Le bal des amants
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Nandy
YOMEMOY
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Le bal des amants
Le bal des amants
Au frémissement connu d'un vertige unique
Perdu dans l'entre deux où la raison abdique
Je sens l'ineffable parfum que distillaient ses mains
Et l'élan que l'on ne peut avorter qui aspire à demain
Entre les mots jetés camouflés par style
Il reste la majesté des envolées subtiles
En territoire ami aux senteurs d'amour
Il reste les bribes de rêves abandonnés aux jours
Le bal peut être masqué les amants se retrouvent
Leur peau est paniquée et chaque pas le prouve
Sur la piste réservée aux vents de vérité
Ils se meuvent distant leurs esprits enlacés
Des soubresauts de vie qui égarent leur âmes
Les sens les ramènent à saisir le sésame
Des milles arabesques qui font du pot une cible
Que chaque mouvement cerne d'un bonheur indicible
Retombe alors les notes pour exposer les doutes
La fête est terminée laissant dans l'ombre les voiles
La tête impose aux cœurs le sombre choix d'une route
Qui laisse bouteille et vagues amoureux d'une étoile
Je parle au temps qui file toujours dénué d'oreille
Le destin qui rempile emballant ses merveilles
Met l'heure loin des calculs d'espoirs de bonheur
Le temps choisit le calme aux blessures du cœur
Dernière édition par YOMEMOY le Jeu 13 Aoû 2009, 06:57, édité 2 fois
YOMEMOY- Nombre de messages : 574
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Re: Le bal des amants
Puisque c'est pour Laurette... :etoc: :etoc: :etoc: je ne te dis pas que j'ai aimé ton bal, et même la fin du bal...
Ciel mon soleil
Ne t'inquiète ma Tigresse,
Les mots que l'auteur laisse
S'offrent à tous en écho
Les mots que l'auteur laisse
S'offrent à tous en écho
Ciel mon soleil (Prudence...)
Le soleil s'est couché sur la plus belle des fleurs
Elle a foncé sans peur dans son feu intérieur
Et a calmé sa flamme par les perles de sa sueur
Mais le réveil venu laissa brisé son cœur
Le soleil s'est levé sur la plus belle des fleurs
Celle qui pour l'honorer jeta hier l'éphémère
A l'ombre de l'amitié bien loin de ses prières
Mais son sein nucléaire resta pris de douleur
Alors il s'en alla faire le tour de la Terre
Il laboura le ciel et combattit la nuit
Il rallongea les jours et convoqua la pluie
Mais il cherche toujours ce souvenir qui erre
Le soleil un matin avait ouvert un œil
Quand il vit son destin à travers les feuilles
Une fleur la première la seule de l'univers
Mais en fermant les yeux il créa son enfer
Depuis pour la revoir aux jours il mit des heures
Il créa les saisons en cherchant à lui plaire
Scrutant l'horizon à en perdre les paupières
Il devint juste regard posé autour d'un cœur
Quand il croit la trouver l'aurore est boréale
Quand il croit l'étreindre a en perdre sa force
Le crépuscule rougit la Terre jusqu'à l'écorce
Tout se trouve grandit sous son souffle sororal
Voilà l'explication aux jeux de cendrillons
Sources de ces ballets de fleurs éphémères
Cherchant de leurs belles robes ou bien de leurs haillons
A capter de leurs charmes une attention solaire
Le soleil poursuit donc sa ronde infernale
Jusqu'à ce que la raison lui fasse voir banal
Le bris de son amour et sa perte normale
Et que pauvre de nous il explose au final
Alors aimez vous, croyez en l'amour
Alternez les toujours les retours
Que chaque jour lui disent les possibles
Car la mort de l'amour fera de nous une cible
Le soleil s'est couché sur la plus belle des fleurs
Elle a foncé sans peur dans son feu intérieur
Et a calmé sa flamme par les perles de sa sueur
Mais le réveil venu laissa brisé son cœur
Le soleil s'est levé sur la plus belle des fleurs
Celle qui pour l'honorer jeta hier l'éphémère
A l'ombre de l'amitié bien loin de ses prières
Mais son sein nucléaire resta pris de douleur
Alors il s'en alla faire le tour de la Terre
Il laboura le ciel et combattit la nuit
Il rallongea les jours et convoqua la pluie
Mais il cherche toujours ce souvenir qui erre
Le soleil un matin avait ouvert un œil
Quand il vit son destin à travers les feuilles
Une fleur la première la seule de l'univers
Mais en fermant les yeux il créa son enfer
Depuis pour la revoir aux jours il mit des heures
Il créa les saisons en cherchant à lui plaire
Scrutant l'horizon à en perdre les paupières
Il devint juste regard posé autour d'un cœur
Quand il croit la trouver l'aurore est boréale
Quand il croit l'étreindre a en perdre sa force
Le crépuscule rougit la Terre jusqu'à l'écorce
Tout se trouve grandit sous son souffle sororal
Voilà l'explication aux jeux de cendrillons
Sources de ces ballets de fleurs éphémères
Cherchant de leurs belles robes ou bien de leurs haillons
A capter de leurs charmes une attention solaire
Le soleil poursuit donc sa ronde infernale
Jusqu'à ce que la raison lui fasse voir banal
Le bris de son amour et sa perte normale
Et que pauvre de nous il explose au final
Alors aimez vous, croyez en l'amour
Alternez les toujours les retours
Que chaque jour lui disent les possibles
Car la mort de l'amour fera de nous une cible
Dernière édition par YOMEMOY le Jeu 13 Aoû 2009, 06:59, édité 3 fois
YOMEMOY- Nombre de messages : 574
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Lau.- Nombre de messages : 1795
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Localisation : Sous la vigne du 2.6
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Re: Le bal des amants
Jolie poésie et beau cadeau pour la charmante LAU !
PS : LAU je te souhaite une bonne fête
PS : LAU je te souhaite une bonne fête
delcau roinos- Nombre de messages : 7834
Age : 73
Localisation : Pas là où je devrais être !
Date d'inscription : 11/04/2009
La voix de la raison
La voix de la raison
Comment le coeur comblé
Ai je pu place trouver
pour un si grand émois
Comme elle est faible la voix
Qui dit qu'il ne faut pas
J'entends mais ne vois
Comment éviter ça
Tu dis qu'il ne faudrait pas
Et c'est vrai je te crois
Je ne l'ai jamais fais
Alors pourquoi cette fois
On dit que ça le fait
De faire un doux faux pas
Mais ce n'est pas pour moi
Un voeux de cet ordre là
Je ne t'entends plus voix
Penser à elle tu dis qu'il ne faut pas
Penser à moi tu dis qu'il ne faut pas
Et je veux bien ma foi
Ne pas dire le contraire
Mais dis moi
Comment faire
Comment ne pas le faire
A moins qu'elle ne veuille pas
Ce serait ma seule Frontière
Car j'ai baissé les bras
Bien malgré moi
Il me fallait deux mains
Pour faire taire
Le bruit d'un coeur qui bat
Je ne l'ai pas fait hier
J'ai tenu aujourd'hui
Mais je crains pour demain
De perdre ce combat
Car il faudrait mille pas
Augmentés cent mille fois
Et rien que des nuits
me laissant endormi
pour que vienne l'oubli
Comment le coeur comblé
Ai je pu place trouver
pour un si grand émois
Comme elle est faible la voix
Qui dit qu'il ne faut pas
J'entends mais ne vois
Comment éviter ça
Tu dis qu'il ne faudrait pas
Et c'est vrai je te crois
Je ne l'ai jamais fais
Alors pourquoi cette fois
On dit que ça le fait
De faire un doux faux pas
Mais ce n'est pas pour moi
Un voeux de cet ordre là
Je ne t'entends plus voix
Penser à elle tu dis qu'il ne faut pas
Penser à moi tu dis qu'il ne faut pas
Et je veux bien ma foi
Ne pas dire le contraire
Mais dis moi
Comment faire
Comment ne pas le faire
A moins qu'elle ne veuille pas
Ce serait ma seule Frontière
Car j'ai baissé les bras
Bien malgré moi
Il me fallait deux mains
Pour faire taire
Le bruit d'un coeur qui bat
Je ne l'ai pas fait hier
J'ai tenu aujourd'hui
Mais je crains pour demain
De perdre ce combat
Car il faudrait mille pas
Augmentés cent mille fois
Et rien que des nuits
me laissant endormi
pour que vienne l'oubli
Dernière édition par YOMEMOY le Dim 23 Aoû 2009, 20:12, édité 3 fois
YOMEMOY- Nombre de messages : 574
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Localisation : 972 Tropicales Antilles
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Commotion cardiaque
Commotion cardiaque
C’est alors que s’emporte l’instant égaré
Les rêves de notre histoire en murmures déchirés
S’envolent au désespoir de ton râle résigné
Tandis que vient le soir dans le vœux d’oublier
Le vent emporte au loin notre amour terrassé
Laissant une pale copie pour seule destinée
Nos rires cèdent place à du préfabriqué
Mon âme meure du poids de ton visage mouillé
Le vrai est impossible et le faux insensé
Les moments que l’on freine à n’oser point fauter
Ouvrent la porte au silence d’un amour délaissé
Dans la mort de l’après qui nous est proposé
La raison fait s’ouvrir le temps des affligés
Quand retenir le sel devient si compliqué
Face au sort dans tes yeux entaché
Du bonheur négligé et des ailes brisées
Ainsi seront nos mains à jamais séparées
Témoins désormais de nos cœurs aveuglés
Les matins survivront aux douleurs apaisées
Quand ils s’égareront à parler d’amitié
La délivrance finale d’une fièvre édulcorée
Dans la secrète mémoire d’un jour éternité
La quête de l’absolue sera seulement rêvée
Et les joutes endiablées se feront bras baissés
C’est alors que s’emporte l’instant égaré
Les rêves de notre histoire en murmures déchirés
S’envolent au désespoir de ton râle résigné
Tandis que vient le soir dans le vœux d’oublier
Le vent emporte au loin notre amour terrassé
Laissant une pale copie pour seule destinée
Nos rires cèdent place à du préfabriqué
Mon âme meure du poids de ton visage mouillé
Le vrai est impossible et le faux insensé
Les moments que l’on freine à n’oser point fauter
Ouvrent la porte au silence d’un amour délaissé
Dans la mort de l’après qui nous est proposé
La raison fait s’ouvrir le temps des affligés
Quand retenir le sel devient si compliqué
Face au sort dans tes yeux entaché
Du bonheur négligé et des ailes brisées
Ainsi seront nos mains à jamais séparées
Témoins désormais de nos cœurs aveuglés
Les matins survivront aux douleurs apaisées
Quand ils s’égareront à parler d’amitié
La délivrance finale d’une fièvre édulcorée
Dans la secrète mémoire d’un jour éternité
La quête de l’absolue sera seulement rêvée
Et les joutes endiablées se feront bras baissés
Dernière édition par YOMEMOY le Dim 23 Aoû 2009, 20:12, édité 2 fois
YOMEMOY- Nombre de messages : 574
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Localisation : 972 Tropicales Antilles
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Re: Le bal des amants
Je suis la suite donc je lis ! :bye:
delcau roinos- Nombre de messages : 7834
Age : 73
Localisation : Pas là où je devrais être !
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Amours mathématiques
Bonjour et merci Claude,
Puisque sous ces vers (vert) poétiques
Tu as découvert une suite dans ma thématique
Je romps le lien systémique
Pour introduire ici
Pardon mais c'est ainsi
La génèse du thème
Ce qui fait que l'on sème
Bien loin de l'idyllique
Puisque sous ces vers (vert) poétiques
Tu as découvert une suite dans ma thématique
Je romps le lien systémique
Pour introduire ici
Pardon mais c'est ainsi
La génèse du thème
Ce qui fait que l'on sème
Bien loin de l'idyllique
Amours mathématiques
J’ai vu des amours bien chaotiques
D’autres comme des tragédies antiques
Quelque unes poétiques
Et certaines platoniques
J’ai connu des amours magiques
Comme dans des contes féeriques
Certaines s’en foutaient du fric
D’autres recherchaient la trique
Mais aujourd’hui c’est tragique
Je vis l’amour pathétique
Je ne donne plus dans l'onirique
Il est devenu phallique
Comme rengaine j’ai une supplique
On me croirait narcissique
Sous une emprise amnésique
S’en serait presque comique
Fini mon amour cosmique
Comme un soldat qui abdique
J’en ai fait une vieille relique
A l’agonie hystérique
Tout ça parce que mimétique
J’ai pris la route fatidique
Ou vont les amants de cirque
Dont le cœur est désertique
Quand on est entier
On reste deux en amour
Et cela fait que chaque jour
Même loin on ne fait qu’un
On est donc pas diminué
Mais à trois
Il y a des tiers
Jamais que deux
Au même endroit
Ni en pensé
ni en chair
Et on sait qu’un tiers par deux
Ne fera jamais un nombre entier
J’ai vu des amours bien chaotiques
D’autres comme des tragédies antiques
Quelque unes poétiques
Et certaines platoniques
J’ai connu des amours magiques
Comme dans des contes féeriques
Certaines s’en foutaient du fric
D’autres recherchaient la trique
Mais aujourd’hui c’est tragique
Je vis l’amour pathétique
Je ne donne plus dans l'onirique
Il est devenu phallique
Comme rengaine j’ai une supplique
On me croirait narcissique
Sous une emprise amnésique
S’en serait presque comique
Fini mon amour cosmique
Comme un soldat qui abdique
J’en ai fait une vieille relique
A l’agonie hystérique
Tout ça parce que mimétique
J’ai pris la route fatidique
Ou vont les amants de cirque
Dont le cœur est désertique
Quand on est entier
On reste deux en amour
Et cela fait que chaque jour
Même loin on ne fait qu’un
On est donc pas diminué
Mais à trois
Il y a des tiers
Jamais que deux
Au même endroit
Ni en pensé
ni en chair
Et on sait qu’un tiers par deux
Ne fera jamais un nombre entier
Dernière édition par YOMEMOY le Ven 14 Aoû 2009, 01:20, édité 1 fois
YOMEMOY- Nombre de messages : 574
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Lau.- Nombre de messages : 1795
Age : 63
Localisation : Sous la vigne du 2.6
Date d'inscription : 18/02/2009
Yo Lau
Merci Lau,
Au fait c'est Yo me Moy
Yo c'est salue,, Moy c'est moi mais se dit comme boy
C'est donc un pseudo salut
Euh Bojour c'était moi :bye:
Au fait c'est Yo me Moy
Yo c'est salue,, Moy c'est moi mais se dit comme boy
C'est donc un pseudo salut
Euh Bojour c'était moi :bye:
YOMEMOY- Nombre de messages : 574
Age : 62
Localisation : 972 Tropicales Antilles
Date d'inscription : 06/08/2009
Lau.- Nombre de messages : 1795
Age : 63
Localisation : Sous la vigne du 2.6
Date d'inscription : 18/02/2009
T'inquiète Lau
T'inquiète Lau,
Des fois que j'oublierais d'être poli
Eh bien ce ne serait que pour du faux
Puisque que dès Yo... c'est dit :lolol
Des fois que j'oublierais d'être poli
Eh bien ce ne serait que pour du faux
Puisque que dès Yo... c'est dit :lolol
YOMEMOY- Nombre de messages : 574
Age : 62
Localisation : 972 Tropicales Antilles
Date d'inscription : 06/08/2009
Deux
Bon il faut bien continuer,
Et le faire d'un bon pas
Nous ammène à relier
Pour cette fois par les pieds
Notez que le titre est là
Pour qui ne veut chercher :Smileysommeil:
Et le faire d'un bon pas
Nous ammène à relier
Pour cette fois par les pieds
Notez que le titre est là
Pour qui ne veut chercher :Smileysommeil:
Deux
J’ai vu la lumière renaître dans tes yeux
Tu as remis tes plus beaux atours
Mon cœur lui débordait d’amour
Tu étais belle des orteils aux cheveux
J’ai vu ton cœur léger et joyeux
Ton port à nouveau altier
Un rêve longtemps espéré
Plus de cendre rallumé le feu
Et puis est venu le moment affreux
Tes pas vers la porte se sont dirigés
J’ai su qu’il allait falloir digérer
Désormais nous n’étions plus deux
J’ai vu la lumière renaître dans tes yeux
Tu as remis tes plus beaux atours
Mon cœur lui débordait d’amour
Tu étais belle des orteils aux cheveux
J’ai vu ton cœur léger et joyeux
Ton port à nouveau altier
Un rêve longtemps espéré
Plus de cendre rallumé le feu
Et puis est venu le moment affreux
Tes pas vers la porte se sont dirigés
J’ai su qu’il allait falloir digérer
Désormais nous n’étions plus deux
YOMEMOY- Nombre de messages : 574
Age : 62
Localisation : 972 Tropicales Antilles
Date d'inscription : 06/08/2009
Re: Le bal des amants
qUE voilà une jolie suite de titres, de mots... on les suit comme on suit un fil rouge.. je reviendrais encore ici pour y trouver ce qui est tapi sous les mots.
TITEFEE- Nombre de messages : 1505
Localisation : ardèche et alsace
Date d'inscription : 16/04/2008
Quand se meurt l'élan
Il n'est déjà plus temps Perdu dans mon élan ayant changé de page
Voilà que meurt l'élan Je n'ai pas pris le temps de remercier le passage
Inéluctablement De notre amie Titfée alors qu'elle m'honnore tant
Un jour on est trop lent Je me demande maintenant si il est encore temps
Pour rattraper le temps
Voilà que meurt l'élan Je n'ai pas pris le temps de remercier le passage
Inéluctablement De notre amie Titfée alors qu'elle m'honnore tant
Un jour on est trop lent Je me demande maintenant si il est encore temps
Pour rattraper le temps
Quand se meurt l'élan
Le temps se défile et les heures meurent sans raison
Il n’y a plus de folie dans les filets de la passion
Les lambeaux de rêves sont pour l’esprit un poison
Les âmes et les cœurs sont au bord de la fission
Le temps meurtrier mange la magie d’instants
Que les jours ont usé le destin rit amusé
On s’affaire mais les briques et les brocs tentés
Ne retiennent plus les cris des amours mourants
La nuit n’est plus l’écrin complice des amants
L’élan avili cerf aux vents traite aux serments
Lézarde péniblement le ciel de langueur
Des noms raisonnent pèle mêle au chantier du bonheur
Et les vies se dé scellent dans la tempête d’appels
Les amours s'amoncellent morts aux pieds d'une stèle
Le temps se défile et les heures meurent sans raison
Il n’y a plus de folie dans les filets de la passion
Les lambeaux de rêves sont pour l’esprit un poison
Les âmes et les cœurs sont au bord de la fission
Le temps meurtrier mange la magie d’instants
Que les jours ont usé le destin rit amusé
On s’affaire mais les briques et les brocs tentés
Ne retiennent plus les cris des amours mourants
La nuit n’est plus l’écrin complice des amants
L’élan avili cerf aux vents traite aux serments
Lézarde péniblement le ciel de langueur
Des noms raisonnent pèle mêle au chantier du bonheur
Et les vies se dé scellent dans la tempête d’appels
Les amours s'amoncellent morts aux pieds d'une stèle
Dernière édition par YOMEMOY le Sam 22 Aoû 2009, 02:56, édité 2 fois
YOMEMOY- Nombre de messages : 574
Age : 62
Localisation : 972 Tropicales Antilles
Date d'inscription : 06/08/2009
Super relatif
Quand se meurt l'élan
La premère tentation
Est de s'en prendre au temps
Même si le bien est rare dans l'imitation
Oui d'accord je sais là il faut fouiller
La premère tentation
Est de s'en prendre au temps
Même si le bien est rare dans l'imitation
Oui d'accord je sais là il faut fouiller
Le temps passe l'heure en minutes tendues
Est à la guerre froide l'affaire semble entendue
J'imagine la suite je me projette sans chute
Mais cela n'est point sur pour mon esprit en lutte
Les ressentis les doutes les impressions
Tout ce qu'on voit venir sans se faire raison
Se donne aujourd'hui l'accord à l'unisson
Patience et engagement ne garde pas la passion
Quand la vie défile vers d'autres horizons
Deux en double file résistent sans frissons
L'amour biaise pour fuir les effusions
Le papier est seul buvard de cette émotion
J'en bave mais moins c'est certain
que ceux qui partent alors qu'il s'aiment encore
Au péril de leur vie et en plus à jamais
Chercher pour ceux qu'ils aiment le pain
Avec tout retour comme espoir mort
:pfffff:
Est à la guerre froide l'affaire semble entendue
J'imagine la suite je me projette sans chute
Mais cela n'est point sur pour mon esprit en lutte
Les ressentis les doutes les impressions
Tout ce qu'on voit venir sans se faire raison
Se donne aujourd'hui l'accord à l'unisson
Patience et engagement ne garde pas la passion
Quand la vie défile vers d'autres horizons
Deux en double file résistent sans frissons
L'amour biaise pour fuir les effusions
Le papier est seul buvard de cette émotion
J'en bave mais moins c'est certain
que ceux qui partent alors qu'il s'aiment encore
Au péril de leur vie et en plus à jamais
Chercher pour ceux qu'ils aiment le pain
Avec tout retour comme espoir mort
:pfffff:
Dernière édition par YOMEMOY le Ven 21 Aoû 2009, 02:09, édité 1 fois
YOMEMOY- Nombre de messages : 574
Age : 62
Localisation : 972 Tropicales Antilles
Date d'inscription : 06/08/2009
Amours de mains
Qu'importe hier et demain
En cet instant heureux
Prend l'aujourd'hui posé---->
En cet instant heureux
Prend l'aujourd'hui posé---->
Dans le creux de tes mains
Et le monde lui résiste faisant d’amour aumône.
Tant de lèvres n’osent déclarer leurs feux.
Âmes à nues, humeur grise, et les pensées qui trottent
Où gisent les sentiments brumeux
Pour que l’amour soit fier, demain donnons nous plus.
Saisissons ces instants d’un présent qui nous panse.
Rions du temps qui passe et dont nous n’avons cure.
Brisons les chaînes amants. Surfons sur les reflux.
Sans années du passé, afin que s’effondre hier,
Pour que vive aujourd’hui, la liberté sera
La seule pitance rempart de ceux qui s’aiment.
N’ayons pas d’autre maître, du matin jusqu’au soir.
Tout doux. Ne crains pas. Même si rien n’est sur.
Ne te retournes pas. de tes deux mains tu sais,
Si tu repousses les murs, tu feras une devanture
Pour accueillir d’amour, celui dont tu rêvais
Non non ce 'n'est pas ce que vous voyez :lolol
Et le monde lui résiste faisant d’amour aumône.
Tant de lèvres n’osent déclarer leurs feux.
Âmes à nues, humeur grise, et les pensées qui trottent
Où gisent les sentiments brumeux
Pour que l’amour soit fier, demain donnons nous plus.
Saisissons ces instants d’un présent qui nous panse.
Rions du temps qui passe et dont nous n’avons cure.
Brisons les chaînes amants. Surfons sur les reflux.
Sans années du passé, afin que s’effondre hier,
Pour que vive aujourd’hui, la liberté sera
La seule pitance rempart de ceux qui s’aiment.
N’ayons pas d’autre maître, du matin jusqu’au soir.
Tout doux. Ne crains pas. Même si rien n’est sur.
Ne te retournes pas. de tes deux mains tu sais,
Si tu repousses les murs, tu feras une devanture
Pour accueillir d’amour, celui dont tu rêvais
Non non ce 'n'est pas ce que vous voyez :lolol
Dernière édition par YOMEMOY le Dim 23 Aoû 2009, 20:15, édité 1 fois
YOMEMOY- Nombre de messages : 574
Age : 62
Localisation : 972 Tropicales Antilles
Date d'inscription : 06/08/2009
Re: Le bal des amants
hello Coucou !
J'ai bien aimé ton poème Yomemoy :9:
Ici et maintenant ...
Mais pourquoi tu dis ça à la fin ? - non non ce n'est pas ce que vous voyez- ? :girafe:
S'cuz'moi d'être curieuse mais z'aime bien comprendre ...! :timide:
:bye: :abientot:
J'ai bien aimé ton poème Yomemoy :9:
Ici et maintenant ...
Mais pourquoi tu dis ça à la fin ? - non non ce n'est pas ce que vous voyez- ? :girafe:
S'cuz'moi d'être curieuse mais z'aime bien comprendre ...! :timide:
:bye: :abientot:
citronnette- Nombre de messages : 2376
Age : 63
Localisation : près d'une petite rivière
Date d'inscription : 02/06/2007
Merci Ci..tronnette
Merci Citronnette,
Tu recevras des indices...
Et puis à Titfée:
Perdu dans mon élan ayant changé de page
Je n'ai pas pris le temps de remercier le passage
De notre amie Titfée alors qu'elle m'honnore tant
Je me demande maintenant si il est encore temps
Pour rattraper le temps
Et me faire pardonner
Tu recevras des indices...
Et puis à Titfée:
Perdu dans mon élan ayant changé de page
Je n'ai pas pris le temps de remercier le passage
De notre amie Titfée alors qu'elle m'honnore tant
Je me demande maintenant si il est encore temps
Pour rattraper le temps
Et me faire pardonner
YOMEMOY- Nombre de messages : 574
Age : 62
Localisation : 972 Tropicales Antilles
Date d'inscription : 06/08/2009
Mon être en grêve
Et finalement parfois le temps
Se réduit à un instant
Mon être en grève
Tu es passée si près si loin
Comme si quelque chose s’était cassée
J’ai bien compris tu es attachée
Je l’ai dit à mon cœur
Qu’il fallait oublier
Je l’ai dit à mes yeux
Que tu n’étais pas belle
Je l’ai dit à mes mains
Que ta peau n’était pas douce
Je l’ai dit à mon corps
Qu’il n’y aurait pas fête
Et aussi à ma tête
D’arrêter d’y penser
Qu’elle avait du rêver
Que tu n’étais pas une fée
Mais rien n’y a fait
Mes yeux émerveillés
Se mirent à rigoler
Mon cœur m’a balancé
« T’es tombé sur la tête ? »
Mes mains ont déclaré vouloir
Toucher pour croire
Ma tête dit ne pas entendre
Bien que j’ai parlé fort
Vois tu ils font un foin
Et je n’y peux rien
Mes yeux rêve du bonheur
Que ton regard promet
Mes mains des virages
Sensuels des courbes
De ton corps
Mes oreilles veulent entendre
Encore milles fois ton rire
Mon cœur lui il soupire
Qu’il est bien assez large
Aides moi je quémande
Un petit coup de pouce
Rein qu’un moment tendre
Juste un instant heureux
Peut être un septième ciel
Pour calmer un instant
Tous ces belligérants.
Le mot lien
Qui plus souvent revient
Et se trouve lié
Au temps pour le renouveler
Est oubli ou oublier
Ce pour recommencer
Se réduit à un instant
Mon être en grève
Tu es passée si près si loin
Comme si quelque chose s’était cassée
J’ai bien compris tu es attachée
Je l’ai dit à mon cœur
Qu’il fallait oublier
Je l’ai dit à mes yeux
Que tu n’étais pas belle
Je l’ai dit à mes mains
Que ta peau n’était pas douce
Je l’ai dit à mon corps
Qu’il n’y aurait pas fête
Et aussi à ma tête
D’arrêter d’y penser
Qu’elle avait du rêver
Que tu n’étais pas une fée
Mais rien n’y a fait
Mes yeux émerveillés
Se mirent à rigoler
Mon cœur m’a balancé
« T’es tombé sur la tête ? »
Mes mains ont déclaré vouloir
Toucher pour croire
Ma tête dit ne pas entendre
Bien que j’ai parlé fort
Vois tu ils font un foin
Et je n’y peux rien
Mes yeux rêve du bonheur
Que ton regard promet
Mes mains des virages
Sensuels des courbes
De ton corps
Mes oreilles veulent entendre
Encore milles fois ton rire
Mon cœur lui il soupire
Qu’il est bien assez large
Aides moi je quémande
Un petit coup de pouce
Rein qu’un moment tendre
Juste un instant heureux
Peut être un septième ciel
Pour calmer un instant
Tous ces belligérants.
Le mot lien
Qui plus souvent revient
Et se trouve lié
Au temps pour le renouveler
Est oubli ou oublier
Ce pour recommencer
YOMEMOY- Nombre de messages : 574
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Date d'inscription : 06/08/2009
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