D'ici paru
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delcau roinos
YOMEMOY
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D'ici paru
D'ici paru
Je suis un fantôme
Je croyais exister
Tes yeux se sont fermés
Je me suis envolé
Parti en fumée
banni de tes pensées
Le destin fit un somme
ou je fus oublié
Je croyais être un homme
Et quand tu m'as broyé
Mon corps a déserté
Place net tout nettoyé
J'ai regardé mon clone
Et sa peine m'a blessé
Je plane tout éthéré
étrange d'être doublé
Y a ma vie qui déconne
Toi tu t'es envolé
Telles des piles usagées
De mes rêves enterrés
Y a le glas qui sonne
Une musique adaptée
Qu'on ne peut qu'écourter
Je suis un fantôme
Je croyais exister
Tes yeux se sont fermés
Je me suis envolé
Parti en fumée
banni de tes pensées
Le destin fit un somme
ou je fus oublié
Je croyais être un homme
Et quand tu m'as broyé
Mon corps a déserté
Place net tout nettoyé
J'ai regardé mon clone
Et sa peine m'a blessé
Je plane tout éthéré
étrange d'être doublé
Y a ma vie qui déconne
Toi tu t'es envolé
Telles des piles usagées
De mes rêves enterrés
Y a le glas qui sonne
Une musique adaptée
Qu'on ne peut qu'écourter
YOMEMOY- Nombre de messages : 574
Age : 62
Localisation : 972 Tropicales Antilles
Date d'inscription : 06/08/2009
Re: D'ici paru
J'aime bien cette rapidité "souvent dans ta poésie" des vers oui j'aime !
delcau roinos- Nombre de messages : 7834
Age : 73
Localisation : Pas là où je devrais être !
Date d'inscription : 11/04/2009
Re: D'ici paru
C'est quoi un homme ?
Avant tout un être, vivant.
Comme tout êtres vivants.
Ce que nous avons de plus que l'animal est la raison.
Mais pourquoi je raconte ça, ce que tout le monde sait.
Ah oui, le destin, avons-nous un destin ?
Est-ce que notre vie est écrite quelque part avant que nous la vivions ?
Je ne vais pas consulter les définitions mais quand je lis "destin" ça me fait penser à une personne résignée.
Le hasard me paraît plus joli, il n'est pas écrit et est éternellement renouvelé, comme l'amour, parce que c'est vital.
Avant tout un être, vivant.
Comme tout êtres vivants.
Ce que nous avons de plus que l'animal est la raison.
Mais pourquoi je raconte ça, ce que tout le monde sait.
Ah oui, le destin, avons-nous un destin ?
Est-ce que notre vie est écrite quelque part avant que nous la vivions ?
Je ne vais pas consulter les définitions mais quand je lis "destin" ça me fait penser à une personne résignée.
Le hasard me paraît plus joli, il n'est pas écrit et est éternellement renouvelé, comme l'amour, parce que c'est vital.
frisonne- Nombre de messages : 5481
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 16/02/2007
Des...sin
Yo Claude,
Merci d'apprécier,
Ces quelques vers tombés
D'où leur rapidité
Hi Frisonne,
Toi la rapidité
Te fait là dépi(s)tée
Note qu'ici homme
Est phonème
Pour tangigble, réel,
Somme toute existant
Point n'est question de destin
Mais plustôt de l'oedème
Face à la 'Bell'
Qui sonne
D'un bel amour la fin
Quant à être résigné
L'action est dans l'instant
La résignation toujours projetée,
pour le destin,
Ces quelques vers
Qui rappellent
Combien il nous appartient
Face a ce qu'il nous sert
De choisir nos chemins
Allez je reprends mon bâton de pélerin
Merci d'apprécier,
Ces quelques vers tombés
D'où leur rapidité
Hi Frisonne,
Toi la rapidité
Te fait là dépi(s)tée
Note qu'ici homme
Est phonème
Pour tangigble, réel,
Somme toute existant
Point n'est question de destin
Mais plustôt de l'oedème
Face à la 'Bell'
Qui sonne
D'un bel amour la fin
Quant à être résigné
L'action est dans l'instant
La résignation toujours projetée,
pour le destin,
Ces quelques vers
Qui rappellent
Combien il nous appartient
Le destin
Est un copain
Qui ne dit point
Quand il vient
Il te comble de biens
Mais ne te retient rien
A porté de main
Il ne te dit rien
Fidèle comme un chien
Tombant toujours à point
Il ignore demain
Le destin si tu l'étreins
Te fait ronger ton frein
Mais si tu lui laisses la main
Et que tu suis son chemin
Tu ne restes point
Sur ta faim
Il fait quand tes pas sont siens
Ton cœur solide et serein
Est un copain
Qui ne dit point
Quand il vient
Il te comble de biens
Mais ne te retient rien
A porté de main
Il ne te dit rien
Fidèle comme un chien
Tombant toujours à point
Il ignore demain
Le destin si tu l'étreins
Te fait ronger ton frein
Mais si tu lui laisses la main
Et que tu suis son chemin
Tu ne restes point
Sur ta faim
Il fait quand tes pas sont siens
Ton cœur solide et serein
Face a ce qu'il nous sert
De choisir nos chemins
Allez je reprends mon bâton de pélerin
YOMEMOY- Nombre de messages : 574
Age : 62
Localisation : 972 Tropicales Antilles
Date d'inscription : 06/08/2009
Re: D'ici paru
Peines qui restent plantées en plein coeur, encore plus pour un fantôme... une pensée pour toi ... prends soin de toi sur tous les chemins que tu prendras...
d'ici paru
oh Nandy ! nos êtres chers, "disparus" sont là, présents à nos côtés ! ils nous envoient des messages, à nous de savoir les lire !!!!!!!!!!!!!
Re: D'ici paru
Oh Yomemoy, j'avais bien compris qu'il y avait une peine de cœur.
Mais j'ai réagis comme s'il s'agissait de moi et je feins d'ignorer pour tromper, ne pas écouter le cœur.
J'ai bien aimé tes lignes du destin et suis contente de constater que mon cœur est solide et serein.
Un bâton de pèlerin ou de berger, car chez nous, il n'y a pas d'heure pour en manger.
Blague à part......
Il y a certainement encore plein de choses à découvrir sur les chemins, je te souhaite bonne route,
Mais j'ai réagis comme s'il s'agissait de moi et je feins d'ignorer pour tromper, ne pas écouter le cœur.
J'ai bien aimé tes lignes du destin et suis contente de constater que mon cœur est solide et serein.
Un bâton de pèlerin ou de berger, car chez nous, il n'y a pas d'heure pour en manger.
Blague à part......
Il y a certainement encore plein de choses à découvrir sur les chemins, je te souhaite bonne route,
frisonne- Nombre de messages : 5481
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 16/02/2007
Re: D'ici paru
YomemoY tu as écrit :
"D'ici paru
Je suis un fantôme
Je croyais exister
Tes yeux se sont fermés
Je me suis envolé
Parti en fumée
banni de tes pensées
Le destin fit un somme
ou je fus oublié..."
"D'ici paru
Je suis un fantôme
Je croyais exister
Tes yeux se sont fermés
Je me suis envolé
Parti en fumée
banni de tes pensées
Le destin fit un somme
ou je fus oublié..."
yo- Nombre de messages : 6849
Age : 83
Localisation : ailleurs
Date d'inscription : 28/09/2006
Bonjour à tous
Bonjour à tous,
Merci Yo pour ta solicitude,
Merci Frisonne que to écho résonne
Merci Claude et Cathy,
L'actualité, de nos amis, de nos proches, et la notre des fois s'empare de nos sentiments, et la plume discretement ou non rejete ce qui transpire,
Merci Yo pour ta solicitude,
Merci Frisonne que to écho résonne
Merci Claude et Cathy,
L'actualité, de nos amis, de nos proches, et la notre des fois s'empare de nos sentiments, et la plume discretement ou non rejete ce qui transpire,
Il est parti sans elle, qui n'était plus sa belle
Il est parti sans fiel, juste d'amour en séquelle
Il a visé le ciel, que Dieu lui garde ses ailes
Car de sa vie le miel était moins sucre que sel
Il est parti et elle, qui n'était plus sa passerelle
D'une silencieuse querelle, héritera en parcelle
Il n'y aura pas de belle, c'était un simple mortel
Il est parti sans ailes, voilà le bruit des pelles
Le trafic d'amour tue plus que le trafic de drogue,
Une femme tous les trois jours,
Un suicidé toutes les heures,
Une suicidée toutes les deux heures
Et pas de service de répression des fraudes d'amours
Adieu cousin,
Sa voie,
Il est parti sans fiel, juste d'amour en séquelle
Il a visé le ciel, que Dieu lui garde ses ailes
Car de sa vie le miel était moins sucre que sel
Il est parti et elle, qui n'était plus sa passerelle
D'une silencieuse querelle, héritera en parcelle
Il n'y aura pas de belle, c'était un simple mortel
Il est parti sans ailes, voilà le bruit des pelles
Le trafic d'amour tue plus que le trafic de drogue,
Une femme tous les trois jours,
Un suicidé toutes les heures,
Une suicidée toutes les deux heures
Et pas de service de répression des fraudes d'amours
Adieu cousin,
Sa voie,
Sa voix retenti sur la terre comme un torrent puissant
Sa loi est douce et légère, l'Homme vit en y puisant
Mais qui donc l'entend, quels cœurs le vénèrent
Il nous donne le temps, on oublie ses repères
Aveugle nous lâchons son amour
Le choix son don nous laisse ni contre ni pour
Avide d'égarement on néglige sa lumière
L'idée du firmament s'endort sous la poussière
Et on vit chaque instant pensant avoir le temps
On garde l'huile et la mèche pour si se lève le vent
Mais le feu intérieur, qui nous ferait vainqueur
On croit qu'à la demande on en verra la lueur
Pourtant malgré le temps, qui peut sembler si grand
Nul ne connait l'instant, où il rendra son sang
Savoir n'est pas la foi, si on ne fait le choix
De prendre part à sa croix, si la chance nous échoit
Sa loi est douce et légère, l'Homme vit en y puisant
Mais qui donc l'entend, quels cœurs le vénèrent
Il nous donne le temps, on oublie ses repères
Aveugle nous lâchons son amour
Le choix son don nous laisse ni contre ni pour
Avide d'égarement on néglige sa lumière
L'idée du firmament s'endort sous la poussière
Et on vit chaque instant pensant avoir le temps
On garde l'huile et la mèche pour si se lève le vent
Mais le feu intérieur, qui nous ferait vainqueur
On croit qu'à la demande on en verra la lueur
Pourtant malgré le temps, qui peut sembler si grand
Nul ne connait l'instant, où il rendra son sang
Savoir n'est pas la foi, si on ne fait le choix
De prendre part à sa croix, si la chance nous échoit
Adieu cousin, destin, sa voie, et d'autres non postés,
De cette actualité ou mon cousin s'est terminé
Pour raisons de coeurs sont nés
YOMEMOY- Nombre de messages : 574
Age : 62
Localisation : 972 Tropicales Antilles
Date d'inscription : 06/08/2009
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