Torpeurs nocturnes
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Torpeurs nocturnes
Silence
Les heures s’en vont
Sans bruit
Et le sommeil fuit
La nuit qu’attend
Un soleil impatient
Il lance
Des rayons
D’une chaleur
Qui se meure
Dans l’étau
Glacé vaincu
Bientôt d’un jour
Paré beau
D’un brillant d’écu
Silence
Si lourd
Percé de la lumière
D’heures fières
Et l’aube danse
Silence
Qu’écourtent
Les minutes
D’une résistance
Abandonnée
Comme une blessure
Pansée de murmures
Enlacés
Et les heures
Se fuient
S’allongent
S’étirent se traînent
Lâchement laissant
Mélancoliquement
Seuls sueurs
Corps et peines
Torpeurs nocturnes
Les heures s’en vont
Sans bruit
Et le sommeil fuit
La nuit qu’attend
Un soleil impatient
Il lance
Des rayons
D’une chaleur
Qui se meure
Dans l’étau
Glacé vaincu
Bientôt d’un jour
Paré beau
D’un brillant d’écu
Silence
Si lourd
Percé de la lumière
D’heures fières
Et l’aube danse
Silence
Qu’écourtent
Les minutes
D’une résistance
Abandonnée
Comme une blessure
Pansée de murmures
Enlacés
Et les heures
Se fuient
S’allongent
S’étirent se traînent
Lâchement laissant
Mélancoliquement
Seuls sueurs
Corps et peines
Torpeurs nocturnes
YOMEMOY- Nombre de messages : 574
Age : 62
Localisation : 972 Tropicales Antilles
Date d'inscription : 06/08/2009
Autre silence
Rien que salut
Ta voix que je n’entends plus
Ce silence qui me tue
Appele je n’en peux plus
Ce souvenir sensu
Qui s’accroche têtu
C’est toi à perte de vue
Dans mon coeur à nu
Belle comme on en fait plus
Vite j’attends ta venue
Sur le chemin ardu
Des rêves défendus
Ton rire qui m’a tant plus
A fait monté une crue
Qui a brouillé ma vue
Quand l’espoir déçu
De ne t’avoir pas vu
Je cru t’avoir déplu
Appele je n’en peux plus
Et puis si tu m’as lu
Ne fait surtout pas plus
Que me dire salut
Ça me fera un pardessus
Pour attendre la décrue
Puis le soleil revenu
Reprendre tout au début
Mais si tu en fais plus
Je ne cracherais pas dessus
Ta voix que je n’entends plus
Ce silence qui me tue
Appele je n’en peux plus
Ce souvenir sensu
Qui s’accroche têtu
C’est toi à perte de vue
Dans mon coeur à nu
Belle comme on en fait plus
Vite j’attends ta venue
Sur le chemin ardu
Des rêves défendus
Ton rire qui m’a tant plus
A fait monté une crue
Qui a brouillé ma vue
Quand l’espoir déçu
De ne t’avoir pas vu
Je cru t’avoir déplu
Appele je n’en peux plus
Et puis si tu m’as lu
Ne fait surtout pas plus
Que me dire salut
Ça me fera un pardessus
Pour attendre la décrue
Puis le soleil revenu
Reprendre tout au début
Mais si tu en fais plus
Je ne cracherais pas dessus
YOMEMOY- Nombre de messages : 574
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