sans titre
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sans titre
une histoire simple de regards lumineux
vint tarir les incertitudes opaques
coulant aux fleuves de cent marées
jusqu'au delta de nos humeurs entre achevées
pourchassant les vagues devenues lointaines
des couchers de soleil sous guirlandes d'étoiles
l'horizon tend les fils des arcs en flèches de cœurs
les dupliques complicités de l'amour en reliques illustres
soupesèrent l'instant t de nos facteurs x
alchimiant les projets de l'aube en mille teintes
laissant aux dunes rêveuses les apparats d'un lit en bal taquin
allongées là en longitudes boursouflées d’envies
aux obélisques de l’espace exportés des ordonnées intangibles
où les aveux se puisent au sel du goût des contours éclos
les sésames errent en parsèmes sur des peaux aux reflets d’or
là où l’effeuillement jette ses troubles en osmose autarcique
parmi les visions en artifices des regards les yeux fermés
foulant le feulement en folie de phalanges en flammes
les cœurs dressés s’abandonnent au tapis de leur désirs
sachant une fois pour toute la nuit étirer la cohésion des corps
Je ne peux pas porter tout l’amour
Virevoltant de nos terres brûlantes
Où vibrent parmi ces déclics le sein
De rappels aux cœurs jadis collèrent
En croissant d’eau de soleil aux iris
Par couches de nuits et de couleurs
Etant à l'or ses durs et purs évasions
Même éteint l’astre brille bien encore
Sur nos rêveries aux maux éternels
Leur donnant cent cinquante années
Au passage de nos sourires en ellipse
Revigorant les venir sous les traînes
Voici aux soucis des vallées de roses
Orientées à l’occident où nos sens safrans
Placent nos peaux en vol stationnaire
Odant baisées des libres spasmes réceptifs
Aux environs majestueux de notre union
Sans portée plus harmonique et dense
À nos distances parcourant les oublis
De nos doigts empreints des battements
Des peaux disparues alors dispersées
À notre amour égaré dans ces lumières
Allants à leurs extrêmes univers indistincts
Poursuivre leurs destins désunis au seul refrain
D’une peur incroyable de te croire unique
Lorsque l’infini regorge de tant de beautés
Alors assemblées au ciel de ton manque
Sur toute mon âme sensible je piste
le bonheur recueilli aux quatre chemins
Du hasard d’eux en foi de nous d’eux
J’ai multiplié mes textes en préfixes
De me suffire à t’oublier sans satyre
Prêchant aux saumons glissants des craintes
De remonter les cascades en arc-en-ciel
Et geler dans les cimes ce monde décibel
Pour enfin de consonnes en aimer les voyelles
En écrivant libre mes paysages mélancoliques
Laissant transparaître le côté survivant
Du désordre immuable de notre Humanité
Touchée à l’hameçon des âmes sans sons
Protubérant leurs bouches sur du plexis
Dans l’aquarium des passions en sucions
Sur le chevet des souvenirs du monde en brocante
Trônant parmi la salle chétif de ses récits secrets
Où d’autant d’aventures s’avancent sans effacer
Les milles esquifs érodées du nouveau continent
Des volontés de faire contre les flammes un combat
Pour donner à ce siècle ses promesses d’amour
dessinées à l'encre invisible en labyrinthe
des étreintes aux branches de tant de parfum
émané d'un seul être en traverse sur nos vies
comme autant de bouquet et d'au revoir en bout de quai
agitant des bras la mémoire de nos moulins
dans les vapeurs cotonneuses et de mouchoirs au vent
où les crocs de brumes dévoilent au fur la silhouette
à leurs désirs rassasiés de nos nuages pensifs
nous laissant là à contempler le reste à donner
vint tarir les incertitudes opaques
coulant aux fleuves de cent marées
jusqu'au delta de nos humeurs entre achevées
pourchassant les vagues devenues lointaines
des couchers de soleil sous guirlandes d'étoiles
l'horizon tend les fils des arcs en flèches de cœurs
les dupliques complicités de l'amour en reliques illustres
soupesèrent l'instant t de nos facteurs x
alchimiant les projets de l'aube en mille teintes
laissant aux dunes rêveuses les apparats d'un lit en bal taquin
allongées là en longitudes boursouflées d’envies
aux obélisques de l’espace exportés des ordonnées intangibles
où les aveux se puisent au sel du goût des contours éclos
les sésames errent en parsèmes sur des peaux aux reflets d’or
là où l’effeuillement jette ses troubles en osmose autarcique
parmi les visions en artifices des regards les yeux fermés
foulant le feulement en folie de phalanges en flammes
les cœurs dressés s’abandonnent au tapis de leur désirs
sachant une fois pour toute la nuit étirer la cohésion des corps
Je ne peux pas porter tout l’amour
Virevoltant de nos terres brûlantes
Où vibrent parmi ces déclics le sein
De rappels aux cœurs jadis collèrent
En croissant d’eau de soleil aux iris
Par couches de nuits et de couleurs
Etant à l'or ses durs et purs évasions
Même éteint l’astre brille bien encore
Sur nos rêveries aux maux éternels
Leur donnant cent cinquante années
Au passage de nos sourires en ellipse
Revigorant les venir sous les traînes
Voici aux soucis des vallées de roses
Orientées à l’occident où nos sens safrans
Placent nos peaux en vol stationnaire
Odant baisées des libres spasmes réceptifs
Aux environs majestueux de notre union
Sans portée plus harmonique et dense
À nos distances parcourant les oublis
De nos doigts empreints des battements
Des peaux disparues alors dispersées
À notre amour égaré dans ces lumières
Allants à leurs extrêmes univers indistincts
Poursuivre leurs destins désunis au seul refrain
D’une peur incroyable de te croire unique
Lorsque l’infini regorge de tant de beautés
Alors assemblées au ciel de ton manque
Sur toute mon âme sensible je piste
le bonheur recueilli aux quatre chemins
Du hasard d’eux en foi de nous d’eux
J’ai multiplié mes textes en préfixes
De me suffire à t’oublier sans satyre
Prêchant aux saumons glissants des craintes
De remonter les cascades en arc-en-ciel
Et geler dans les cimes ce monde décibel
Pour enfin de consonnes en aimer les voyelles
En écrivant libre mes paysages mélancoliques
Laissant transparaître le côté survivant
Du désordre immuable de notre Humanité
Touchée à l’hameçon des âmes sans sons
Protubérant leurs bouches sur du plexis
Dans l’aquarium des passions en sucions
Sur le chevet des souvenirs du monde en brocante
Trônant parmi la salle chétif de ses récits secrets
Où d’autant d’aventures s’avancent sans effacer
Les milles esquifs érodées du nouveau continent
Des volontés de faire contre les flammes un combat
Pour donner à ce siècle ses promesses d’amour
dessinées à l'encre invisible en labyrinthe
des étreintes aux branches de tant de parfum
émané d'un seul être en traverse sur nos vies
comme autant de bouquet et d'au revoir en bout de quai
agitant des bras la mémoire de nos moulins
dans les vapeurs cotonneuses et de mouchoirs au vent
où les crocs de brumes dévoilent au fur la silhouette
à leurs désirs rassasiés de nos nuages pensifs
nous laissant là à contempler le reste à donner
poeteric- Nombre de messages : 87
Date d'inscription : 08/05/2008
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