Objet

Tout le monde le sait
Le temps est à la crise
Alors ce sera sans surprise
Que vous lirez cet Objet

Les temps sont dur
Et même en rédaction
A moins d'en attendre au futur
Il n-y a pas plus que des rimes haillons

Objet objet ... méfies toi... la femme objet ne l'est qu'en surface et puis un jour... trop tard tu te meurs d'amour pour l'objet ... et là... elle se métamorphose en princesse d'un conte de fées... et ils eurent beaucoup de moments tendresse à partager ... sans objet...
j'aime bien ton poème objet...
En tous les cas ... Rimaillons donc... :9:

femme objet.... j'aime pas trop ce terme..... je préfère dire : tout donner à celui qui le mérite !

et rien pàur les autres, les proffiteurs !

eh oui, un peu beaucoup rebelle quelque part, pas envie de rentrer dans le rang.....

Ceci dit, j'ai beaucoup aprécié ton poême !

Yo les amies,

Le but était justement de traiter le thème, mais l'esquisse l'effleure à peine d'où le preambule.
Bisous

et t'as gagné !



mais maintenant je vais au lit ! ma chaîne hifi restaurée, m'endormir avec Théatre of Tragedy..... Catatonia.....

le bonheur suprême !

biz à toi !

Femme objet qui se transforme en femme aimée...

Que du bonheur à te souhaiter !

bizoo tout plein l'Ami -

YomemoY pour ce bel "objet" que tu as su bien mené

Lau Del cau Fri yo,
Merci,

Chargé à froid
Il effleure l'objet fictif
L'émoi qu'il déploie
Ne fait pas objectif

Mais quelque soit l'angle
Quelque soit la langue
Un objet si implanté
A le décors dur à planter

Les uns l'abordent de haut
Les autres la bordent chaud
Et sans faire débat
Il règne sur haut et bas

Alors j'ai tenté une pirouette
Pour une vision plus chouette
Devant l'objet détalons
Cherchons du fonds les talons

Ainsi certain pied à pied
On arrivera à trouver
Au delà des clichés
Une vue qui mieux sied

Femme objet de pensées
Femme oh j'aime tes pensées
Femme oh que j'ai dépensé
Femme d'effort en pensées

Oops la le temps est dépassé
Faire trop vite haletant trop pressé
On me croirait oppressé
Souhaitons que ça va passer

Z'étes pas forcé de lire ce délire

YomemoY

Toujours curieuse de te lire
même quand c'est tes délires
Surtout tes délires ainsi rythmés
Dans les dernières strophes tu t'es surpassé....

femme objet de mes désirs, dit oui et je comblerai les tiens....tiens, tiens, tiens !

Tite...Yo je vous embrasse,
Mais laissez moi saluer Annick
Qui si rarement passe
Pour son attention d'un délire poétique,

Et moi je m'appelle Annick,
Et moi je suis tombé en esclavage
De ses aquarelles sur les pages
De son clafoutis fantastique

Et moi je m'appelle Annick
Emoi se lit sur mon visage
Quand son pinceau est de passage
Mon coeur en deviendrait liryque

Et moi je m'appelle Annick
Eh moi je te prendrais bien en otage
On ferait l'autoroute sans péage
Vers les envolées magique

Mais surtout pas de panique
Mes intentions s'engagent
En mots pour rire je suis sage
Juste pour vous faire rire Annick

Merci Miss, d'être l'objet
Ici de votre arrêt

Yomemoy, ton poème m'a fait penser à un vieux truc à moi.
J'ai attendu, pour parler sur le tien, de le retrouver. Le voici :

L'HOMME OBJET.

Oh, n'être qu'un objet qu'elle voit, au matin,
De quoi naît son sourire et qui jamais ne pense,
Vivre sans un désir, n'avoir pas de conscience
Et n'être pour de bon, enfin, que son pantin !


Ce rêve, chaque soir, est l'irréel festin
Dont se nourrit mon âme. Il efface l'offense
Que mon amour a fait à mon intelligence
En me faisant buter sur son rire mutin.


Elle qui, pour mes yeux, est le jour qui se lève,
Pour mon corps la langueur de l'été qui s'achève.
Elle est mon devenir, mon unique repas.


L'aimer est un besoin dont jamais ne me lasse
Je ne peux m'en passer et cependant m'en passe
Car, faite pour aimer, elle ne m'aime pas.

D'accord, c'est un peu l'inverse du tien, mais quand même ....

Je suis son toutou de salon

Je suis un toutou de salon
Elle fait ce qu'elle veut de moi
Me chasse et aussitôt me prend
Je suis son jouet aux abois

Mais ce qu'elle ne comprend
C'est que moi aussi j'ai un coeur
Qui se brise de mille façons
Quand elle parle de son bonheur

Je suis son jouet, son toutou
Mais ce qu'elle ignore
C'est que de son coeur je m'en fous
Je me plais à caresser son corps

Je suis son toutou son pantin
Mais ce qu'elle ne sait pas
C'est qu'en partant chaque matin
Une autre je vais serrer en mes bras

Avec elle je suis un fantoche
Je prends mon plaisir sans amour
Ne croyez pas la chose moche
Cette pute vaut bien ce détour

Je suis son toutou, sa fierté
Je sais combiner les choses
Loin d'elle je prend la liberté
Je vis mes phantasmes, j'ose

Je suis son chien à l'arrêt tout doux
Devant son coffre fort
Elle me donne tout ce que je veux
Et moi j'en profite à mort

Si je suis un gigolo
Quand elle est en chaleur
Je ne lui fais pas le cadeau
De la faire entrer en mon coeur...

Je vis aux crochets de ses désirs
Depuis longtemps j'ai l'habitude
Je ne sais ce qu'est souffrir
Je ne connais pas de solitude

Mais en mon coeur on peut lire
Tout l'amour que je garde pour celle
Qui me donne envie de sourire
Ma maîtresse une jouvencelle...

Nandy le 06/09/08

Beau jet Alapero,
Nandy, toi ce n'est pas un jet mais un arrosoir,
Tout est abordé, moi qui la voyait bordé :lolol

Ceci dit mes amis, et surtout toi Alapero,
Faites attention, la femme objet est choyé
Mais l'homme objet
Sort vite des projets
Il est vite haut, mais de haut en bas il tombe de haut
En deux temps trois mouvement il est refourgué
Sa peau ne vaut pas cher
Il finit aux enchéres

Finies les enchères

Homme à vendre
Du côté des enchères
Vu qu’il n’est pas très cher
Vous ferez une affaire
Intérieur à refaire
Mais il ne manque pas d’air
Qui en flatulence légère
Anime son moteur
Cet homme à réacteur
Qui marche au GPL
Marche à coup de manivelle
C’est très économique
Particulièrement comique
Et surtout en ce temps de misère
Dans la stratosphère
Il est vraiment tendance
Il ne peut être transgénique
Car au naturel on lui tire les ficelles
Il suffit de le ranger dans une des dépendances
Où au besoin il n’y aura qu’à le prendre
Ohé ohé qui sera-t-elle
Ohé ohé ou est l’élue
Ok on ne va pas se fâcher
Y a qu’à le restaurer
Cliente déçue
Je n’y vois plus
On va le mettre au rebus

Mais c'est un festival !! vous me scotchez tous les trois...homme, femme objet, ce n'est pas souvent le déçu qui râle, mais il arrive parfois que, lassé, il se fasse la malle...

Tant qu'en se faisant la malle, il n'y a pas rangé toutes les possibilités de bonheur, ce passé vilain, P'tite Fée, ce n'est que demi-mal !

Bonjour,

Hum là l'air de rien Titfée fait preuve d'une science consommée,
Eh oui sur qu'il y a du vrai
Et qu'au bout d'un pro jet
Peu râle pour c'être fait enlacer,

Mais c'est un festival !! vous me scotchez tous les trois...homme, femme objet, ce n'est pas souvent le déçu qui râle, mais il arrive parfois que, lassé, il se fasse la malle....

Alapero,
Pour une fois je ne dis mot