Le Diablotin passe à la Radio
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Le Diablotin passe à la Radio
Si vous êtes debout à 3 h du matin dans cette radio on va entendre des poèmes du diablotin lus à l'antenne...
http://www.100-1fm.com/
:dodo:
http://www.100-1fm.com/
:dodo:
Dernière édition par Tigresse/Nandy le Ven 13 Nov 2009, 14:36, édité 1 fois
Re: Le Diablotin passe à la Radio
Normalement le Dr m'a dit d'aller me coucher à minuit !!!!!! j'y vais mais écoute la radio dans mon lit... suffi de trouver la fréquence mais si c'est au Québec j'ai peur de devoir venir sur le mac.... Mais
J'écouterai.....
J'écouterai.....
yo- Nombre de messages : 6849
Age : 83
Localisation : ailleurs
Date d'inscription : 28/09/2006
Re: Le Diablotin passe à la Radio
Mais je pense que leurs émissions "" poétiques "" sont retransmises je n'en sais pas plus ..; je voulais l'enregistrer dans mon disc dur mais je ne trouve pas comment et le Diablotin ne m'a pas donné beaucoup de détails ..; il m'a simplement dit que c'était la nuit... je vais laisser mon ordi diffuser la radio et je vais coucher dans le canapé... je m'en dormirais sans aucun doute mais ... on ne sait jamais...
Re: Le Diablotin passe à la Radio
Poèmes lus ..;
Cri du coeur
Un poème, c’est comme un cri du coeur
Si souvent meurtri d’avoir tant pleuré
Quand il ne demandait qu’un peu d’amour
À partager, un peu de l’autre pour être lui.
Un poème, c’est comme un cri d’amour
Qui fait mal et protège de la nuit
Où ce dieu nous plonge tremblant de peur
Et de pleurs au visage de l’être aimé.
Un poème, c’est comme un cri de poète
Qui guide les hommes et est guidé par eux
Si je suis poète, j’ai aussi une âme
Dont le coeur malmené souffre encore.
Un poème, c’est comme un cri de fête
Qui finalement emporte les corps
Défunts du souvenir et enflamme
Toutes les douleurs d’un coeur malheureux.
Novembre 1986
Je l'ai trouvé plagié là...
http://poeme-amour.jepoeme.com/discussion-86804-cri_du_coeur/1.html
**********************
L’homme qui cherchait la lumière
Aux quêteurs d’absolu
à mon Père
Depuis longtemps déjà rien n’allait plus.
Le temps accentuait sa souffrance
Et la mort ricanait en silence.
Depuis longtemps déjà rien n’allait plus.
L’homme qui cherchait la lumière
Ignorait encore qu’il était perdu
Méprisant le regard de ses frères
Il commença sa quête, éperdu.
Il marcha longtemps dans les ténèbres
Guidé par sa farouche volonté
Heurté par des obstacles démontés
D’un dédale tristement célèbre.
L’homme qui cherchait la lumière
Ignorait toujours qu’il était perdu
Méprisant le regard de ses frères
Il continua sa quête éperdue.
Mais alors que la fin était proche
L’homme qui cherchait la lumière
Ferma doucement ses paupières
Et tomba à genoux sur la roche.
Joignant ses mains ensemble, il pria
Il pria ce Dieu longtemps disparu
Dans cette ultime épreuve, il cria
Comme à ce premier jour où il parut.
Depuis longtemps déjà rien n’allait plus.
L’homme qui cherchait la lumière
A fermé les yeux et n’existe plus.
Il ne reste rien qu’une prière.
19 septembre 1990
Celui là je l'ai trové plagié là...
http://matthias.forumpro.fr/poemes-de-shizuku-f14/poemes-de-shizuku-t122.htm
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Cri du coeur
Un poème, c’est comme un cri du coeur
Si souvent meurtri d’avoir tant pleuré
Quand il ne demandait qu’un peu d’amour
À partager, un peu de l’autre pour être lui.
Un poème, c’est comme un cri d’amour
Qui fait mal et protège de la nuit
Où ce dieu nous plonge tremblant de peur
Et de pleurs au visage de l’être aimé.
Un poème, c’est comme un cri de poète
Qui guide les hommes et est guidé par eux
Si je suis poète, j’ai aussi une âme
Dont le coeur malmené souffre encore.
Un poème, c’est comme un cri de fête
Qui finalement emporte les corps
Défunts du souvenir et enflamme
Toutes les douleurs d’un coeur malheureux.
Novembre 1986
Je l'ai trouvé plagié là...
http://poeme-amour.jepoeme.com/discussion-86804-cri_du_coeur/1.html
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L’homme qui cherchait la lumière
Aux quêteurs d’absolu
à mon Père
Depuis longtemps déjà rien n’allait plus.
Le temps accentuait sa souffrance
Et la mort ricanait en silence.
Depuis longtemps déjà rien n’allait plus.
L’homme qui cherchait la lumière
Ignorait encore qu’il était perdu
Méprisant le regard de ses frères
Il commença sa quête, éperdu.
Il marcha longtemps dans les ténèbres
Guidé par sa farouche volonté
Heurté par des obstacles démontés
D’un dédale tristement célèbre.
L’homme qui cherchait la lumière
Ignorait toujours qu’il était perdu
Méprisant le regard de ses frères
Il continua sa quête éperdue.
Mais alors que la fin était proche
L’homme qui cherchait la lumière
Ferma doucement ses paupières
Et tomba à genoux sur la roche.
Joignant ses mains ensemble, il pria
Il pria ce Dieu longtemps disparu
Dans cette ultime épreuve, il cria
Comme à ce premier jour où il parut.
Depuis longtemps déjà rien n’allait plus.
L’homme qui cherchait la lumière
A fermé les yeux et n’existe plus.
Il ne reste rien qu’une prière.
19 septembre 1990
Celui là je l'ai trové plagié là...
http://matthias.forumpro.fr/poemes-de-shizuku-f14/poemes-de-shizuku-t122.htm
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Re: Le Diablotin passe à la Radio
Suite de poèmes du Diablotin lus à l'antenne
Si j'avais quelqu'un à qui parler
Si j’avais quelqu’un
Si j’avais quelqu’un à qui parler
Je lui dirai...
Que lui dirais-je ?
Je lui dirai le vol d’un oiseau
Si léger et subtil mais si beau.
Je lui dirai le bleu du ciel.
L’étrange beauté d’un arc-en-ciel.
Je lui dirai les blancs nuages
Qui volent au vent sans visage.
Si j’avais quelqu’un à qui parler
Je lui dirai...
Que lui dirais-je ?
Je lui dirai le clair murmure
D’une eau qui s’écoule si pure.
Je lui dirai le scintillement
Des étoiles bleutées du firmament.
Je lui dirai la délicatesse
D’une fleur chantant ma tristesse.
Si j’avais quelqu’un à qui parler
Je lui dirai...
Mais oserais-je ?
Je lui dirai mes états d’âme
Mes tourments, mes peines et mes drames.
Je lui dirai mon coeur qui pleure
Éternellement dans sa douleur.
Je lui dirai ma solitude
Mon ennui et ma lassitude.
Si j’avais quelqu’un à qui parler
Je lui dirai...
Mais oserais-je ?
Pourrais-je lui dire
Tout ce que je ressens ?
Pourrais-je sans mentir,
Partager mes sentiments?
******************************************
Petite étoile d’un soir
Une étoile de la nuit s’est posée
Sur ton oreille et t’a confié
D’un doux murmure fredonné
Les secrets de la voie Lactée.
Petite étoile brillante,
Tu accroches les regards,
Que te lancent des yeux vifs et ardents,
Et tu les guides vers toi sans retard.
Petite étoile si belle,
Messagère de l’espoir,
Je te confie mon sort auprès de celle
Qui chavire mon coeur sans le savoir.
Mais au matin, l’étoile de la nuit,
De ton oreille s’est enfuie.
Et le doux murmure fredonnait
Encore des secrets oubliés.
3 février 1987
http://www.google.fr/search?sourceid=navclient&hl=fr&ie=UTF-8&rlz=1T4GGLL_frFR318FR319&q=%22Petite+%c3%a9toile+d%27un+soir%22
Maman
à toutes les mères du monde entier
et à la mienne en particulier.
Toi qui veillas sur moi comme une étoile
Lorsque j’ai mis, sur mon bateau, la voile
Pour partir vers de nouveaux horizons
Le coeur plein de parfums de ta maison.
Je porte dans mon âme ton visage
Penchée sur moi, si précieuse image
Guide dans mes courses vagabondes
Aux parfums enivrants du vaste monde.
Je sais qu’un jour, je toucherai au port
Que mon âme assagie de ses transports
De jeunesse saura enfin se mettre
À quai, afin d’aimer de tout mon être.
Toi qui fus pour moi comme cette étoile
Que la lumière de la nuit dévoile
Quand je te chantais ces belles chansons
Le coeur plein des parfums de ta maison
Je n'ai pas été bien souvent très sage
Mais comme on apprend quand on prend de l'âge
Et j'ai toujours ton amour qui m'inonde
Aux parfums enivrants du vaste monde.
Si j'avais quelqu'un à qui parler
Si j’avais quelqu’un
Si j’avais quelqu’un à qui parler
Je lui dirai...
Que lui dirais-je ?
Je lui dirai le vol d’un oiseau
Si léger et subtil mais si beau.
Je lui dirai le bleu du ciel.
L’étrange beauté d’un arc-en-ciel.
Je lui dirai les blancs nuages
Qui volent au vent sans visage.
Si j’avais quelqu’un à qui parler
Je lui dirai...
Que lui dirais-je ?
Je lui dirai le clair murmure
D’une eau qui s’écoule si pure.
Je lui dirai le scintillement
Des étoiles bleutées du firmament.
Je lui dirai la délicatesse
D’une fleur chantant ma tristesse.
Si j’avais quelqu’un à qui parler
Je lui dirai...
Mais oserais-je ?
Je lui dirai mes états d’âme
Mes tourments, mes peines et mes drames.
Je lui dirai mon coeur qui pleure
Éternellement dans sa douleur.
Je lui dirai ma solitude
Mon ennui et ma lassitude.
Si j’avais quelqu’un à qui parler
Je lui dirai...
Mais oserais-je ?
Pourrais-je lui dire
Tout ce que je ressens ?
Pourrais-je sans mentir,
Partager mes sentiments?
******************************************
Petite étoile d’un soir
Une étoile de la nuit s’est posée
Sur ton oreille et t’a confié
D’un doux murmure fredonné
Les secrets de la voie Lactée.
Petite étoile brillante,
Tu accroches les regards,
Que te lancent des yeux vifs et ardents,
Et tu les guides vers toi sans retard.
Petite étoile si belle,
Messagère de l’espoir,
Je te confie mon sort auprès de celle
Qui chavire mon coeur sans le savoir.
Mais au matin, l’étoile de la nuit,
De ton oreille s’est enfuie.
Et le doux murmure fredonnait
Encore des secrets oubliés.
3 février 1987
http://www.google.fr/search?sourceid=navclient&hl=fr&ie=UTF-8&rlz=1T4GGLL_frFR318FR319&q=%22Petite+%c3%a9toile+d%27un+soir%22
Maman
à toutes les mères du monde entier
et à la mienne en particulier.
Toi qui veillas sur moi comme une étoile
Lorsque j’ai mis, sur mon bateau, la voile
Pour partir vers de nouveaux horizons
Le coeur plein de parfums de ta maison.
Je porte dans mon âme ton visage
Penchée sur moi, si précieuse image
Guide dans mes courses vagabondes
Aux parfums enivrants du vaste monde.
Je sais qu’un jour, je toucherai au port
Que mon âme assagie de ses transports
De jeunesse saura enfin se mettre
À quai, afin d’aimer de tout mon être.
Toi qui fus pour moi comme cette étoile
Que la lumière de la nuit dévoile
Quand je te chantais ces belles chansons
Le coeur plein des parfums de ta maison
Je n'ai pas été bien souvent très sage
Mais comme on apprend quand on prend de l'âge
Et j'ai toujours ton amour qui m'inonde
Aux parfums enivrants du vaste monde.
Dernière édition par Tigresse/Nandy le Ven 20 Nov 2009, 03:28, édité 1 fois
Re: Le Diablotin passe à la Radio
Yves qui lit lui même , pas en direct pour cause de décalage horaire..;
Akwaba
Venez près de l'arbre qui veille
Sur cette maison toute neuve,
Venez entendre les merveilles
Qu'il souffle au vent et qui émeuvent.
Les murs majestueux et forts
Offrent aux visiteurs curieux
Toutes les joies et réconforts
De ce doux bonheur mystérieux.
Sachez l'entendre avec le cœur
Car si sa musique est ancienne
Son bel ombrage est protecteur
Pour celle qui est sa gardienne.
Il vous dira le piroguier
Qui a flâné sur la lagune,
Cueillant lentement au figuier
Les fruits à la douceur de lune.
Il vous dira encore le soir,
Riche de toutes ces promesses,
Du bonheur de vous recevoir
De l'amour qui jamais ne cesse.
Et, prenant congé de vos hôtes
Ayez garde de n'oublier
De saluer sans fausses notes
L'arbre que Dieu nous a donné.
**********************
Akwaba
Venez près de l'arbre qui veille
Sur cette maison toute neuve,
Venez entendre les merveilles
Qu'il souffle au vent et qui émeuvent.
Les murs majestueux et forts
Offrent aux visiteurs curieux
Toutes les joies et réconforts
De ce doux bonheur mystérieux.
Sachez l'entendre avec le cœur
Car si sa musique est ancienne
Son bel ombrage est protecteur
Pour celle qui est sa gardienne.
Il vous dira le piroguier
Qui a flâné sur la lagune,
Cueillant lentement au figuier
Les fruits à la douceur de lune.
Il vous dira encore le soir,
Riche de toutes ces promesses,
Du bonheur de vous recevoir
De l'amour qui jamais ne cesse.
Et, prenant congé de vos hôtes
Ayez garde de n'oublier
De saluer sans fausses notes
L'arbre que Dieu nous a donné.
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Re: Le Diablotin passe à la Radio
Il parlait
Il parlait des chants des mésanges
Elle écoutait sa voix qui chante
Elle le voyait comme cet ange
Aux ailes d’or et attachantes
Ils cheminaient de par la route
Leurs mains qui s’effleurent en douce
Abandonnant leur moindre doute
A cette saveur aigre-douce
Il avait du vent dans sa tête
Et des oiseaux dans ses fenêtres
Elle aimait tant qu’il soit honnête
Peuplant leur vie comme un seul être
Elle était là comme la chance
Comme un ruban sur une branche
Virevoltant avec aisance
Au son des cloches du dimanche
Il la voyait comme on regarde
Les étoiles lorsqu’elles partent
Quand au point du jour l’astre farde
Leurs joues et que l’aurore écarte
Qui sait où s’en sont allés dire
La mésange au ruban soupire
L’oiseau aux ailes d’ange expire
Et pour eux ne rien s’interdire
http://desmots-despages.forumculture.net/entree-libre-f5/il-parlait-t3228.htm
Il parlait des chants des mésanges
Elle écoutait sa voix qui chante
Elle le voyait comme cet ange
Aux ailes d’or et attachantes
Ils cheminaient de par la route
Leurs mains qui s’effleurent en douce
Abandonnant leur moindre doute
A cette saveur aigre-douce
Il avait du vent dans sa tête
Et des oiseaux dans ses fenêtres
Elle aimait tant qu’il soit honnête
Peuplant leur vie comme un seul être
Elle était là comme la chance
Comme un ruban sur une branche
Virevoltant avec aisance
Au son des cloches du dimanche
Il la voyait comme on regarde
Les étoiles lorsqu’elles partent
Quand au point du jour l’astre farde
Leurs joues et que l’aurore écarte
Qui sait où s’en sont allés dire
La mésange au ruban soupire
L’oiseau aux ailes d’ange expire
Et pour eux ne rien s’interdire
http://desmots-despages.forumculture.net/entree-libre-f5/il-parlait-t3228.htm
Re: Le Diablotin passe à la Radio
Pour les insomniaques " 4h du matin " français qui nous écoutent , deuxième partie des poèmes de Yves Le Guern
Insomnie
J’écoute les bruits de la nuit
Il y a longtemps que les crapauds
Et les grenouilles se sont tus.
J’entends la plainte lancinante
D’un oiseau de nuit qui égrène
Les secondes de mon insomnie
Hier sur cette plage je t’ai tant cherché
Puis, je t’ai attendu mais en vain
Jusqu’à l’heure où les ombres
Envahissent doucement l’endroit
Me rappelant le tableau charmant
D’un moment de froid dû au soleil qui s’en va.
Quel mal étrange a envahi mon âme ?
De l’amour j’en ai tous les symptômes.
Et je maudis l’instant où je n’ai pas pu
T’aborder et me conduire en homme.
Pourtant, de ma vie, tu étais la femme.
Je ne le savais pas mais mon cœur, lui, l’a su.
Et lentement le temps s’enfuit.
Bientôt le gazouillis des oiseaux
Viendra dire à l’aurore : « Salut ! »
J’attends ce moment avec l’impatiente
Fougue de ma jeunesse qui m’entraîne
À ne plus rien savoir hormis ce qui me lie.
Aujourd’hui encore j’irai marcher
Le long de cette plage et prendrai le bain,
Jusqu’au moment où tout sombre.
Quand mon âme et mon cœur tremblent à l’effroi,
Dans la lumière d’un soleil déclinant,
De ne pas t’aimer si tu n’es pas là.
23/06/2003
plagié là
http://passionneesdelacreas.vip-blog.com/vip/pages/passionneesdelacreas_article45.html
Insomnie
J’écoute les bruits de la nuit
Il y a longtemps que les crapauds
Et les grenouilles se sont tus.
J’entends la plainte lancinante
D’un oiseau de nuit qui égrène
Les secondes de mon insomnie
Hier sur cette plage je t’ai tant cherché
Puis, je t’ai attendu mais en vain
Jusqu’à l’heure où les ombres
Envahissent doucement l’endroit
Me rappelant le tableau charmant
D’un moment de froid dû au soleil qui s’en va.
Quel mal étrange a envahi mon âme ?
De l’amour j’en ai tous les symptômes.
Et je maudis l’instant où je n’ai pas pu
T’aborder et me conduire en homme.
Pourtant, de ma vie, tu étais la femme.
Je ne le savais pas mais mon cœur, lui, l’a su.
Et lentement le temps s’enfuit.
Bientôt le gazouillis des oiseaux
Viendra dire à l’aurore : « Salut ! »
J’attends ce moment avec l’impatiente
Fougue de ma jeunesse qui m’entraîne
À ne plus rien savoir hormis ce qui me lie.
Aujourd’hui encore j’irai marcher
Le long de cette plage et prendrai le bain,
Jusqu’au moment où tout sombre.
Quand mon âme et mon cœur tremblent à l’effroi,
Dans la lumière d’un soleil déclinant,
De ne pas t’aimer si tu n’es pas là.
23/06/2003
plagié là
http://passionneesdelacreas.vip-blog.com/vip/pages/passionneesdelacreas_article45.html
Re: Le Diablotin passe à la Radio
La femme est une île
La femme est une île
Sans cesse conquise
Mais jamais soumise
Et le temps file
Lorsque mon coeur se fait
Bavard ou bien se tait
Le vent est son parfum
Elle embaume mon coeur
Par ces douces senteurs
La mer est son écrin
Une larme y perle
Et mon coeur déferle
Je t’aime, et j’ai peur
Peur d’un trop grand bonheur
Peur de tromper mon coeur.
27 février 1989
http://lesshawcks.unblog.fr/2008/03/21/366/#comment-873
La femme est une île
Sans cesse conquise
Mais jamais soumise
Et le temps file
Lorsque mon coeur se fait
Bavard ou bien se tait
Le vent est son parfum
Elle embaume mon coeur
Par ces douces senteurs
La mer est son écrin
Une larme y perle
Et mon coeur déferle
Je t’aime, et j’ai peur
Peur d’un trop grand bonheur
Peur de tromper mon coeur.
27 février 1989
http://lesshawcks.unblog.fr/2008/03/21/366/#comment-873
Re: Le Diablotin passe à la Radio
Qui se souvient des hommes ?
Loin dans la mémoire oubliée de nos pères
Dans les souvenirs perdus de notre Terre
Ont surgi de quelque part une poignée d’hommes
Qui partaient à la conquête de royaumes.
Farouches et fiers
Ces guerriers d’hier
Sortant de l’onde
Virent le monde.
Terres arides, chaos et marécages
Furent pour ces hommes leur seul héritage
Terres avides d’eau de sueur et de sang
Firent à ces hommes un accueil triomphant.
Paisibles et fiers
Ces pionniers d’hier
Enfants de l’onde
Firent le monde.
Le temps indifférent et hautain s’enfuyait
Suivant l’absurde destinée qui l’ennuyait.
Mais les hommes de ce temps n’étaient pas pressés
Parce qu’ils avaient devant eux l’éternité.
Sensibles et fiers
Ces enfants d’hier
Revirent l’onde
Qui les mit au monde.
Qui se souvient encore des hommes
Qui firent de la Terre ce qu’elle est
Depuis le temps presque oublié
Où Eve croqua la pomme.
Mars 1989
émission ""prélude à la nuit"
Loin dans la mémoire oubliée de nos pères
Dans les souvenirs perdus de notre Terre
Ont surgi de quelque part une poignée d’hommes
Qui partaient à la conquête de royaumes.
Farouches et fiers
Ces guerriers d’hier
Sortant de l’onde
Virent le monde.
Terres arides, chaos et marécages
Furent pour ces hommes leur seul héritage
Terres avides d’eau de sueur et de sang
Firent à ces hommes un accueil triomphant.
Paisibles et fiers
Ces pionniers d’hier
Enfants de l’onde
Firent le monde.
Le temps indifférent et hautain s’enfuyait
Suivant l’absurde destinée qui l’ennuyait.
Mais les hommes de ce temps n’étaient pas pressés
Parce qu’ils avaient devant eux l’éternité.
Sensibles et fiers
Ces enfants d’hier
Revirent l’onde
Qui les mit au monde.
Qui se souvient encore des hommes
Qui firent de la Terre ce qu’elle est
Depuis le temps presque oublié
Où Eve croqua la pomme.
Mars 1989
émission ""prélude à la nuit"
Re: Le Diablotin passe à la Radio
De beaux textes
delcau roinos- Nombre de messages : 7834
Age : 73
Localisation : Pas là où je devrais être !
Date d'inscription : 11/04/2009
Re: Le Diablotin passe à la Radio
Le Diablotin passe encore ce matin entre 3h et 4h avec ses poésies lues à l'antenne en direct...
Re: Le Diablotin passe à la Radio
Nandy pour l'info....mais je vais
au Diablotin si célèbre sur le net
au Diablotin si célèbre sur le net
yo- Nombre de messages : 6849
Age : 83
Localisation : ailleurs
Date d'inscription : 28/09/2006
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