YOMEMOY- Nombre de messages : 574
Age : 62
Localisation : 972 Tropicales Antilles
Date d'inscription : 06/08/2009
Re: Eu été
YomemoY.......
" C’est un brin de muguet qui me rappelle ce temps.
Ce n’est pas le dernier mais mon plus beau printemps.
Une fleur comme envoyée pour retenir le temps. "
En parlant de "TEMPS", j'ai bien aimé ce texte sur "le temps" et c'est celui-là que j'ai choisi pour moi et je t'en remercie.
C'est celui qui m'a le plus touché et qui a parlé à mon cœur. Surtout les derniers vers...
" La vie a glissé sans bruit
Voici venir la nuit
La beauté du temps
Se fige dans l’instant "
" C’est un brin de muguet qui me rappelle ce temps.
Ce n’est pas le dernier mais mon plus beau printemps.
Une fleur comme envoyée pour retenir le temps. "
En parlant de "TEMPS", j'ai bien aimé ce texte sur "le temps" et c'est celui-là que j'ai choisi pour moi et je t'en remercie.
C'est celui qui m'a le plus touché et qui a parlé à mon cœur. Surtout les derniers vers...
" La vie a glissé sans bruit
Voici venir la nuit
La beauté du temps
Se fige dans l’instant "
yo- Nombre de messages : 6849
Age : 83
Localisation : ailleurs
Date d'inscription : 28/09/2006
Merci
Merci Yo,
Pour ces fleurs porte bonheur,
J'espère que tu en as pris que le bon côté de la médaille
Quand nous envahit tout ce qui fut bon tout ce qui fut possible
Mais surtout que cette beauté ne te fige qu'instant
avant de repartir avec délectation
Dans l'immense trame qui reste toujours proposée
Quoi qu'il arrive on ne peut nous enlever
Qu'un morçeau d'infini,
il nous restera toujours l'infini, pour rêver des mystères surprenants :oiseau:
Pour ces fleurs porte bonheur,
J'espère que tu en as pris que le bon côté de la médaille
Quand nous envahit tout ce qui fut bon tout ce qui fut possible
Mais surtout que cette beauté ne te fige qu'instant
avant de repartir avec délectation
Dans l'immense trame qui reste toujours proposée
Quoi qu'il arrive on ne peut nous enlever
Qu'un morçeau d'infini,
il nous restera toujours l'infini, pour rêver des mystères surprenants :oiseau:
YOMEMOY- Nombre de messages : 574
Age : 62
Localisation : 972 Tropicales Antilles
Date d'inscription : 06/08/2009
Le temps
Une autre vision du temps
Parce que notre temps
N'est pas qu'à nous
Parce que notre temps
N'est pas qu'à nous
Le temps
Le temps
Mes enfants
C’était il y a longtemps
Quand nous n’étions pas grand
Comme c’était excitant
De s’ébattre dans les champs
Toujours libre comme le vent
Haletants
Chenapans
Toujours volant
Courant et pour les frasques partant
C’était un temps marquant
Avec pas un jour sans
Le temps
Mes enfants
A glissé doucement
J’ai rencontré maman
J’étais encore content
J’ai conté toutes vos dents
Sans même prendre garde au temps
Le temps
Mes enfants
Maintenant
Que les vôtres sont grands
Soudain tout me reprend
Mais sans être méchant
Le temps
Mes enfants
S’use à bon escient
Garder donc précieusement
Son goût pour vos enfants
Le temps
Mes enfants
C’était il y a longtemps
Quand nous n’étions pas grand
Comme c’était excitant
De s’ébattre dans les champs
Toujours libre comme le vent
Haletants
Chenapans
Toujours volant
Courant et pour les frasques partant
C’était un temps marquant
Avec pas un jour sans
Le temps
Mes enfants
A glissé doucement
J’ai rencontré maman
J’étais encore content
J’ai conté toutes vos dents
Sans même prendre garde au temps
Le temps
Mes enfants
Maintenant
Que les vôtres sont grands
Soudain tout me reprend
Mais sans être méchant
Le temps
Mes enfants
S’use à bon escient
Garder donc précieusement
Son goût pour vos enfants
YOMEMOY- Nombre de messages : 574
Age : 62
Localisation : 972 Tropicales Antilles
Date d'inscription : 06/08/2009
Hier
Merci Nandy,
Après cette aparté sur un temps transversal
Il est temps de recoller à la matière dorsale
Qui à nourri hier le propos central
Après cette aparté sur un temps transversal
Il est temps de recoller à la matière dorsale
Qui à nourri hier le propos central
Hier
Nos rêves et nos serments montaient vers le ciel
Je me rappelle encore combien tu étais belle
Dans mes bras si légère et mon cœur manquant d’air
La magie de nos silences et nos complices mystères
Je me rappelle encore comme si c’était hier
Et le temps arrêté sur cette éternité
Où l’élan de nos corps jetait la première pierre
D’accords enfiévrés sans cesse renouvelés
Et je suis las le temps s’est écoulé
Mais n’a pas effacé ce que tu as gravé
Laisse moi mon amour encore te dire merci
Te refaire la cours et nourrir tes envies
Nos rêves et nos serments montaient vers le ciel
Je me rappelle encore combien tu étais belle
Dans mes bras si légère et mon cœur manquant d’air
La magie de nos silences et nos complices mystères
Je me rappelle encore comme si c’était hier
Et le temps arrêté sur cette éternité
Où l’élan de nos corps jetait la première pierre
D’accords enfiévrés sans cesse renouvelés
Et je suis las le temps s’est écoulé
Mais n’a pas effacé ce que tu as gravé
Laisse moi mon amour encore te dire merci
Te refaire la cours et nourrir tes envies
YOMEMOY- Nombre de messages : 574
Age : 62
Localisation : 972 Tropicales Antilles
Date d'inscription : 06/08/2009
La fille du bar
La fille du bar
Elle est seule assise devant son verre
C'est elle mon cœur le sait mon unique univers
Je pense encore à hier à cette fille sur la plage
A sa bonne volonté et ses beaux babillages
A celle qui regarda me croisant en voiture
Les larmes mouillant mes yeux
A son sourire et son vœux pour du mieux
A ce qui bouscule le présent pour me vendre du futur
Et puis reviens ce verre devant mon univers
Et tout ce que je sais si encré dans ma chair
On meurt à la vraie vie quand l'essentiel se perd
Et elle qui a choisie d'être seule devant un verre
Et mon cœur qui me crie d'aller croiser le fer
D'arracher les habits qui nourrissent mon enfer
Et de redevenir le garçon qu'elle vit hier
Qui bataillait vainqueur de tout destin contraire
Je la rejoins au bar mon sourire est misère
Je lui piquerais son verre si j'étais celui d'hier
La ferais rire en pleur lui offrirais des fleurs
Et le bar chanterait notre histoire dans son cœur
Mais la fille du bar seule sur son tabouret
M'offre de porter son sac mon regard est défait
C'est l'heure du départ son avion l'attendait
Bien sur elle reviendra et bien sur j'y serai
La fille seule au bar est mère de mes enfants
A son retour prochain nous finirons ensemble
De bâtir en commun mon cœur déjà en tremble
La fin de notre histoire pour que l'emporte le vent
Certains cherchent l'amour j'aimerais ne plus aimer
Ne plus voir la beauté des jours comme reflet d'un miroir
Effacer ma mémoire et l'amour au passé
Encore croire en demain quand je me couche le soir
YOMEMOY- Nombre de messages : 574
Age : 62
Localisation : 972 Tropicales Antilles
Date d'inscription : 06/08/2009
Re: Eu été
:9: YomemoY... :9:
Ce qui fut bon, ce qui fut possible comme tu dis si bien... J'an ai profité tout le temps que j'ai pû.
Ensuite la vie en a décidé autrement et mes rêves sont restés accrochés aux nuages et sont partis à l'infini avec lui.
J'ai aimé ta déclinaison du temps. Je te souhaite de meilleurs jour.
Tes poèmes sont si bien rythmés qu'ils pourraient être chantés.
:bye: :bye:
Ce qui fut bon, ce qui fut possible comme tu dis si bien... J'an ai profité tout le temps que j'ai pû.
Ensuite la vie en a décidé autrement et mes rêves sont restés accrochés aux nuages et sont partis à l'infini avec lui.
J'ai aimé ta déclinaison du temps. Je te souhaite de meilleurs jour.
Tes poèmes sont si bien rythmés qu'ils pourraient être chantés.
:bye: :bye:
yo- Nombre de messages : 6849
Age : 83
Localisation : ailleurs
Date d'inscription : 28/09/2006
Sous le vent
yo a écrit:
:9: YomemoY... :9:
Ce qui fut bon, ce qui fut possible comme tu dis si bien... J'an ai profité tout le temps que j'ai pû.
Ensuite la vie en a décidé autrement et mes rêves sont restés accrochés aux nuages et sont partis à l'infini avec lui.
J'ai aimé ta déclinaison du temps. Je te souhaite de meilleurs jour.
Tes poèmes sont si bien rythmés qu'ils pourraient être chantés.
:bye: :bye:
Merci Yo,
Quelle que soit son humeur,
Si la muse à ton coeur,
A su donner des mots,
Qui embéllient les heures
Pour moi c'est un bonheur
YOMEMOY- Nombre de messages : 574
Age : 62
Localisation : 972 Tropicales Antilles
Date d'inscription : 06/08/2009
Sous le vent
Puisque la séquence
Se doit de continuer
Je vais d'un vent poser
Les trsites conséquences
Se doit de continuer
Je vais d'un vent poser
Les trsites conséquences
Sous le vent
Sous le vent glacé des affres du passé
Un amour à langer hésite à trépasser
Du tourbillon qui les a emporté
Restent quelques mots posés
La fièvre s’est envolée
Le papier s’est glacé
Ils peinent à raconter
L’ampleur du brasier
Ils demeurent des toujours
Des jamais des serments
Si traites loin du jour
Quand le désir nous ment
Les mots trompent l’oubli
Cherchant au fond des cœurs
L’ancienne trace du bonheur
Qui se consume en un sursaut de vie
Sous le vent glacé des affres du passé
Un amour à langer hésite à trépasser
Du tourbillon qui les a emporté
Restent quelques mots posés
La fièvre s’est envolée
Le papier s’est glacé
Ils peinent à raconter
L’ampleur du brasier
Ils demeurent des toujours
Des jamais des serments
Si traites loin du jour
Quand le désir nous ment
Les mots trompent l’oubli
Cherchant au fond des cœurs
L’ancienne trace du bonheur
Qui se consume en un sursaut de vie
YOMEMOY- Nombre de messages : 574
Age : 62
Localisation : 972 Tropicales Antilles
Date d'inscription : 06/08/2009
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