ÊTRE
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ÊTRE
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Je voudrais être la prunelle de tes yeux,
Pour te montrer un monde merveilleux,
Je voudrais être près de toi, en tous lieux,
Pour que nos nuits, nos jours soient radieux.
Toi, moi, complices jusque dans le rire,
Ensemble, des petits maux en sourire.
Toi "je t'aime" apprendre à le dire,
Moi des "je t'aime" je vais t'en écrire.
Je veux continuellement te séduire,
Ta seule présence saura me ravir !
Je voudrais avec toi suivre le même chemin,
Les yeux dans les yeux, main dans la main.
Partager ta couche couverte de satin,
Pour ne voir que toi dès le petit matin !
DELCAU Roinos
delcau roinos- Nombre de messages : 7834
Age : 73
Localisation : Pas là où je devrais être !
Date d'inscription : 11/04/2009
Re: ÊTRE
Comment s'appelle cette forme de poésie ????
Une strophe aux 4 vers de mêmes rimes
Une autre de 6 vers avec d'autres rimes
Et une autre de 4 vers de mêmes rimes....
Je suis curieuse ! c'est original... mais les mots je les attendais...... toujours aussi transi d'amour....
yo- Nombre de messages : 6849
Age : 83
Localisation : ailleurs
Date d'inscription : 28/09/2006
Re: ÊTRE
Libre... la liberté de n'appartenir à aucune forme poétique imposée à part l'imagination et les sentiments qu'elle fait naître ou sortir de soi... tout en étant poétique ... j'dis plus rien car pour moi qu'importe la forme pourvu qu'il y ai le ressenti qui passe du poète au lecteur...
Pour mon frérot J'M comme il l'a écrit ... et suis désolée pour lui si j'ai remarqué plus ce que je ressens au coeur plus qu'aux yeux... mais suis comme ça... :dodo:
D'ailleurs j'aurais pas remarque la forme si toi ma p'tite Yo n'avais pas l'oeil ""critique"" bonne la critique ... alors frérot ??? c'est qu'elle forme cette poésie que j'avais mise de côté pour répondre plus tard et hop... oubliée... pabon
Pour mon frérot J'M comme il l'a écrit ... et suis désolée pour lui si j'ai remarqué plus ce que je ressens au coeur plus qu'aux yeux... mais suis comme ça... :dodo:
D'ailleurs j'aurais pas remarque la forme si toi ma p'tite Yo n'avais pas l'oeil ""critique"" bonne la critique ... alors frérot ??? c'est qu'elle forme cette poésie que j'avais mise de côté pour répondre plus tard et hop... oubliée... pabon
Re: ÊTRE
Merci YO pour le compliment, pour la forme j'avais lu plusieurs poèmes de formes peu communes de grands auteurs qui avaient joué avec les rimes, alors je me suis dit et pourquoi pas m'amuser aussi ! Il faudrait que je retrouve le lien car il faut voir comme de grands poétes s'amusent parfoit avec les mots comme Musset ou Victor hugo et bien d'autres voir Verlaine ! Voilà parfois je m'amuse de ma Muse
delcau roinos- Nombre de messages : 7834
Age : 73
Localisation : Pas là où je devrais être !
Date d'inscription : 11/04/2009
Re: ÊTRE
Bravo Soeurette l'esprit libre, tu aurais pu comme moi être de la Pléiade !
Ce mouvement littéraire est d’abord nommé la « Brigade »[1]. Le souci majeur de la Brigade, élevée sous l'égide de l'helléniste Jean Dorat, est de faire reculer le « Monstre Ignorance » par la diffusion de la culture antique. Le nom de « Pléiade » est emprunté à sept autres poètes d’Alexandrie qui avaient choisi, au IIIe siècle, le nom de cet amas astronomique pour se distinguer (voir Pléiade poétique (IIIe siècle av. J.-C.)). À la Renaissance, sept poètes se regroupèrent sous le même nom. Outre Pierre de Ronsard, la Pléiade regroupe alors : Joachim du Bellay, Jacques Peletier du Mans, Rémy Belleau, Antoine de Baïf, Pontus de Tyard et Étienne Jodelle. À la mort de Jacques Peletier du Mans, Jean Dorat le remplacera au sein de la Pléiade. Ce n'est qu'en 1556 que Ronsard choisit le mot « Pléiade » pour désigner ce groupe. Cette appellation sera adoptée par la postérité.
Les idées de la Pléiade sont rassemblées dans un manifeste, Défense et illustration de la langue française, publié en avril 1549 sous la signature de Joachim Du Bellay. Son contenu vise à mener une réflexion sur les moyens d’enrichir la langue française par des emprunts, la fabrication de néologismes, le rappel de mots disparus, etc.
Les membres de la Pléiade entrent dans une logique de rupture avec leurs prédécesseurs, ils rompent avec la poésie médiévale et cherchent à exercer leur art en français (« la poésie doit parler la langue du poète ». Ils constatent cependant que la langue française est pauvre et non adaptée à l’expression poétique et décident de l’enrichir par la création de néologismes issus du latin, du grec et des langues régionales. Ils défendent en même temps l’imitation des auteurs gréco-latins dans le but de s’en inspirer pour pouvoir les dépasser. Ils imposent l’alexandrin, l’ode et le sonnet comme des formes poétiques majeures et abordent les quatre principaux thèmes de la poésie élégiaque : l’amour, la mort, la fuite du temps et la nature. La Pléiade participe au développement ainsi qu'à la standardisation du français et joue un grand rôle dans l’œuvre de « l’illustration de la langue française », dans la renaissance littéraire, la liberté de la rimes et du vers !
Ce mouvement littéraire est d’abord nommé la « Brigade »[1]. Le souci majeur de la Brigade, élevée sous l'égide de l'helléniste Jean Dorat, est de faire reculer le « Monstre Ignorance » par la diffusion de la culture antique. Le nom de « Pléiade » est emprunté à sept autres poètes d’Alexandrie qui avaient choisi, au IIIe siècle, le nom de cet amas astronomique pour se distinguer (voir Pléiade poétique (IIIe siècle av. J.-C.)). À la Renaissance, sept poètes se regroupèrent sous le même nom. Outre Pierre de Ronsard, la Pléiade regroupe alors : Joachim du Bellay, Jacques Peletier du Mans, Rémy Belleau, Antoine de Baïf, Pontus de Tyard et Étienne Jodelle. À la mort de Jacques Peletier du Mans, Jean Dorat le remplacera au sein de la Pléiade. Ce n'est qu'en 1556 que Ronsard choisit le mot « Pléiade » pour désigner ce groupe. Cette appellation sera adoptée par la postérité.
Les idées de la Pléiade sont rassemblées dans un manifeste, Défense et illustration de la langue française, publié en avril 1549 sous la signature de Joachim Du Bellay. Son contenu vise à mener une réflexion sur les moyens d’enrichir la langue française par des emprunts, la fabrication de néologismes, le rappel de mots disparus, etc.
Les membres de la Pléiade entrent dans une logique de rupture avec leurs prédécesseurs, ils rompent avec la poésie médiévale et cherchent à exercer leur art en français (« la poésie doit parler la langue du poète ». Ils constatent cependant que la langue française est pauvre et non adaptée à l’expression poétique et décident de l’enrichir par la création de néologismes issus du latin, du grec et des langues régionales. Ils défendent en même temps l’imitation des auteurs gréco-latins dans le but de s’en inspirer pour pouvoir les dépasser. Ils imposent l’alexandrin, l’ode et le sonnet comme des formes poétiques majeures et abordent les quatre principaux thèmes de la poésie élégiaque : l’amour, la mort, la fuite du temps et la nature. La Pléiade participe au développement ainsi qu'à la standardisation du français et joue un grand rôle dans l’œuvre de « l’illustration de la langue française », dans la renaissance littéraire, la liberté de la rimes et du vers !
delcau roinos- Nombre de messages : 7834
Age : 73
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Date d'inscription : 11/04/2009
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